France

La CRS 82 reste mobilisée à Rennes contre les narcotrafiquants

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Following a recent shooting in the Villejean neighborhood of Rennes, the issue of securing the area remains the main concern. The Ille-et-Vilaine Prefecture announces that CRS 82, a specialized mobile force unit in maintaining order, remains deployed on site this Sunday, May 4, as a «rapid strike force» during clashes between drug traffickers.

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The trauma of the recent shooting in the Villejean neighborhood on Saturday, May 3, 2025, remains vivid in the minds of residents, who fear new clashes in the coming days.

To try to restore order in the Villejean neighborhood, Ille-et-Vilaine Prefect Amaury de Saint-Quentin assured that «CRS 82, a specialized mobile force unit in urban order maintenance, remains mobilized on site at least for this Sunday, May 4.» CRS 82 was deployed on Saturday evening in Villejean and will spend another night on site.

Established in 2023 and described by authorities as «a real striking force against urban violence,» CRS 82 is «a mobile unit deployable in less than 30 minutes, day or night.»

Its mission is to provide «support to police forces» during tense situations, such as riots in New Caledonia in May 2024 or clashes between drug traffickers that plague the city of Rennes.

The deployment of additional law enforcement is a crucial issue to restore peace in the Villejean neighborhood in Rennes. Today, residents live in fear, amidst a «battlefield» between different drug dealer groups.

Residents of Villejean in Rennes live in fear due to repeated shootings between drug traffickers plaguing their neighborhood.
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© France 3 Bretagne

«We need urgent measures because it’s going to end badly,» says Régine Komokoli, a departmental elected official who lives in the Villejean neighborhood and fears that stray shots and bullets could lead to a tragedy. «We don’t want to mourn the death of a child or a neighbor.»

CRS 82 is a strong initial measure, but it could be temporary, as the unit is in high demand across France. Several elected officials and police unions explicitly request «significant and sustainable police reinforcements» to prevent new episodes of street vendettas, witnessed by residents.

La Préfecture d’Ille-et-Vilaine a déclaré que la CRS 82, une unité spécialisée dans le maintien de l’ordre, restera déployée ce dimanche 4 mai en tant que «force de frappe rapide» lors d’affrontements entre narcotrafiquants.

Le traumatisme causé par la fusillade récente dans le quartier de Villejean le samedi 3 mai 2025 est encore très présent dans l’esprit des habitants, qui redoutent de nouveaux affrontements à venir.

Pour rétablir l’ordre dans le quartier de Villejean, le Préfet d’Ille-et-Vilaine, Amaury de Saint-Quentin, a assuré que la CRS 82, une unité mobile spécialisée dans le maintien de l’ordre en zone urbaine, restera mobilisée sur place au moins jusqu’à ce dimanche 4 mai. Cette unité avait été déployée dès samedi soir à Villejean et passera une nouvelle nuit sur place.

Créée en 2023, la CRS 82 est décrite par les autorités comme une force de frappe contre les violences urbaines, mobilisable en moins de 30 minutes, de jour comme de nuit. Elle apporte un soutien aux effectifs de police lors de situations tendues, telles que les émeutes en Nouvelle-Calédonie en mai 2024 ou les affrontements entre narcotrafiquants à Rennes.

Le renforcement des forces de l’ordre est crucial pour ramener la paix dans le quartier de Villejean à Rennes, où les habitants vivent dans la peur au milieu d’un champ de bataille entre différents groupes de dealers de drogue.

Régine Komokoli, élue départementale de Villejean, souligne l’urgence de la situation en craignant qu’un drame ne survienne à cause de tirs et balles perdues. Elle appelle à des moyens urgents pour éviter une tragédie.

La présence de la CRS 82 est une première mesure forte, mais il est nécessaire d’envisager des renforts policiers durables pour prévenir de nouveaux épisodes de violence. Les élus et les syndicats de police demandent des renforts importants et permanents pour assurer la sécurité des habitants et éviter tout règlement de compte sur la voie publique.

Au lendemain de la fusillade à Villejean, la question de la sécurisation de la zone reste la préoccupation principale, et il est impératif de prendre des mesures efficaces pour protéger les habitants et restaurer l’ordre dans le quartier. La préfecture d’Ille-et-Vilaine informe que la CRS 82, unité spécialisée dans le maintien de l’ordre, reste déployée sur place ce dimanche 4 mai en tant que «force de frappe rapide» lors des affrontements entre narcotrafiquants.

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Un accouchement somme toute assez classique pour la sage-femme, qui, trois mois plus tard, le 5 mars 2025, tombe des nues en recevant une notification de suspension de la part de l’Agence régionale de Santé (ARS) de Nouvelle Aquitaine. «Ils ont estimé, trois mois plus tard, que j’étais dangereuse», déplore Marie Formey. Une sage-femme a été suspendue après un accouchement à domicile, la quatrième en six mois dans la région. Le signalement provient du centre hospitalier de Libourne avec le motif suivant : une hémorragie grave sévère de la délivrance. «La sage-femme qui a fait ce signalement a inventé qu’il y avait une hémorragie grave de la délivrance, sans aucune preuve», proteste Marie Formey qui pratique les accouchements à domicile depuis un an. Dans tous les dossiers, que ce soit les miens ou ceux de l’hôpital, il n’y a aucune trace d’hémorragie !» La patiente a même informé l’ARS qu’elle n’avait jamais saigné. La jeune sage-femme de 32 ans est convoquée par l’ARS le 6 mars 2025, au lendemain de la notification de sa suspension. «Légalement, ils ont jusqu’à trois jours après la suspension pour convoquer la sage-femme et systématiquement ils le font le lendemain», déplore maître Etienne Tête, avocat de Marie Formey. L’une des consœurs de la sage-femme est également convoquée par l’ARS de Nouvelle Aquitaine ce même jour. «On se rend compte qu’on est deux à avoir été suspendues le même jour. Pour ma consœur, il s’agit d’un accouchement qui a eu lieu des mois après moi et elle est convoquée le 6 mars. Est-ce qu’ils ont fait une pierre deux coups ? On se pose la question, on sent réellement une défiance», commente Marie Formey. Signalée par un professeur du groupe hospitalier Pellegrin à Bordeaux, cette seconde sage-femme est finalement dé-suspendue 24 heures après sa convocation à l’ARS. «Le professeur à l’origine du signalement est connu pour être anti accouchement à domicile. 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Les sages-femmes exerçant l’accouchement à domicile sont regroupées en association depuis 2019, l’APAAD (association professionnelle de l’accouchement accompagné à domicile), pour mettre en avant cette pratique et favoriser son intégration au système de santé français. En Nouvelle Aquitaine, elles sont 22 à proposer cet accompagnement, dont neuf en Gironde. Une sage-femme a été suspendue après un accouchement à domicile, la quatrième en six mois dans la région. La première est habituellement réservée aux professionnelles de santé incapables d’exercer physiquement, ce qui n’est pas le cas de Marie Formey. Suspendue depuis plus de deux mois, Marie Formey, qui a récemment ouvert son cabinet à Libourne, s’est retrouvée sans revenu du jour au lendemain. 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Il déplore le manque de réglementation claire à ce sujet. La chambre disciplinaire de l’ordre des sages-femmes de Toulouse devrait statuer sur le cas de Marie Formey d’ici le 19 mai.
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