1. Quel est l’objectif de la mission franco-britannique se rendant en Ukraine dans les prochains jours ? 2. Quels sont les domaines sur lesquels la mission franco-britannique va se concentrer pour préparer l’armée ukrainienne de demain ? 3. Quels aspects de l’armée ukrainienne seront étudiés par les chefs d’état-major des deux pays lors de cette mission ? 4. Comment Emmanuel Macron décrit-il l’importance d’avoir une armée ukrainienne forte et bien équipée pour garantir la sécurité des Ukrainiens et des Européens après l’instauration d’une paix durable ? 1. Quand la mission franco-britannique se rendra-t-elle sur le terrain pour déterminer les effectifs et les équipements nécessaires pour dissuader la Russie ? 2. Quels sont les prochaines étapes prévues par la mission franco-britannique pour clarifier les contributions de chaque pays membre de la coalition en faveur de l’Ukraine ? 3. Quelle est la réaction des alliés de la France et du Royaume-Uni face aux propositions de la mission franco-britannique et aux soutiens infaillibles de ses alliés ? 4. Comment la Russie a-t-elle réagi au plan global de la France et du Royaume-Uni, notamment à l’idée d’une «force de réassurance» en Ukraine ?[embed]https://www.youtube.com/watch?v=E7EDuCqzPAQ[/embed]

Son objectif premier est de «préparer, dans tous les domaines, ce que sera le format de l’armée ukrainienne de demain», a exposé Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat souhaite que suive le déploiement d’une «force de réassurance», une fois un accord de paix conclu.

According to Emmanuel Macron, these experts will have to determine the size of the necessary forces to ensure peace, as well as the nature of the equipment needed «to be able to respond to a possible Russian aggression and deter Russia» from launching a new offensive.

2 What are the planned next steps?

In a second phase, the Franco-British mission will focus on «planning work, which will clarify the contributions of each member country of our coalition to give visibility to Ukraine and have a very precise action plan,» Emmanuel Macron continued.

Indeed, this is only the first phase of a project advocated for several weeks by Paris and London for the establishment of «security guarantees» in Ukraine. Emmanuel Macron emphasized the benefits of the «reassurance force,» composed of voluntary European countries and intended to be deployed on Ukrainian soil only within the framework of a peace agreement.

This «reassurance force» is part of a «pacifist approach,» «as a strategic reserve,» argued the French president on Wednesday. The voluntary contingents would not go «to the front,» he insisted, even though they would have to «respond» if they were «attacked.» It would not be an observation force for a ceasefire, nor an interposition force, he further argued, mentioning the possibility of a separate operation «to maintain peace» under a «United Nations mandate.»

Emmanuel Macron admitted on Thursday that the countries supporting Ukraine were not united in their willingness to send troops after a possible peace agreement. But unanimity is not necessary, he asserted: «It is well established and we will move forward and work. And so there will indeed be a reassurance force with several European countries deploying.»

3 What do France and the UK’s allies say?

Ukrainian President Volodymyr Zelensky commented during a press conference after the summit, praising «the unwavering support» of his allies: «There are many proposals from leaders to engage in the sky, in terms of anti-aircraft defense, on the ground, at sea… Regarding the contingent, there are many questions, but still few answers.»

«We can see that we are in the early stages, and that Emmanuel Macron and Keir Starmer’s project does not arouse overwhelming enthusiasm among European partners,» noted Isabelle Lasserre, diplomatic correspondent for Le Figaro, on France Inter on Friday. However, the French and British support alone can already be very useful, emphasized Jean-Dominique Merchet, a journalist at L’Opinion and a specialist in military matters. «If there had been such forces in Kyiv in 2022, perhaps the Russians would not have attacked, because attacking a NATO country is a much greater risk,» he pointed out.

4 How is Russia reacting?

While not directly targeting the Franco-British mission, Russia severely criticized on Thursday the overall plan of France and the UK, particularly the idea of a «reassurance force.» «Deploying a European force in Ukraine represents a risk of direct confrontation between Russia and NATO,» said Russian Foreign Ministry spokesperson Maria Zakharova, as reported by the BBC. «London and Paris continue to entertain the idea of military intervention in Ukraine. All of this is disguised under [the guise] of a certain peacekeeping mission,» she stated.

Its primary objective is to «prepare, in all areas, what the format of the Ukrainian army of tomorrow will be,» as outlined by Emmanuel Macron.

Une fois un accord de paix conclu, le chef de l’Etat souhaite que suive le déploiement d’une «force de réassurance». Les experts chargés de cette mission devront évaluer le nombre de soldats nécessaires pour maintenir la paix et déterminer les équipements requis pour dissuader la Russie d’agresser l’Ukraine. Cette évaluation inclura la planification des contributions de chaque pays membre de la coalition franco-britannique, afin d’établir un plan d’action précis pour renforcer la sécurité en Ukraine.

La «force de réassurance», proposée par la France et le Royaume-Uni, se positionne comme une réserve stratégique dans une approche pacifiste. Les contingents volontaires ne seront pas déployés sur le front, mais seront prêts à répondre en cas d’attaque. Cette force n’aura pas pour mission d’observer un cessez-le-feu ou d’interposer, mais pourrait être mobilisée pour des opérations de maintien de la paix sous mandat des Nations unies.

Malgré des opinions divergentes parmi les pays soutenant l’Ukraine, Emmanuel Macron a affirmé qu’une force de réassurance composée de plusieurs pays européens sera déployée en Ukraine après un éventuel accord de paix. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué le soutien de ses alliés, bien que certains partenaires européens ne se montrent pas enthousiastes vis-à-vis du projet.

La Russie a vivement critiqué le plan franco-britannique, considérant qu’un déploiement de forces européennes en Ukraine pourrait entraîner un affrontement direct avec l’Otan. Selon la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, l’idée d’une force de réassurance dissimule en réalité une volonté d’intervention militaire sous couvert de maintien de la paix.

La mission franco-britannique vise à préparer l’armée ukrainienne pour l’avenir dans tous les domaines, comme l’a souligné Emmanuel Macron. Une fois un accord de paix conclu, le chef de l’État souhaite que soit déployée une «force de réassurance». Les experts devront déterminer la taille des effectifs nécessaires pour garantir la paix et la nature des équipements nécessaires pour dissuader la Russie d’une éventuelle agression, a expliqué Emmanuel Macron.

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