Four soldiers from the 8th Parachute Regiment in Castres (Tarn) have filed complaints against their superiors, alleging violence, psychological harassment, and threats.
The statement was released around 11 p.m. on Thursday, May 16, just a few hours after France 2’s 8 p.m. report on the complaints filed by four soldiers from the 8th Parachute Regiment (8th RPIMa) in Castres (Tarn) against their superiors for violence and harassment.
The Ministry of the Armed Forces stated that it takes these allegations «very seriously» and emphasizes a policy of «zero tolerance» towards such acts.
Determined to shed light on the reported incidents, the Army has decided to launch a command investigation and will assist the judiciary in establishing all responsibilities.
Ministry of the Armed ForcesPress release May 16, 2025
These complaints, filed with the Paris prosecutor’s office on May 9, allege deliberate violence, threats, psychological harassment, and endangering the lives of others. They specifically target hierarchical superiors of the 8th RPIMa and the Ministry of the Armed Forces.
For posting a photo of himself on social media, a 22-year-old soldier told France 2 that he was severely punished: «My commander ordered us to line up and suddenly, he came from behind, tripped me. He got on top of me, pulled out a knife, and put it to my throat. Because of your photos, we can find your damn mother, your damn sister.»
«It is an action of extremely courageous young men who not only want to denounce the serious acts they have been victims of but also want measures to be taken to change practices,» their lawyer, Mr. Thibault Laforcade, told AFP. «It is probably time to question the internal functioning of this institution, which can no longer use archaic and destructive methods,» he continued. «This new generation of soldiers is ready for the rigor required by military commitment but simply wants their fundamental rights not to stop at the doors of the regiments.»
One of the complainants in his complaint maintains that «a true harassment was organized around him, creating a toxic and dangerous environment«.
He «received remarks, insults, and his reluctance to conform to hazing or harassment practices, or to target the scapegoats designated by the leaders only worsened his situation«. According to the complaint, «the management subjected him, as well as other comrades, to degrading punishments«.
In its statement, the Ministry of the Armed Forces considers such behaviors «totally contrary to the mission and values of the Army which are based on the essential brotherhood in arms to fight together as well as the exemplary behavior of its leaders.»
Les graves accusations révélées par France 2 ont incité le ministère des Armées à réagir rapidement dans la nuit du 16 mai, en annonçant l’ouverture immédiate d’une enquête de commandement.
Le communiqué a été diffusé vers 23h le jeudi 16 mai, peu de temps après les révélations de l’émission Oeil du 20 heures de France 2 concernant les plaintes déposées par quatre soldats du 8e régiment de parachutistes (RPIMa) de Castres (Tarn) contre leurs supérieurs pour violences et harcèlement. Le ministère des Armées a affirmé prendre ces accusations très au sérieux et a souligné sa politique de «tolérance zéro» face à de tels actes.
Dans un communiqué de presse daté du 16 mai 2025, le ministère des Armées a déclaré : «Déterminée à faire toute la lumière sur les faits dénoncés, l’armée de Terre a décidé d’initier une enquête de commandement et apportera son concours à la justice pour établir toutes les responsabilités.»
Les plaintes déposées le 9 mai auprès du parquet de Paris dénoncent des violences volontaires, des menaces, du harcèlement moral et une mise en danger de la vie d’autrui. Elles visent spécifiquement des supérieurs hiérarchiques du 8e RPIMa et le ministère des Armées.
Un soldat de 22 ans a rapporté à France 2 avoir été violemment sanctionné pour avoir posté une photo de lui sur les réseaux sociaux : «Mon chef nous a donné l’ordre de nous mettre en rang et d’un coup, il est venu derrière, il m’a mis une balayette comme on dit. Il s’est mis sur moi, il a sorti un couteau et me l’a mis sous la gorge. À cause de tes photos, on peut retrouver ta p… de mère, ta p… de sœur.»
L’avocat des soldats a réagi en qualifiant leur action de courageuse et en soulignant qu’ils souhaitaient dénoncer les actes graves dont ils avaient été victimes et demander que des mesures soient prises pour changer les pratiques. Il a également appelé à une remise en question du fonctionnement interne de l’institution militaire.
Une des plaintes déclare qu’un véritable harcèlement s’est instauré autour d’un des plaignants, créant un environnement toxique et dangereux. Selon la plainte, l’encadrement soumettait non seulement le plaignant, mais aussi d’autres camarades, à des punitions dégradantes.
Le ministère des Armées a condamné ces comportements en les qualifiant de totalement contraires à la mission et aux valeurs de l’armée de Terre, qui reposent sur l’indispensable fraternité d’armes pour combattre ensemble ainsi que l’exemplarité de ses cadres. Les graves accusations révélées par France 2 ont incité le ministère des Armées à réagir rapidement dans la nuit du 16 mai en annonçant l’ouverture immédiate d’une enquête de commandement.
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