Où se situe le plus vieux arbre de Paris ?

En flânant sur la rive gauche de la Seine, à hauteur de Notre-Dame, vous vous arrêterez peut-être sur un banc du square René-Viviani pour admirer cet arbre qui, de ses 15 mètres de hauteur, contemple quatre siècles d’histoire de la capitale.

Plantée en 1602 sous le règne d’Henri IV, cette essence tient son nom du botaniste Jean Robin. C’est lui qui, après avoir reçu des graines venues d’Amérique du Nord, a planté les premiers spécimens à Paris, dont celui qui demeure actuellement dans le square qui aurait pu être jadis le jardin de l’Ecole de médecine.

Gravure du botaniste Jean Robin en 1608

© BNF

Ce trésor botanique qui a survécu au vent, tempêtes et urbanisation montre toutefois quelques signes de faiblesse atténués par le soin que lui apportent les jardiniers. «Il est très vieux, plus de 400 ans et d’habitude un robinier faux-acacia vit 300 ans environ. Il est en train de mourir tout doucement. Des poteaux en béton, des cordes évitent qu’il se casse » précise Laurent Madaleno.

La ressemblance de ses feuilles et de ses épines avec l’Acacia explique son nom de faux-acacia. Pour les curieux, un autre Robinier est visible au Jardin des Plantes. Il serait issu des rejets de celui planté square Viviani.

C’est lui qui, après avoir reçu des graines venues d’Amérique du Nord, a planté les premiers spécimens à Paris, dont celui qui demeure actuellement dans le square qui aurait pu être jadis le jardin de l’École de médecine.

Ce trésor botanique, qui a survécu au vent, aux tempêtes et à l’urbanisation, montre toutefois quelques signes de faiblesse atténués par le soin que lui apportent les jardiniers. «Il est très vieux, plus de 400 ans et d’habitude un robinier faux-acacia vit 300 ans environ. Il est en train de mourir tout doucement. Des poteaux en béton, des cordes évitent qu’il se casse», précise Laurent Madaleno.

La ressemblance de ses feuilles et de ses épines avec l’acacia explique son nom de faux-acacia. Pour les curieux, un autre Robinier est visible au Jardin des Plantes. Il serait issu des rejets de celui planté square Viviani.

En flânant sur la rive gauche de la Seine, à hauteur de Notre-Dame, vous vous arrêterez peut-être sur un banc du square René-Viviani pour admirer cet arbre qui, de ses 15 mètres de hauteur, contemple quatre siècles d’histoire de la capitale. Plantée en 1602 sous le règne d’Henri IV, cette essence tient son nom du botaniste Jean Robin. C’est lui qui, après avoir reçu des graines venues d’Amérique du Nord, a planté les premiers spécimens à Paris, dont celui qui demeure actuellement dans le square qui aurait pu être jadis le jardin de l’École de médecine.

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