Elle admet maintenant avoir engagé un homme de main pour exercer une pression sur un couple avec lequel elle était en conflit financier. L’influenceuse Kenza Benchrif, connue sous le nom de Poupette Kenza, a reconnu sa participation dans une affaire d’extorsion de fonds pour laquelle elle et son partenaire avaient été placés en détention pendant plusieurs mois en attendant leur jugement, lors d’une interview avec le Parisien le dimanche 18 mai. «J’ai agi de manière incorrecte, je le regrette», déclare la jeune femme de 24 ans, qui compte 1,1 million d’abonnés sur Instagram. L’affaire a débuté avec la plainte déposée en février 2024 par un couple qui avait été soumis à diverses formes de surveillance (physique, installation de mini-caméras autour de leur domicile et balise GPS placée sur leur véhicule) et menacé physiquement par un individu exigeant le paiement de 200 000 euros, comme l’avait expliqué le procureur de la République de Rouen en juillet 2024. L’influenceuse Poupette Kenza admet sa participation à une affaire d’extorsion de fonds et exprime des regrets

L’influenceuse au million d’abonnés sur Instagram explique avoir engagé un homme de main pour «mettre un coup de pression» à un couple avec lequel elle était en litige financier.





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L'influenceuse Poupette Kenza, dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, le 4 mars 2023. (CAPTURE D'ECRAN POUPETTE / YOUTUBE)
L’influenceuse Poupette Kenza, dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, le 4 mars 2023. (CAPTURE D’ECRAN POUPETTE / YOUTUBE)

Elle avoue désormais de vive voix : «J’ai engagé un homme de main et j’ai voulu me faire justice moi-même.» L’influenceuse Kenza Benchrif, alias Poupette Kenza, a reconnu sa responsabilité dans une affaire d’extorsion de fonds pour laquelle elle et son conjoint avaient été incarcérés plusieurs mois en attendant leur procès, dans une interview au Parisien dimanche 18 mai.

«J’ai mal agi, je le regrette», déclare au quotidien la Rouennaise de 24 ans, suivie par 1,1 million de personnes sur Instagram. L’affaire a été déclenchée par la plainte, en février 2024, d’un couple qui a «fait l’objet de diverses surveillances (physiques, implantation de mini-caméra aux abords de leur domicile et balise GPS placée sur leur véhicule) et a été physiquement menacé par un individu sous condition de remise d’une somme de 200 000 euros», avait expliqué en juillet 2024 le procureur de la République de Rouen.

L’influenceuse a engagé un homme de main pour régler un litige financier avec un couple. Selon le parquet, l’individu a été contacté pour mettre la pression sur la personne à qui l’influenceuse devait de l’argent. Cette information a été confirmée par Kenza Benchrif, mise en examen pour tentative d’extorsion en bande organisée et association de malfaiteurs, qui a reconnu sa culpabilité. In a video published on her YouTube channel on March 4, 2023, the influencer Poupette Kenza can be seen. In the video, she admitted to hiring a hitman and taking matters into her own hands. Kenza Benchrif, also known as Poupette Kenza, acknowledged her involvement in a case of extortion for which she and her partner had been imprisoned for several months awaiting trial, in an interview with Le Parisien on Sunday, May 18.

«I acted wrongly, I regret it,» the 24-year-old influencer from Rouen, followed by 1.1 million people on Instagram, told the newspaper. The case began with the complaint in February 2024 from a couple who «were subjected to various surveillance activities (physical, installation of a mini-camera around their home, and a GPS tracker placed on their vehicle) and were physically threatened by an individual demanding a sum of 200,000 euros,» as explained by the prosecutor in July 2024. According to the prosecution, the «individual» «stated that he had contacted the victims to settle a financial dispute with an ‘influencer.'»

«A person recommended this hitman to me [contacted by the influencer for extortion] and presented him as a security agent, accustomed to acting as a trusted mediator for famous personalities,» Kenza Benchrif explained to Le Parisien. «I was told he was strong, physically impressive. I wanted him, with his presence, to put pressure on the acquaintance from whom I wanted to recover money,» said the influencer, who was placed in provisional detention in July before being released on October 31, 2024, and placed under judicial supervision.

«My lawyer explained to me that legally, extortion is taking money by threat or intimidation, so yes, ultimately, it is extortion,» she admitted. «In any case, at the trial, I will not deny my guilt,» Kenza Benchrif assured in the interview. She had already admitted to these facts through her lawyer in November 2024. She now lives near Angers with her partner Allan, confirming his release, who was also indicted for the same offenses. Elle avoue désormais de vive voix : «J’ai engagé un homme de main et j’ai voulu me faire justice moi-même.» L’influenceuse Kenza Benchrif, alias Poupette Kenza, a reconnu sa responsabilité dans une affaire d’extorsion de fonds pour laquelle elle et son conjoint avaient été incarcérés plusieurs mois en attendant leur procès, dans une interview au Parisien dimanche 18 mai.

«J’ai mal agi, je le regrette», déclare au quotidien la Rouennaise de 24 ans, suivie par 1,1 million de personnes sur Instagram. L’affaire a été déclenchée par la plainte, en février 2024, d’un couple qui a «fait l’objet de diverses surveillances (physiques, implantation de mini-caméra aux abords de leur domicile et balise GPS placée sur leur véhicule) et a été physiquement menacé par un individu sous condition de remise d’une somme de 200 000 euros», avait expliqué en juillet 2024 le procureur de la République de Rouen.

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