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La visite des ministres en Isère mercredi a été qualifiée de «spectacle de claquettes» par Laurent Jacobelli. La visite des ministres en Isère mercredi est un «spectacle de haute voltige», selon Laurent Jacobelli.

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Without subscription. Mercredi, le député et porte-parole du Rassemblement National, Laurent Jacobelli, a critiqué la visite de François Bayrou, Gérald Darmanin et Bruno Retailleau à la prison de Saint-Quentin-Fallavier, en Isère. Selon lui, cette visite était un «joli numéro de claquettes».

Il a souligné que les attaques contre les prisons ces derniers jours mettent en lumière «la défaillance de l’Etat depuis au moins quarante ans». Il a mis en avant la présence de mafias de narcotrafiquants, soulignant qu’il y a une action concertée de la part d’un système mafieux qui se rebelle contre la République. Selon lui, ce système revendique un territoire et une économie, en raison de sa puissance qui a été favorisée par le laxisme judiciaire et la transformation des prisons en centres de récréation.

Jacobelli a plaidé en faveur de mesures plus sévères, notamment des peines planchers, l’éviction systématique des étrangers ayant commis des crimes liés à la drogue, et des peines incompressibles. Il a souligné l’importance de la loi sur le narcotrafic, considérant qu’elle constitue un premier pas dans la bonne direction, bien que le chemin à parcourir reste long.

Il a mis en garde contre le risque d’un «narco-Etat» en France si des mesures d’urgence ne sont pas prises. Il a cité l’exemple des Pays-Bas, où les ministres sont menacés et où des tentatives de chantage sont faites à l’encontre de certain magistrats. Jacobelli a exprimé l’espoir que de telles situations n’arrivent jamais en France.

En conclusion, Jacobelli a souligné la nécessité de renforcer la sévérité à travers la loi pour lutter contre le narcotrafic et protéger la société.

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La gendarmerie d’Avignon a lancé un appel à témoins suite à l’évasion du logeur du meurtrier du policier Eric Masson, selon les informations rapportées par ICI Vaucluse. Trois jours après que Ismaël Boutji, 26 ans, alias Le Mexicain, se soit échappé du centre pénitentiaire du Pontet le jeudi 15 mai, un avis de recherche a été publié sur Facebook. Ce dernier avait obtenu une autorisation spéciale pour assister aux funérailles de son frère, tué par un gang rival. L’avis de recherche comprend la photo du fugitif, son nom, son âge et la mention suivante : «Les forces de l’ordre sont activement à la recherche de cet individu, en fuite du Centre Pénitentiaire d’Avignon – Le Pontet depuis le 15 mai 2025.» Toute personne détenant des informations permettant de localiser cet individu est priée de contacter les enquêteurs de la Brigade de recherches d’Avignon au 04 90 80 50 00. Ismaël Boutji était incarcéré pour avoir hébergé le meurtrier du policier Eric Masson, tué par balle en 2021. Son avocate, Charlène Neveu-Sanchez, s’est adressée à lui sur les ondes de ICI Vaucluse en lui demandant de se rendre immédiatement aux autorités : «Ismaël, écoute-moi. Je sais que tu me fais confiance. Je te tends la main», lui a-t-elle imploré, l’invitant à la contacter par tous les moyens possibles. Elle s’est engagée à l’accompagner elle-même à la prison du Pontet (Vaucluse). La gendarmerie d’Avignon fait appel à toute personne pouvant fournir des informations suite à la fuite du complice du meurtrier du policier Eric Masson.
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Le directeur sportif de la section féminine du Stade français a été suspendu suite à des accusations de propos sexistes et lesbophobes, a appris la direction des sports de Radio France auprès du club. Le Stade français a dénoncé que ces faits «vont à l’encontre des principes sur lesquels le club s’appuie». Un signalement a été fait le 17 décembre 2024 par une bénévole responsable du pôle féminin, mentionnant des «propos sexistes et homophobes tenus par le directeur sportif de la partie associative du club». Une enquête interne a été ouverte le 20 décembre 2024, et après avoir auditionné 65 personnes, dont des joueuses, joueurs, entraîneurs et dirigeants, le club a décidé de suspendre le directeur sportif des Pinks Rockets, la section féminine du club, le 6 janvier. Le directeur sportif de la section féminine du Stade français a été suspendu suite à des accusations de propos sexistes et lesbophobes. Il a reçu un blâme qui a été enregistré dans son dossier personnel, ainsi que l’obligation d’adresser des excuses écrites à la victime. Les faits vont à l’encontre des principes sur lesquels le club s’appuie, assure le club qui demande une vigilance permanente de tous afin que cela ne se reproduise pas. Le Stade français adresse tout son soutien à la victime et rappelle son engagement dans la lutte contre toutes les formes de discriminations, violences et autres comportements déplacés. Il précise qu’un référent externe a également été nommé.
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En Angleterre, la méthode controversée mais efficace du «contact tactique» est utilisée par la police depuis 2018. Cette technique consiste à percuter délibérément un scooter avec une voiture de police pour l’arrêter. Par exemple, à Bolton, près de Manchester, la police a diffusé une vidéo montrant un scooter stoppé net lors d’une course-poursuite grâce à cette méthode. Bien que critiquée pour ses risques, cette technique encadrée est réservée à des officiers spécialement formés et est utilisée à basse vitesse pour minimiser les dangers. Selon la police de Londres, l’utilisation du contact tactique a entraîné une baisse de 36% des délits liés aux scooters en 2018, passant de près de 20 000 infractions en 2017 à moins de 12 000 vers la fin de 2018. Bien que les chiffres restent stables depuis, avec environ 11 500 délits en scooter enregistrés en 2023, cette technique reste controversée en raison de son caractère risqué, comme en témoigne un incident en 2022 à Londres où un adolescent de 15 ans a été gravement blessé lors d’un contact tactique alors qu’il était poursuivi pour conduite dangereuse. Le «contact tactique» suscite la controverse au Royaume-Uni, mais est considéré comme efficace. Un agent de police a utilisé cette technique pour arrêter un scooter volé, provoquant des blessures graves. Malgré cela, l’agent a été acquitté car les juges ont jugé son intervention proportionnée. La police justifie l’utilisation du contact tactique en le comparant à d’autres outils comme le taser ou la matraque, mais il est utilisé avec prudence et n’est pas généralisé dans tout le pays.
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