Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, l’ancien chef d’Etat avait tenté d’imposer par surprise la loi martiale, envoyant l’armée bloquer le Parlement.

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L’ex-président sud-coréen Yoon Suk-yeol a nié avoir commis tout acte d’«insurrection» lors de sa tentative d’imposer la loi martiale en décembre, lundi 14 avril, au premier jour de l’examen sur le fond de ce dossier au pénal, une procédure où il risque la prison à vie, voire la peine de mort. «Décrire un événement qui n’a duré que quelques heures, qui a été non violent, et accepter immédiatement de qualifier d’insurrection la demande de dissolution de l’Assemblée nationale (…) m’apparaît comme infondé légalement», a-t-il déclaré devant le tribunal central de Séoul, qui après deux audiences préliminaires a commencé à juger l’affaire sur le fond.
Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, Yoon Suk-yeol avait tenté d’imposer par surprise la loi martiale, envoyant l’armée bloquer le Parlement dominé par l’opposition.
Cependant, un nombre suffisant de députés s’est réuni pour contrecarrer ce coup de force qui a choqué le pays. Destitué par la Cour constitutionnelle le 4 avril, après avoir été suspendu de ses fonctions mi-décembre, il doit maintenant faire face à des accusations pénales. Please rewrite this sentence. Please compose again Please rewrite this sentence.
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