La jeune femme est à la fois ambulancière, formatrice et infirmière. Un travail «utile» et qui «motive», malgré la fatigue.
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Her black eyes and dark skin, which make her look like a Latin American, have earned her the nickname «Kuba». Being a woman in the army has never been a problem for her. There are indeed «sexist jokes, unpleasant moments,» she says, «but they are exceptions.»
Talking about Kuba also means talking about her inseparable companion, Pastèque, a young dachshund found in the ruins of Kherson. He comforts her when she returns from a medical post on the front line because «yes, I am tired. We are all tired!» admits Kuba. «But I have no choice. You do what you have to do and see that it is useful, you see the results. That’s what motivates you,» she adds.
Much more than the gestures of Donald Trump. «I knew he wouldn’t get along with Putin, that no one would,» she says. That’s why «we must rely only on ourselves,» says Kuba, who claims not to know «when this war will end,» but who is «100% sure» that «it will end with our victory!». The young woman will then be able to return to civilian life, reopen her sewing workshop in Kiev, and maybe have a child.
The young woman is both an ambulance driver, trainer, and nurse. Travailler dur malgré la fatigue est un défi que relève «Kuba», une ancienne couturière devenue ambulancière et formatrice dans l’armée ukrainienne. Son travail, bien que fatigant, est à la fois utile et motivant. Être une femme dans l’armée n’a jamais été un problème pour Kuba. Bien qu’il y ait eu des blagues sexistes et des moments désagréables, elle les considère comme des exceptions. Parler de Kuba signifie également parler de son fidèle compagnon, Pastèque, un jeune teckel qu’elle a trouvé dans les ruines de Kherson. Pastèque est son réconfort lorsqu’elle revient d’un poste médical sur le front, car elle reconnaît qu’elle est fatiguée, tout comme les autres. Malgré la fatigue, Kuba affirme qu’elle n’a pas d’autre choix que de continuer. Elle fait ce qu’elle doit faire, constate son utilité et voit les résultats, ce qui la motive.
Kuba ne porte pas beaucoup d’espoir sur les relations internationales, notamment entre Donald Trump et Poutine. Elle ne croit pas en leur capacité à s’entendre, c’est pourquoi elle est convaincue que l’Ukraine ne peut compter que sur elle-même. Elle ne sait pas quand la guerre prendra fin, mais elle est certaine à 100% que cela se terminera par la victoire de son pays. À ce moment-là, elle pourra retrouver une vie civile normale, rouvrir son atelier de couture à Kiev et peut-être fonder une famille.
Kuba, âgée de 28 ans, est l’une des 70 000 femmes ukrainiennes engagées sur le front. Elle est ambulancière, formatrice et infirmière, des rôles qui montrent sa polyvalence et son engagement envers son pays. Son histoire est un témoignage poignant de la force et de la détermination des femmes ukrainiennes qui se battent pour leur patrie.
Le lien ci-dessous vous permettra d’écouter un reportage sur Kuba, réalisé par Isabelle Labeyrie, qui met en lumière le courage et la résilience de cette jeune femme sur le front ukrainien.
Dans les pas de «Kuba», 28 ans, l’une des 70 000 femmes ukrainiennes engagées sur le front. Reportage d’Isabelle Labeyrie. écouter (2min)
En conclusion, Kuba incarne la force, le dévouement et la détermination des femmes ukrainiennes qui se battent pour leur pays. Son histoire est inspirante et mérite d’être entendue et partagée. Travailler avec acharnement malgré la fatigue, en réalisant des tâches à la fois utiles et motivantes.
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