La Pagaille, une ressourcerie inclusive, est bien plus qu’une simple recyclerie. Située dans le Val-de-Marne, on y trouve des vêtements de seconde main ainsi qu’une cantine pour se restaurer. Tous les objets sont triés, récupérés, réparés, et parfois même customisés pour être revendus à des prix abordables. Gaëtan Lecompte est à l’origine de ce lieu atypique, avec pour objectif de rassembler différents projets et idées en un seul endroit. La boutique sert également de lieu de tri écologique et de cantine ouverte à tous. Les salariés, parfois, prennent en charge la cuisine pour les habitués : «Ici, c’est un restaurant associatif de quartier. C’est une cantine à prix libre, ouverte à tous, sans obligation de participation financière», déclare Raphaël, le cuisinier de l’équipe. Cette association est un atelier et chantier d’insertion qui accompagne entre 25 et 30 salariés en transition professionnelle avec des programmes d’un à deux ans. 85% d’entre eux trouvent des stages, des formations et des emplois à la clé. Muriel Czeladka, en insertion à La Pagaille, aspire à créer sa propre entreprise de mode. La structure lui offre des formations et une voie vers la professionnalisation : «Ce qui me touche à La Pagaille, c’est qu’on est au cœur de l’humain». La Pagaille, une ressourcerie inclusive à Ivry-sur-Seine

C’est une recyclerie mais aussi une cantine, en bref, un lieu pas comme les autres. À La Pagaille, dans le Val-de-Marne, on peut acheter des vêtements de seconde main avant d’aller manger un morceau.

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À La Pagaille, tous les objets sont triés, récupérés, réparés et parfois même raccommodés pour être vendus à moindre coût. Ce lieu, c’est Gaëtan Lecompte qui en est à l’origine : «Ce qu’on voulait, c’était donner un côté un peu déstructuré qui peut être l’imbrication de plein de projets différents et qui peut amener à réunir plein d’idées autour d’un même lieu».

Dans la cuisine de La Pagaille, tout le monde met la main à la pâte

© France 3 PIDF

De fait, la boutique est aussi un lieu de tri écologique et une cantine ouverte à toutes et tous. Parfois, lorsqu’elle est fermée, ce sont les salariés qui cuisinent pour toute la maisonnée : «Ici, c’est un restaurant associatif de quartier. C’est une cantine à prix libre, c’est-à-dire que les gens peuvent venir manger, c’est ouvert à tout le monde» et aucune participation obligatoire n’est demandée, assure Raphaël, le cuisinier de la bande.

L’association forme et emploie celles et ceux qui se sont détournés un temps du monde du travail : «On est atelier et chantier d’insertion, on a un agrément pour pouvoir accompagner entre 25 et 30 salariés en transition professionnelle avec des accompagnements entre un et deux ans». L’issue est positive pour 85% d’entre eux avec des stages, des formations et des contrats à la clef.

Dans son élément, Muriel place les vêtements de seconde main sur les portants de l’association

© France 3 PIDF

Muriel Czeladka aimerait bien monter sa propre entreprise de mode, être en insertion à La Pagaille lui ouvre la voie des formations et à une professionnalisation : «Ce qui me touche à La Pagaille, c’est qu’on est au cœur de l’humain.

Il y a une telle variété de personnes que nous venons travailler le matin avec beaucoup de joie car nous voulons contribuer à la société. L’association prévoit d’ouvrir deux nouvelles boutiques dans le centre-ville d’Ivry-sur-Seine. Un reportage de B.Lopez, G. Le Gouic et N.Lecestre. Retrouvez la rubrique #Kestuf, tous les mardis dans votre JT ICI 12/13 sur France 3 Paris Île-de-France ou en replay sur france.tv/idf. C’est une recyclerie mais aussi une cantine, en bref, un lieu pas comme les autres. À La Pagaille, dans le Val-de-Marne, on peut acheter des vêtements de seconde main avant d’aller manger un morceau. À La Pagaille, tous les objets sont triés, récupérés, réparés et parfois même raccommodés pour être vendus à moindre coût. Ce lieu, c’est Gaëtan Lecompte qui en est à l’origine : «Ce qu’on voulait, c’était donner un côté un peu déstructuré qui peut être l’imbrication de plein de projets différents et qui peut amener à réunir plein d’idées autour d’un même lieu». De fait, la boutique est aussi un lieu de tri écologique et une cantine ouverte à toutes et tous. Parfois, lorsqu’elle est fermée, ce sont les salariés qui cuisinent pour toute la maisonnée : «Ici, c’est un restaurant associatif de quartier. La Pagaille est une cantine à prix libre où tout le monde est le bienvenu pour venir manger sans aucune participation obligatoire. Raphaël, le cuisinier de l’association, souligne que c’est un lieu ouvert à tous.

En plus de servir des repas, l’association forme et emploie ceux qui sont en transition professionnelle. Avec un agrément pour accompagner entre 25 et 30 salariés, La Pagaille offre des formations et des contrats à la clef, avec un taux de réussite de 85%.

Muriel Czeladka, qui aspire à monter sa propre entreprise de mode, bénéficie de formations et d’une professionnalisation à La Pagaille. Elle souligne l’importance de l’aspect humain de l’association et la diversité des personnes qui y travaillent.

La Pagaille a également prévu d’ouvrir deux nouvelles boutiques dans le centre-ville d’Ivry-sur-Seine.

Un reportage de B.Lopez, G. Le Gouic et N.Lecestre. Retrouvez la rubrique #Kestuf, tous les mardis dans votre JT ICI 12/13 sur France 3 Paris Île-de-France ou en replay sur france.tv/idf. Vous avez la possibilité de vous désinscrire à tout moment en cliquant sur le lien en bas de cette newsletter. Consultez notre politique de confidentialité.

À La Pagaille, tous les objets sont triés, récupérés, réparés et parfois même raccommodés pour être vendus à des prix abordables. Gaëtan Lecompte est à l’origine de ce concept : «Ce que nous voulions, c’était créer un lieu un peu déstructuré qui pourrait accueillir différents projets et favoriser l’échange d’idées».

La boutique est également un lieu de tri écologique et une cantine ouverte à tous. Lorsqu’elle est fermée, les salariés prennent le relais en cuisinant pour tous : «Ici, c’est un restaurant associatif de quartier. C’est une cantine à prix libre, ouverte à tous, et aucune contribution n’est obligatoire», explique Raphaël, le cuisinier.

L’association forme et emploie des personnes qui ont temporairement quitté le marché du travail : «Nous sommes un atelier et chantier d’insertion, avec un agrément pour accompagner entre 25 et 30 salariés en transition professionnelle sur une période de un à deux ans». 85% d’entre eux trouvent une issue positive grâce à des stages, des formations et des contrats.

Muriel Czeladka souhaite créer sa propre entreprise de mode, et son expérience d’insertion à La Pagaille lui offre des formations et une professionnalisation : «Ce qui me touche à La Pagaille, c’est le côté humain au cœur de tout».

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