La montre connectée d’Agathe Hilairet, une jeune joggeuse retrouvée morte début mai 2025 à Vivonne (Vienne), a parlé
Selon les enquêteurs, le corps de la jeune femme aurait été déplacé par l’intervention d’un tiers. Les circonstances de sa mort ne sont toutefois pas encore connues.
Qu’est-il arrivé à Agathe Hilairet, disparue alors qu’elle était partie faire un jogging à Vivonne, près de Poitiers (Vienne) ? Si les causes de sa mort ne sont pas encore déterminées, les enquêteurs privilégient désormais la piste criminelle, selon les informations révélées par le Parisien et confirmées, par une source proche du dossier, à nos confrères de Radio France.
Habituée à courir, la jeune femme de 28 ans était partie de chez elle le 10 avril dernier. Mais contrairement à ses habitudes, elle n’était pas rentrée à son domicile, provoquant l’inquiétude de ses proches. Son corps avait finalement été retrouvé, un mois et demi plus tard, le 4 mai, dans un sous-bois du département.
Selon cette source proche de l’enquête, les éléments contenus dans la montre connectée d’Agathe Hilairet permettent d’acter que la jeune femme a réalisé un effort physique brutal et inhabituel juste avant de mourir. Nos confrères précisent que «l’examen du capteur cardiaque de l’appareil révèle une hausse importante et brusque des battements de son cœur, suivi d’un arrêt définitif des pulsations le jour de sa disparition, ce qui interroge les enquêteurs.»
Autre élément important de l’enquête : l’analyse des données du GPS qui confirme que la jeune victime se trouvait bien dans la zone géographique où les chiens de la gendarmerie ont perdu sa trace quand elle est décédée. «Or, son corps a été retrouvé plus loin, à plusieurs centaines de mètres de là, dans un sous-bois. Pour les gendarmes, son corps a bien été déplacé».
Si des convictions apparaissent désormais, de nombreux mystères demeurent : l’autopsie n’a en effet pas permis de préciser les causes de la mort. Contacté ce 21 juin, le parquet n’a pas souhaité commenter ces informations.
D’importants moyens de recherche avaient été mis en place pour retrouver Agathe. Cette disparition avait également suscité une vive émotion chez les habitants de la commune. «Dans une petite commune comme la nôtre, une disparition, c’est l’affaire de tous», expliquait Sabrina, une habitante de la commune, au moment des recherches. «Les gens sont tristes. Ils voudraient savoir si elle est décédée d’une mort naturelle ou si quelqu’un l’a tuée. On ne se sent pas en sécurité», confiait une dame, alors que le corps d’Agathe venait d’être découvert.
Après une première phase d’enquête pour «disparition inquiétante», une information judiciaire avait été ouverte le 14 avril pour «enlèvement et séquestration». Près de 180 signalements avaient été reçus par les enquêteurs dans le cadre de l’enquête, selon l’AFP.
Les enquêteurs ont révélé que l’examen du capteur cardiaque de la montre connectée a montré une hausse importante et brusque des battements de son cœur, suivie d’un arrêt définitif des pulsations le jour de sa disparition, ce qui suscite des interrogations.
Un autre élément crucial de l’enquête est l’analyse des données GPS, confirmant que la victime se trouvait dans la zone où les chiens de la gendarmerie ont perdu sa trace au moment de son décès. Cependant, son corps a été retrouvé à plusieurs centaines de mètres de là, dans un sous-bois, indiquant un déplacement post-mortem selon les gendarmes.
Malgré ces éléments, l’autopsie n’a pas permis de déterminer les causes exactes de la mort d’Agathe. Le parquet n’a pas souhaité commenter ces informations lorsqu’il a été contacté le 21 juin.
La disparition d’Agathe avait mobilisé d’importants moyens de recherche et ému fortement les habitants de la commune. Certains témoignages exprimaient la tristesse et l’inquiétude quant à la sécurité après la découverte du corps de la jeune femme. Une information judiciaire pour «enlèvement et séquestration» avait été ouverte suite à sa disparition inquiétante, et de nombreux signalements avaient été reçus par les enquêteurs dans le cadre de l’enquête.
En conclusion, l’enquête sur la mort d’Agathe Hilairet soulève de nombreuses questions malgré les avancées réalisées. Les circonstances exactes de sa mort restent floues, et les détails révélés par la montre connectée et les données GPS ont ouvert de nouvelles pistes pour les enquêteurs. La communauté locale reste bouleversée par cet événement tragique et attend des réponses pour apaiser ses inquiétudes et sa tristesse.
Selon nos collègues, l’examen du capteur cardiaque de l’appareil a révélé une augmentation importante et soudaine des battements cardiaques de la victime, suivie d’un arrêt définitif des pulsations le jour de sa disparition, ce qui suscite des interrogations chez les enquêteurs. Une analyse des données GPS a également confirmé que la victime se trouvait dans la zone où les chiens de la gendarmerie ont perdu sa trace avant sa mort, bien que son corps ait été retrouvé plus loin dans un sous-bois, suggérant un déplacement du corps. Malgré des convictions émergentes, les causes exactes du décès n’ont pas encore été déterminées lors de l’autopsie. Les autorités n’ont pas souhaité commenter ces informations.
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