Une magistrate a été récusée, entraînant la nullité du procès qui devra avoir lieu à une date ultérieure, et dans un autre tribunal argentin.
Au bout de deux mois et demi d’audiences, le procès en Argentine sur les raisons de la mort en 2020 de l’icône du football Maradona a été déclaré nul, jeudi 29 mai, après la récusation d’une magistrate ayant participé à un documentaire non autorisé. La conduite de cette juge a «engendré un préjudice pour les parties accusatrices comme pour la défense», a estimé Maximiliano Savarino, président du tribunal de San Isidro, dans la banlieue de Buenos Aires.
Il a en conséquence prononcé la «nullité du procès» et estimé que celui-ci devrait reprendre «avec un autre tribunal», donc d’autres juges.
Aucune date n’a été fixée pour le nouveau procès, mais il pourrait ne pas avoir lieu avant plusieurs mois. Cette échéance, selon les avocats, est incertaine car certaines parties pourraient faire appel de la décision de nullité rendue jeudi.
Dans ce procès, sept professionnels de santé, dont des médecins, un psychiatre, un psychologue et des infirmiers, étaient jugés pour des négligences ayant potentiellement entraîné la mort de Diego Maradona en novembre 2020. L’ex-footballeur était décédé après des heures d’agonie sur un lit de convalescence à Tigre, après une intervention neurochirurgicale qui s’était pourtant bien déroulée.
Le tribunal a connu un coup de théâtre mardi avec la récusation d’une des trois magistrates, Julieta Makintach, suite à sa participation secrète à une mini-série documentaire. Des avocats de la défense ont demandé la reprise du procès avec un nouveau trio de magistrats après cet épisode rocambolesque.
Une magistrate a été récusée, entraînant la nullité du procès qui devra avoir lieu à une date ultérieure, et dans un autre tribunal argentin. Le procès en Argentine sur les raisons de la mort de l’icône du football Maradona en 2020 a été déclaré nul après deux mois et demi d’audiences. Cela fait suite à la récusation d’une magistrate ayant participé à un documentaire non autorisé, ce qui a été jugé préjudiciable pour les parties accusatrices et la défense. Le président du tribunal de San Isidro a annoncé la nullité du procès et a indiqué qu’il devrait reprendre avec un autre tribunal et d’autres juges, sans préciser de date pour cette reprise.
Le procès impliquait sept professionnels de santé, dont des médecins, un psychiatre, un psychologue et des infirmiers, jugés pour des négligences présumées ayant contribué à la mort de Diego Maradona. L’ancien joueur est décédé en novembre 2020 après des heures d’agonie sur un lit de convalescence à Tigre, près de San Isidro, suite à une intervention neurochirurgicale réussie en apparence.
La récusation de la magistrate Julieta Makintach a entraîné un coup de théâtre au tribunal, suite à la révélation de sa participation à la préparation d’une mini-série documentaire sans le consentement des parties. Les avocats de la défense ont demandé la reprise du procès avec un nouveau trio de magistrats, considérant que l’affaire était entachée par cet épisode rocambolesque.
La décision de nullité du procès pourrait entraîner des retards importants dans la poursuite de l’affaire, notamment si des parties décident de faire appel de cette décision. Il est donc possible que le nouveau procès n’ait lieu que dans plusieurs mois, prolongeant ainsi l’incertitude autour de cette affaire.
Malgré les rebondissements et les obstacles rencontrés lors de ce procès, l’espoir de faire toute la lumière sur les circonstances entourant la mort de Diego Maradona reste intact. Les familles des parties impliquées, ainsi que les fans du légendaire joueur de football, espèrent que la vérité éclatera et que justice sera rendue.
Au bout de deux mois et demi d’audiences, le procès en Argentine sur les raisons de la mort en 2020 de l’icône du football Maradona a été déclaré nul, jeudi 29 mai, après la récusation d’une magistrate ayant participé à un documentaire non autorisé. La conduite de cette juge a «engendré un préjudice pour les parties accusatrices comme pour la défense», a estimé Maximiliano Savarino, président du tribunal de San Isidro, dans la banlieue de Buenos Aires.
Il a en conséquence prononcé la «nullité du procès» et estimé que celui-ci devrait reprendre «avec un autre tribunal», donc d’autres juges.
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