«Je pourrais emprunter la voie de gauche», premiers contrôles ce vendredi

Les contrôles sur la voie réservée au covoiturage du périphérique parisien entrent en vigueur à partir de ce vendredi 2 mai. Dix radars permettent aux autorités de s’assurer que les usagers respectent la mesure. Ils risque sinon une amende de 135 euros.

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En semaine, si vous voyez ce panneau lumineux en forme de losange, de 7h à 10h30 et de 16h à 20h, c’est qu’il y a une interdiction d’emprunter la voie de gauche sur le périphérique sans être accompagné.

Jusque-là, la mesure n’était pas toujours respectée. «Ça peut m’arriver de prendre la voie de gauche, très honnêtement», concède une automobiliste rencontrée ce vendredi matin.

Mais à partir de ce 2 mai, les automobilistes pourront être verbalisés : 135 euros d’amende en cas d’infraction.

En plus des personnes en covoiturage, seuls les taxis, les services de secours et de sécurité ainsi que les détenteurs de la carte mobilité inclusion pourront circuler à gauche.

Seules certaines catégories peuvent utiliser les voies réservées sur le périphérique parisien.

© France Télévisions

Si certains apprécient cette nouvelle réglementation et saluent le soutien au covoiturage, d’autres ont des doutes sur l’efficacité de la mesure.

«Ça va créer encore plus d’embouteillages», pense un automobiliste quand une autre regrette que «ce n’est pas très égalitaire pour les personnes qui habitent en banlieue et qui doivent venir travailler à Paris et qui se retrouvent encore en difficulté alors qu’avec des enfants, ils doivent prendre leur voiture».

Pour plusieurs conducteurs croisés ce matin, les voitures qui se rabattent à droite pourraient même causer un nouveau danger sur la route.

Pour le moment, seule la portion du périphérique entre Quai d’Issy et la porte de Bercy n’est pas concernée par ce dispositif.

Un reportage de J. Saccal / E. Stervinou et J. Fagot.

«Ça peut m’arriver de prendre la voie de gauche, très honnêtement», concède une automobiliste rencontrée ce vendredi matin.

Mais à partir de ce 2 mai, les automobilistes pourront être verbalisés : 135 euros d’amende en cas d’infraction.

En plus des personnes en covoiturage, seuls les taxis, les services de secours et de sécurité ainsi que les détenteurs de la carte mobilité inclusion pourront circuler à gauche.

Si certains apprécient cette nouvelle réglementation et saluent le soutien au covoiturage, d’autres ont des doutes sur l’efficacité de la mesure.

«Ça va créer encore plus d’embouteillages», pense un automobiliste quand une autre regrette que «ce n’est pas très égalitaire pour les personnes qui habitent en banlieue et qui doivent venir travailler à Paris et qui se retrouvent encore en difficulté alors qu’avec des enfants, ils doivent prendre leur voiture».

Pour plusieurs conducteurs croisés ce matin, les voitures qui se rabattent à droite pourraient même causer un nouveau danger sur la route.

Pour le moment, seule la portion du périphérique entre Quai d’Issy et la porte de Bercy n’est pas concernée par ce dispositif.

Un reportage de J. Saccal / E. Stervinou et J. Fagot.

Une automobiliste rencontrée ce vendredi matin admet : «Il peut m’arriver de prendre la voie de gauche, très honnêtement». Cependant, à partir du 2 mai, les automobilistes pourront être verbalisés avec une amende de 135 euros en cas d’infraction.

En plus des personnes en covoiturage, seuls les taxis, les services de secours et de sécurité, ainsi que les détenteurs de la carte mobilité inclusion seront autorisés à circuler à gauche.

Certains apprécient cette nouvelle réglementation en soutien au covoiturage, mais d’autres doutent de son efficacité. Un automobiliste pense que cela va créer plus d’embouteillages, tandis qu’une autre estime que ce n’est pas équitable pour les personnes vivant en banlieue et devant se rendre à Paris pour travailler, surtout avec des enfants à bord.

Pour plusieurs conducteurs rencontrés ce matin, les voitures se rabattant à droite pourraient même causer de nouveaux dangers sur la route. Pour l’instant, seule la portion du périphérique entre Quai d’Issy et la porte de Bercy n’est pas concernée par cette mesure.

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