Ce direct est maintenant terminé.
La trêve est rompue et il promet que «ce n’est que le début». Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a averti, mardi 18 mars, que «désormais, les négociations ne se dérouleront que sous le feu», après des frappes aériennes meurtrières sur la bande de Gaza, de loin les plus violentes depuis le début de la trêve avec le mouvement islamiste palestinien le 19 janvier. «La pression militaire est indispensable» pour libérer les derniers otages retenus par le Hamas, a-t-il ajouté.
En réaction, le mouvement islamiste palestinien a appelé dans un communiqué «les pays amis qui soutiennent la juste cause palestinienne» à «faire pression» sur les Etats-Unis, premier soutien d’Israël, pour que celui-ci cesse ses frappes sur la bande de Gaza. Selon un dernier bilan communiqué par le ministère de la Santé du Hamas mardi à la mi-journée, ces frappes de Tsahal ont fait «au moins 413 morts». Suivez notre direct.
Israël justifie ses frappes face «au refus répété du Hamas de libérer» des otages. La reprise des frappes israéliennes à grande échelle menées sur l’enclave palestinienne «font suite au refus répété du Hamas de libérer» des otages, a déclaré mardi matin le gouvernement israélien dans un communiqué, promettant déjà d’agir contre le mouvement islamiste avec davantage de force. La présidence des Etats-Unis a déclaré avoir été consultée au préalable par son allié historique. «Je peux confirmer que la reprise des combats intenses s’est faite en totale coordination avec Washington», a assuré David Mencer, un porte-parole du gouvernement israélien.
La condamnation de plusieurs pays. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit «choqué» après ces frappes. «Il lance un appel pressant pour que le cessez-le-feu soit respecté, que l’aide humanitaire sans entrave soit rétablie et que les otages restants soient libérés sans condition», a déclaré un porte-parole des Nations unies. De très nombreux pays se sont indignés. L’Iran a condamné un «génocide», la Jordanie des frappes «barbares», l’Arabie saoudite a pour sa part condamné cette opération israélienne «avec la plus grande fermeté» et le Royaume-Uni a appelé à «rétablir» le cessez-le-feu «dès que possible». La France a appelé à un «arrêt immédiat des hostilités» qui compromettent, selon elle, les efforts de libération des otages et «menacent la vie des populations civiles de Gaza».
Le chef du gouvernement du Hamas tué. Le Hamas a annoncé que le chef de son gouvernement à Gaza est mort mardi dans les frappes aériennes israéliennes sur l’enclave palestinienne. Essam al-Dalis fait partie d’une liste de quatre «dirigeants du gouvernement» de Gaza diffusée par le mouvement islamiste dans un «communiqué de condoléances», qui comprend également les noms du ministre adjoint de l’Intérieur, le général Mahmoud Abou Watfa, et du directeur général des services de sécurité intérieure, le général Bahjat Abou Sultan.
Des proches d’otages en colère contre Benyamin Nétanyahou. Le Forum des familles, plus grande association de proches d’otages en Israël, implore Benyamin Nétanyahou d’«arrêter de tuer» les personnes retenues. «Les familles des otages exigent une réunion avec le Premier ministre, le ministre de la Défense et le chef de l’équipe de négociations, au cours de laquelle on leur assurera comment les otages seront protégés de la pression militaire et comment on compte les ramener», détaille leur communiqué. Peu de temps avant, le ministre de la Défense, Israël Katz, a affirmé que l’Etat hébreu continuera les combats «tant que tous les otages ne seront pas rentrés chez eux».
Le chef du gouvernement du Hamas à Gaza a été tué lors des frappes aériennes israéliennes sur l’enclave palestinienne. Essam al-Dalis, ainsi que d’autres dirigeants du gouvernement de Gaza, ont été mentionnés dans un communiqué de condoléances publié par le Hamas. Ce communiqué inclut également les noms du ministre adjoint de l’Intérieur, le général Mahmoud Abou Watfa, et du directeur général des services de sécurité intérieure, le général Bahjat Abou Sultan.
Des proches d’otages en Israël sont en colère contre Benyamin Nétanyahou et demandent une réunion avec le Premier ministre, le ministre de la Défense et le chef de l’équipe de négociations pour discuter de la protection des otages contre la pression militaire et leur retour en toute sécurité.
Benyamin Nétanyahou a averti que les négociations ne se poursuivront que sous la menace des combats, suite aux frappes aériennes meurtrières sur Gaza. Le Hamas a appelé les pays amis à faire pression sur les États-Unis pour mettre fin aux frappes israéliennes. Les frappes ont déjà fait au moins 413 morts selon le ministère de la Santé du Hamas.
Israël justifie ses frappes en raison du refus du Hamas de libérer des otages. La coordination avec les États-Unis a été mentionnée avant la reprise des combats. La condamnation de ces frappes par plusieurs pays, y compris par le secrétaire général de l’ONU et l’Iran, souligne la nécessité d’un cessez-le-feu et de la libération des otages.
Ce direct est maintenant terminé. La trêve est rompue et les négociations ne se poursuivront que sous la menace des combats, selon Benyamin Nétanyahou. La situation demeure tendue et les efforts pour libérer les otages sont compromis par les hostilités en cours.
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