5 000 installations ouvertes jusqu’à 22 heures.

Elles peuvent aussi s’étendre sur les trottoirs situés devant des commerces voisins fermés, à condition d’obtenir leur accord.

Les règles encadrant les terrasses estivales restent inchangées : pas de mobilier de plus d’1m30, pas d’installations électriques (chauffage) ou audiovisuelles, pas de toits, de bâches ou de palettes en bois, et une végétalisation à favoriser. Les commerçants sont tenus responsables de la propreté, y compris sous leur platelage et autour dans un rayon de 5 mètres, détaille la Ville.

Elles ont été installées pendant la pandémie et ont connu un véritable engouement, atteignant un pic de 9.600 demandes d’installation en 2022. Cette année, le nombre de nouvelles demandes a drastiquement chuté, avec seulement 306 nouveaux dossiers déposés, explique la mairie de Paris.

«Nous arrivons à la maturité du dispositif«, a commenté Nicolas Bonnet-Oulaldj, adjoint PCF en charge du commerce à la Ville de Paris. «Nous régulons désormais plus strictement : seules 83 nouvelles autorisations ont été accordées cette année«, précise-t-il.

La Ville se veut en effet plus vigilante en raison de nombreuses plaintes des riverains pour tapage nocturne. Elles devront fermer à 22 heures contre 2 heures du matin pour les terrasses classiques. 

Le rapport de la chambre régionale des comptes d’Ile-de-France, publié fin janvier, a souligné l’augmentation des protestations des riverains et d’associations face à l’extension de l’occupation du domaine public par ces terrasses. 

Face à la multiplication des plaintes, la mairie a annoncé que le contrôle des terrasses par la police municipale sera «systématique«, avec des inspections qui commenceront dans les quinze jours suivant leur installation.

À partir de 2026, les établissements ayant fait l’objet de plaintes ou d’abus devront soumettre à nouveau leur dossier pour obtenir une nouvelle autorisation, prévient également la mairie de Paris.

 

Avec l’arrivée du soleil, les terrasses éphémères font leur retour dans la capitale. Elles occupent principalement des places de stationnement devant les cafés ou restaurants, ainsi que des espaces publics tels que les placettes ou les terre-pleins. Elles peuvent également s’étendre sur les trottoirs situés devant des commerces voisins fermés, à condition d’obtenir leur accord.

Les règles encadrant les terrasses estivales restent les mêmes : pas de mobilier de plus d’1m30, pas d’installations électriques (chauffage) ou audiovisuelles, pas de toits, de bâches ou de palettes en bois, et une végétalisation à privilégier. Les commerçants sont responsables de la propreté, y compris sous leur platelage et dans un rayon de 5 mètres autour, comme le détaille la Ville.

Ces terrasses temporaires ont été mises en place pendant la pandémie et ont suscité un engouement important, avec un pic de 9 600 demandes d’installation en 2022. Cette année, le nombre de nouvelles demandes a considérablement diminué, avec seulement 306 nouveaux dossiers déposés, selon la mairie de Paris.

«Nous atteignons la maturité du dispositif», a commenté Nicolas Bonnet-Oulaldj, adjoint PCF en charge du commerce à la Ville de Paris. «Nous régulons désormais de manière plus stricte : seules 83 nouvelles autorisations ont été accordées cette année», précise-t-il.

La Ville se montre plus vigilante en raison des nombreuses plaintes des riverains pour tapage nocturne. Ainsi, ces terrasses devront fermer à 22 heures, par opposition à 2 heures du matin pour les terrasses classiques.

Un rapport de la chambre régionale des comptes d’Ile-de-France, publié fin janvier, a souligné l’augmentation des protestations des riverains et d’associations face à l’extension de l’occupation du domaine public par ces terrasses.

Face à la multiplication des plaintes, la mairie a annoncé que le contrôle des terrasses par la police municipale sera systématique, avec des inspections qui débuteront dans les quinze jours suivant leur installation.

À partir de 2026, les établissements ayant fait l’objet de plaintes ou d’abus devront soumettre à nouveau leur dossier pour obtenir une nouvelle autorisation, prévient également la mairie de Paris.

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