Le président destitué a également contesté les accusations de sédition et de violation de la loi sur la sécurité nationale. Il a affirmé qu’il n’avait pas l’intention de renverser le gouvernement légitime et qu’il avait agi pour protéger la démocratie et l’ordre constitutionnel. Yoon Suk-yeol a déclaré qu’il avait agi dans l’intérêt du peuple sud-coréen et qu’il regrettait profondément les conséquences de ses actions. Cette affaire a provoqué une crise politique majeure en Corée du Sud et a entraîné la destitution de Yoon Suk-yeol de la présidence. Les partisans de l’ancien président ont manifesté devant le tribunal central de Séoul pour exprimer leur soutien à Yoon Suk-yeol et demander justice. Le procès devrait durer plusieurs semaines, avec de nombreux témoins appelés à la barre pour témoigner de ce qui s’est passé cette nuit-là. Les autorités sud-coréennes ont renforcé les mesures de sécurité autour du tribunal pour éviter tout incident lors du procès. Les tensions restent vives dans le pays, avec des partisans de Yoon Suk-yeol qui continuent de manifester leur soutien à l’ancien président, tandis que ses détracteurs réclament une condamnation sévère pour ses actions. La décision du tribunal dans cette affaire est très attendue en Corée du Sud et pourrait avoir des répercussions majeures sur l’avenir politique du pays. En Corée du Sud, l’ancien président destitué Yoon Suk-yeol nie toute tentative d’insurrection devant les juges, malgré avoir été destitué par la Cour constitutionnelle le 4 avril. Il a été suspendu de ses fonctions mi-décembre et doit maintenant faire face à des accusations pénales.

Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, l’ancien chef d’Etat avait tenté d’imposer par surprise la loi martiale, envoyant l’armée bloquer le Parlement.





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Des soutiens du président destitué Yoon Suk Yeol manifestent devant le tribunal central de Séoul (Corée du Sud), le 14 avril 2025. (ANTHONY WALLACE / AFP)
Des soutiens du président destitué Yoon Suk Yeol manifestent devant le tribunal central de Séoul (Corée du Sud), le 14 avril 2025. (ANTHONY WALLACE / AFP)

L’ex-président sud-coréen Yoon Suk-yeol a nié avoir commis tout acte d’«insurrection» lors de sa tentative d’imposer la loi martiale en décembre, lundi 14 avril, au premier jour de l’examen sur le fond de ce dossier au pénal, une procédure où il risque la prison à vie, voire la peine de mort. «Décrire un événement qui n’a duré que quelques heures, qui a été non violent, et accepter immédiatement de qualifier d’insurrection la demande de dissolution de l’Assemblée nationale (…) m’apparaît comme infondé légalement», a-t-il déclaré devant le tribunal central de Séoul, qui après deux audiences préliminaires a commencé à juger l’affaire sur le fond.

Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, Yoon Suk-yeol avait tenté d’imposer par surprise la loi martiale, envoyant l’armée bloquer le Parlement dominé par l’opposition.

Cependant, un nombre suffisant de députés s’est réuni pour contrecarrer ce coup de force qui a choqué le pays. Destitué par la Cour constitutionnelle le 4 avril, après avoir été suspendu de ses fonctions mi-décembre, il doit maintenant faire face à des accusations pénales. Please rewrite this sentence. Please compose again Please rewrite this sentence.

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