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Paris & Île-de-France
Adapter pour obtenir des dons : les associations caritatives face à la baisse des subventions L’adaptation devient essentielle pour les associations caritatives afin de compenser la baisse des subventions et obtenir des dons.
Staff Nov 12, 2025 0

Expositions artistiques ou soirées caritatives, les structures qui viennent en aide aux plus précaires innovent pour récolter des dons. La…

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Paris & Île-de-France
Suspension possible de Shein en France: Audience le 26 novembre
Staff Nov 12, 2025 0

On November 26, 2025, the Paris judicial court will examine the request to suspend the Shein platform in France. The…

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Paris & Île-de-France
Pourquoi Salah Abdeslam souhaite «discuter» avec les victimes des attentats ?
Staff Nov 11, 2025 0

Condamné à la perpétuité incompressible pour les attentats du 13 novembre 2015, Salah Abdeslam aimerait «ouvrir une porte aux parties…

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Paris & Île-de-France
Comment se dérouleront les hommages aux victimes des attentats ce jeudi sur chacun des lieux des attaques ?
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Dix ans après les attentats terroristes qui ont fait 132 morts et plus de 350 blessés, une série de cérémonies…

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Paris & Île-de-France
L’avocat d’une suspecte avance que TikTok a une grande influence dans l’accès aux contenus djihadistes, en particulier chez les jeunes. «TikTok représente une entrée massive dans les contenus djihadistes», affirme l’avocat d’une suspecte, soulignant que la multiplication des canaux de diffusion de la propagande djihadiste, notamment sur TikTok, contribue à un rajeunissement massif des acteurs impliqués.
Staff Nov 10, 2025 0

Particulièrement jeunes, les suspectes d’une préparation d’attentat à Paris étaient en lien sur les réseaux sociaux. L’avocat de l’une d’elles…

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Les gérants dénoncent «une concurrence déloyale».
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Depuis le 1er novembre, les bars et restaurants de trois quartiers de Levallois-Perret doivent fermer au public tous les soirs…

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Le stand de Shein au BHV Marais attire plus de 50 000 visiteurs et prévoit d’élargir sa capsule avec plus de produits.
Staff Nov 10, 2025 0

Alors que la plateforme Shein a ouvert mercredi son premier magasin physique au monde au sein du BHV Marais, le…

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Pourquoi quatre personnes ont été interpellées à la suite d’une rixe ?
Staff Nov 9, 2025 0

On Saturday, three pro-Israeli activists and one pro-Palestinian were arrested after a brawl. This incident occurred as the suspects were…

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Inauguration du Square Estelle à Guermantes en hommage à Estelle Mouzin
Staff Nov 9, 2025 0

In Guermantes, Seine-et-Marne, the inauguration took place this Saturday in the presence of her family and a few close relatives.…

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Paris & Île-de-France
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Staff Nov 8, 2025 0

Cette annonce intervient une semaine après l’incarcération de deux policiers accusés d’y avoir violé une jeune femme. La Quotidienne Société…

