Cinq individus ont été inculpés en Belgique pour des soupçons de corruption au Parlement européen au profit de Huawei. Cinq individus ont été inculpés en Belgique pour des soupçons de corruption au Parlement européen en faveur de Huawei. Les enquêteurs se pencheraient sur des lobbyistes agissant pour le compte de Huawei et des assistants parlementaires soupçonnés d’avoir transmis des demandes d’intervention à des eurodéputés. Selon un communiqué du parquet, la corruption aurait été pratiquée de manière «régulière» et «très discrète» depuis 2021, sous couvert de lobbying commercial et prenant diverses formes telles que des rémunérations pour prendre des positions politiques ou encore des cadeaux excessifs tels que des repas, des voyages ou des invitations fréquentes à des matchs de football. La société a réagi en affirmant à l’AFP qu’elle avait une politique de «tolérance zéro» envers la corruption.

Une première vague de perquisitions avait eu lieu le 13 mars en Belgique et au Portugal, dans le cadre de l’enquête ciblant le géant chinois des télécommunications. De nouvelles perquisitions ont eu lieu lundi dans les bureaux du Parlement européen, à Bruxelles.



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Le bâtiment du Parlement européen, à Bruxelles (Belgique), le 29 janvier 2025. (MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP)

Le bâtiment du Parlement européen, à Bruxelles (Belgique), le 29 janvier 2025. (MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP)

Quelque cinq personnes ont été inculpées pour corruption active ou blanchiment dans le cadre de l’enquête ciblant l’entreprise chinoise Huawei pour des soupçons de corruption au sein du Parlement européen, a annoncé le parquet fédéral belge sur son site, mardi 18 mars. Quatre d’entre elles ont été interpellées pour «chef de corruption active et organisation criminelle» et ont été placées sous mandat d’arrêté, détaille le communiqué. La cinquième est poursuivie pour «blanchissement» et a été libérée sous condition

Dans le cadre de cette enquête, de nouvelles perquisitions ont eu lieu lundi dans les bureaux du Parlement européen à Bruxelles, a précisé la justice belge. Une première vague de perquisitions avait eu lieu le 13 mars en Belgique et au Portugal. Une personne a également été interpellée en France. Les enquêteurs se concentreraient sur des lobbyistes travaillant pour Huawei et des assistants parlementaires soupçonnés d’avoir transmis des demandes d’intervention à des eurodéputés. Selon un communiqué du parquet, la corruption aurait été pratiquée de manière régulière et discrète depuis 2021, sous couvert de lobbying commercial, prenant diverses formes telles que des rémunérations pour des prises de positions politiques ou des cadeaux excessifs tels que des frais de bouche, de voyage ou des invitations à des événements sportifs. Huawei a répondu en déclarant à l’AFP qu’elle avait une politique de tolérance zéro envers la corruption. Please rewrite this sentence. Please rephrase Could you please rewrite that?

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