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  • Adapter pour obtenir des dons : les associations caritatives face à la baisse des subventions L’adaptation devient essentielle pour les associations caritatives afin de compenser la baisse des subventions et obtenir des dons.
  • Le 13 novembre 2015, la vie de Gaëtan Honoré a basculé. 10 ans après avoir survécu aux attentats du Bataclan, le Nivernais raconte avec précision ce qu’il a vu, ce qu’il a vécu et comment il a avancé avec ce traumatisme lié à cette soirée marquée par un attentat. Le 13 novembre 2015, Gaëtan Honoré devait passer une soirée festive à Paris avec un ami et sa cousine. Mais alors qu’il était dans la fosse pour assister à un concert des Eagles of Death Metal, des terroristes ont fait irruption et ont commencé à tirer sur la foule. De cette nuit cauchemardesque, dont il est sorti indemne physiquement, ce Nivernais garde des souvenirs d’une précision glaçante. Près de 10 ans plus tard, il a répondu aux questions de Rémy Chidaine et Sophie Hémar, nos journalistes dans la Nièvre. Gaëtan Honoré : «C’était un week-end assez important pour moi, car je préparais l’ENA à l’époque. J’avais un concours blanc le samedi 14. Avec mon ami, nous avions décidé de consacrer ce week-end à la musique. Il y avait eu le premier concert des Eagles le vendredi.» «Le samedi soir, il y avait également un autre concert d’Electric Six. Nous devions terminer le dimanche avec une exposition à la Cinémathèque sur Martin Scorsese. C’était un week-end que nous avions attendu avec impatience, nous étions très enthousiastes.» «Quand je repense à cette scène, mes souvenirs sont extrêmement précis. J’ai d’abord pensé que c’était une mise en scène loufoque du groupe avec des pétards. Mais j’ai rapidement compris que c’était quelque chose de dramatique.» «Je voyais les gens tomber autour de moi et le silence qui a suivi m’a fait réaliser que nous étions loin d’être dans une ambiance festive. Ceux qui tiraient nous visaient vraiment.» «Aucun détail ne m’échappe. J’ai une vision très précise de cette soirée. Lors de la première série de tirs, j’ai été poussé vers l’avant dans la foule, sans issue là où j’étais. Je suis tombé une première fois. Puis, les terroristes rechargeaient et je me relevais. Je suis tombé une deuxième fois. Le sang sur le parquet le rendait très glissant.» «Quelqu’un est tombé sur moi, une personne assez corpulente. Il me parlait et me guidait sur les déplacements des terroristes. J’ai ressenti un fort impact. J’ai ensuite compris que la personne était décédée sur moi.» «Le silence et le sang qui coulait sur moi. Je me souviens encore du sang dans l’oreille. C’était une expérience marquante. Après cela, je me suis relevé et suis allé sur la droite de la scène, derrière le rideau.» «Je me suis caché et j’ai attendu. J’ai entendu une énorme explosion à un moment donné. J’ai reçu des projectiles sur le visage. J’ai cru qu’une canalisation avait explosé. En lisant les témoignages, notamment celui du policier intervenant, j’ai compris que c’étaient des morceaux de chair du terroriste qui s’était fait exploser.» «Je me suis caché derrière le rideau, pensant être protégé. J’ai mis ma tête dans une poubelle et j’ai attendu.» J’étais vraiment encore sur la scène. Ensuite, la BRI est arrivée. Ils nous ont sortis. J’étais vraiment dans l’endroit où il y a eu le plus de victimes finalement. Je crois que les 90 victimes sont quasiment toutes identifiées dans ce périmètre. Ensuite, nous avons été orientés vers cette cour, cette fameuse cour d’immeubles, où j’ai retrouvé les deux personnes avec qui j’étais au concert. G.H : Comme j’avais pu identifier les terroristes, j’avais vu leur visage, je les avais entendus revendiquer. Un des policiers qui prenait une première déposition m’a demandé d’aller au 36 quai des Orfèvres. Donc là, je suis monté dans un bus de la RATP avec une couverture de survie. Et je suis allé directement au 36. J’ai raconté mon récit quatre, cinq, six fois. Cela a été extrêmement répétitif. Mais avec le recul, c’était assez cathartique, finalement. Parce que cela m’a permis vraiment d’en parler très rapidement. Je suis ressorti vers 6 heures du matin avec un pull qui n’était pas à moi, une couverture de cheville qu’on m’avait demandé. Et puis on m’a dit : «C’est bon, maintenant, vous pouvez retourner chez vous». Sauf que préalablement, j’habitais dans la Nièvre. J’ai pu retrouver le chemin pour aller retrouver l’appartement de ma sœur. C’est ce moment lunaire, d’être dans Paris, vide, au petit matin. Et à marcher comme cela, avec des habits remplis de sang. Et puis d’essayer de trouver de façon complètement hasardeuse, l’appartement de ma sœur. J’y suis arrivé. Alors que je connaissais encore moins Paris que maintenant. Cela reste toujours une énigme un petit peu comment on arrive, quand même, à parfois se remobiliser, à faire en sorte de retrouver le chemin. Avec le recul, je pense que j’ai assez vite compris qu’on ne pouvait pas effacer les souvenirs et que l’enjeu de la vie d’après serait d’être en mesure de vivre avec ce traumatisme. J’ai l’habitude de dire que cette situation de stress post-traumatique, c’est vraiment une guerre d’attrition. C’est-à-dire que vous avez une sorte de ressac qui revient très régulièrement, avec des éléments extérieurs qui vous échappent, qui vous rattrapent. J’ai découvert depuis dix ans la question de l’intranquillité. J’ai un trouble majeur du sommeil aussi. J’ai vraiment des longues périodes d’insomnie. Cela devient un enfer, ces nuits. J’ai envie de dire parfois que cela devient même un ennemi, le sommeil. C’est un combat de tous les jours. Je crois que j’ai pu conscientiser qu’il y a deux axes. C’est l’agrégation entre le faire, l’agir, et puis le penser. Le faire, cela a été plutôt de me lancer dans des pratiques sportives au long cours, avec vraiment une expérience. Et l’ultra-trail, en tout cas, m’a permis de vivre cela.
  • Pour lire plus tard, sauvegardez cet article en vous connectant ou en créant un compte sur franceinfo. Sans paiement. Le magazine Sans abonnement dévoile une enquête collaborative sur le coût de la décontamination du continent européen par les «polluants éternels», et sur les campagnes d’influence de certains industriels pour éviter leur interdiction. Ce sont des molécules chimiques auxquelles les industriels sont devenus accros, qui rendent les poêles antiadhésives, les tissus imperméables. On les retrouve aussi parfois dans les produits cosmétiques et dans les emballages alimentaires des sandwichs. Leur nom : les PFAS. Il en existe près de 10 000. Au fil des années, certaines sont reconnues comme cancérogènes. Le PFOA, une substance utilisée pendant des décennies par les géants de la chimie, a été interdit en France en 2020. En collaboration avec 46 journalistes européens du Forever Lobbying Project, les équipes de «Complément d’enquête» ont investigué sur les stratégies des industriels pour défendre ces substances alors qu’à l’Assemblée nationale et aux autorités européennes, des projets d’interdiction des PFAS sont en discussion. «Complément d’enquête» révèle comment certains industriels sont parvenus à convaincre les élus et gouvernants que certaines de ces substances seraient sans risque. Aux Etats-Unis, les géants de la chimie connaissent la dangerosité de certains PFAS depuis des décennies mais ils l’ont longtemps dissimulée.
  • Dix ans après le 13-Novembre, les musulmans de France ressentent le besoin de «justifier toutes les horreurs commises au nom de leur religion» en raison de l’amalgame entre islam et islamisme. Dix ans après les attentats du 13-Novembre, les musulmans de France ressentent toujours le poids de devoir «se justifier de toutes les horreurs commises au nom de leur religion». Dix ans après les attentats du 13-Novembre, les musulmans de France ressentent toujours le poids de devoir «se justifier pour toutes les horreurs commises au nom de leur religion».
  • Suspension possible de Shein en France: Audience le 26 novembre

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Staff Nov 12, 2025
France
Le 13 novembre 2015, la vie de Gaëtan Honoré a basculé. 10 ans après avoir survécu aux attentats du Bataclan, le Nivernais raconte avec précision ce qu’il a vu, ce qu’il a vécu et comment il a avancé avec ce traumatisme lié à cette soirée marquée par un attentat. Le 13 novembre 2015, Gaëtan Honoré devait passer une soirée festive à Paris avec un ami et sa cousine. Mais alors qu’il était dans la fosse pour assister à un concert des Eagles of Death Metal, des terroristes ont fait irruption et ont commencé à tirer sur la foule. De cette nuit cauchemardesque, dont il est sorti indemne physiquement, ce Nivernais garde des souvenirs d’une précision glaçante. Près de 10 ans plus tard, il a répondu aux questions de Rémy Chidaine et Sophie Hémar, nos journalistes dans la Nièvre. Gaëtan Honoré : «C’était un week-end assez important pour moi, car je préparais l’ENA à l’époque. J’avais un concours blanc le samedi 14. Avec mon ami, nous avions décidé de consacrer ce week-end à la musique. Il y avait eu le premier concert des Eagles le vendredi.» «Le samedi soir, il y avait également un autre concert d’Electric Six. Nous devions terminer le dimanche avec une exposition à la Cinémathèque sur Martin Scorsese. C’était un week-end que nous avions attendu avec impatience, nous étions très enthousiastes.» «Quand je repense à cette scène, mes souvenirs sont extrêmement précis. J’ai d’abord pensé que c’était une mise en scène loufoque du groupe avec des pétards. Mais j’ai rapidement compris que c’était quelque chose de dramatique.» «Je voyais les gens tomber autour de moi et le silence qui a suivi m’a fait réaliser que nous étions loin d’être dans une ambiance festive. Ceux qui tiraient nous visaient vraiment.» «Aucun détail ne m’échappe. J’ai une vision très précise de cette soirée. Lors de la première série de tirs, j’ai été poussé vers l’avant dans la foule, sans issue là où j’étais. Je suis tombé une première fois. Puis, les terroristes rechargeaient et je me relevais. 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Je suis ressorti vers 6 heures du matin avec un pull qui n’était pas à moi, une couverture de cheville qu’on m’avait demandé. Et puis on m’a dit : «C’est bon, maintenant, vous pouvez retourner chez vous». Sauf que préalablement, j’habitais dans la Nièvre. J’ai pu retrouver le chemin pour aller retrouver l’appartement de ma sœur. C’est ce moment lunaire, d’être dans Paris, vide, au petit matin. Et à marcher comme cela, avec des habits remplis de sang. Et puis d’essayer de trouver de façon complètement hasardeuse, l’appartement de ma sœur. J’y suis arrivé. Alors que je connaissais encore moins Paris que maintenant. Cela reste toujours une énigme un petit peu comment on arrive, quand même, à parfois se remobiliser, à faire en sorte de retrouver le chemin. Avec le recul, je pense que j’ai assez vite compris qu’on ne pouvait pas effacer les souvenirs et que l’enjeu de la vie d’après serait d’être en mesure de vivre avec ce traumatisme. J’ai l’habitude de dire que cette situation de stress post-traumatique, c’est vraiment une guerre d’attrition. C’est-à-dire que vous avez une sorte de ressac qui revient très régulièrement, avec des éléments extérieurs qui vous échappent, qui vous rattrapent. J’ai découvert depuis dix ans la question de l’intranquillité. J’ai un trouble majeur du sommeil aussi. J’ai vraiment des longues périodes d’insomnie. Cela devient un enfer, ces nuits. J’ai envie de dire parfois que cela devient même un ennemi, le sommeil. C’est un combat de tous les jours. Je crois que j’ai pu conscientiser qu’il y a deux axes. C’est l’agrégation entre le faire, l’agir, et puis le penser. Le faire, cela a été plutôt de me lancer dans des pratiques sportives au long cours, avec vraiment une expérience. Et l’ultra-trail, en tout cas, m’a permis de vivre cela.
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Dix ans après le 13-Novembre, les musulmans de France ressentent le besoin de «justifier toutes les horreurs commises au nom de leur religion» en raison de l’amalgame entre islam et islamisme. Dix ans après les attentats du 13-Novembre, les musulmans de France ressentent toujours le poids de devoir «se justifier de toutes les horreurs commises au nom de leur religion». Dix ans après les attentats du 13-Novembre, les musulmans de France ressentent toujours le poids de devoir «se justifier pour toutes les horreurs commises au nom de leur religion».
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