Projet d’aménagement pour l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle à l’horizon 2050 : Ligne de métro automatique, nouvelles salles d’embarquement Projet d’aménagement futur pour l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle.

ADP has presented a project for Roissy-Charles de Gaulle that focuses on adaptation without gigantism. The goal is to better support the growth of traffic and address the «fierce» competition from other international airports.

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To better accommodate passengers and increase competitiveness, ADP presented a «project of adaptation» without «gigantism» for Roissy-Charles de Gaulle by 2035, when the largest airport in the European Union is expected to welcome 88 million passengers.

Without adjustments, the airport manager Aéroports de Paris believes that the reception at the airport located north of Paris «would be done with a greatly degraded quality of service», including «a significant increase in waiting times».

The CEO of the airport manager, Philippe Pascal, referred to it as «a decisive moment for the future of the airport and the ADP group». «Intermodality, especially rail transport, will be at the heart» of this development project, which he described as «anti-gigantism» during a press conference.

The plan does not include new runways or additional terminals: four years after the controversial project to expand the airport through the construction of a fourth terminal was abandoned, ADP indicates that its «development model will no longer be that of Terminal 4, aiming for a massive, single-block increase in its capacity», but rather «a more gradual and modest approach to new constructions», «without oversized capacities».

The goal is to «support the growth of traffic, even moderate» at Roissy-CDG, to «propose a decarbonized airport model» and to «preserve the job creation dynamic at the airport» – which currently relies on nearly 90,000 employees for services such as reception, security, and baggage handling.

The cost of the first phase of the project is estimated at «3.5 to 4.5 billion euros between 2025 and 2035, fully funded by ADP,» said Justine Coutard, deputy general manager of the group, to AFP.

By 2030, a boarding area will be created to the east of terminal 2E «to improve the quality of service offered to passengers, and thus the competitiveness of Air France’s hub. An additional boarding area will also be implemented at the west end of terminal 2A.

ADP also announces «the redesign of the main (zones of) international borders, with adapted and better-sized buildings, to ensure a better quality of service». Thus, at terminal 1, «a project for a new border passage space (…) between the historic terminal and the international boarding area, is under study», while at terminal 2E, «the arrival border passage will be transferred to a new building with a better experience: 4.5 meters high and daylight».

In terms of transportation, the internal automatic metro line «Lisa» will be extended to facilitate the connection between Air France’s hub boarding areas, and «a second fully dedicated automatic metro for connections» will be launched.

The project also includes developing the SNCF station located in terminal 2 of Roissy-CDG, by creating a «train/plane junction building between the CDG2 station and terminal 2E», and by «facilitating routes from baggage delivery areas to the station (…) for passengers returning to Paris by public transport, or connecting customers to mainline trains».

For Anne Rigail, CEO of Air France, this project is a «response» to the «fierce competition from other international airports», and it is necessary to «rise to the level of the best international standards».

ADP has launched a «voluntary public consultation» on its project, open from April 8 to July 8 to 800 municipalities and on the website cdgetvous.groupe-adp.com. Beyond this first phase, the group is considering a second phase of developments for 2050 that will be «closely linked to the observed growth in platform traffic.»

The preferred hypothesis at this stage by ADP «is the creation of additional international boarding lounges to the north of the platform, each with a capacity of 8 million passengers,» while «the extension of the connecting metro network in the international zone could then be carried out, to link all the boarding lounges.»

Mieux accueillir les passagers et gagner en compétitivité: ADP a présenté la semaine dernière un «projet d’adaptation» sans «gigantisme» pour Roissy-Charles de Gaulle à horizon 2035, année où le plus grand aéroport de l’Union européenne devrait accueillir 88 millions de voyageurs.

«Sans aménagements», le gestionnaire Aéroports de Paris estime que l’accueil dans l’aéroport situé au nord de Paris «serait fait avec une qualité de service très dégradée», notamment «une forte augmentation des temps d’attente.»

Le PDG du gestionnaire d’aéroports, Philippe Pascal, a évoqué «un moment déterminant pour l’avenir de l’aéroport et du groupe ADP». «L’intermodalité, notamment le ferroviaire, sera au cœur» de ce projet d’aménagement qu’il a qualifié «d’anti-gigantisme» lors d’un point presse.

Au programme, pas de nouvelles pistes ou de terminaux supplémentaires: quatre ans après l’abandon du projet contesté d’extension de l’aéroport via la construction d’un quatrième terminal, ADP indique en effet que son «modèle d’aménagement ne sera plus celui du Terminal 4, visant une augmentation massive, en un seul bloc, de ses capacités», mais plutôt «une approche plus progressive et plus sobre des nouvelles constructions», «sans surdimensionner les capacités.»

L’objectif est «d’accompagner la croissance du trafic, même modérée» de Roissy-CDG, de «proposer un modèle d’aéroport décarboné» et de «préserver la dynamique de création d’emplois à l’aéroport» – qui s’appuie aujourd’hui sur près de 90.000 salariés pour l’accueil, la sécurité ou encore le transport des bagages.

Le coût de la première phase du projet est estimé à «3,5 à 4,5 milliards d’euros entre 2025 et 2035, entièrement à la charge d’ADP,» a précisé à l’AFP Justine Coutard, directrice générale déléguée du groupe.

Dès 2030, une salle d’embarquement sera créée à l’est du terminal 2E «pour améliorer la qualité de service proposée aux passagers, et ainsi la compétitivité du hub» d’Air France. Une salle d’embarquement supplémentaire se concrétisera aussi à l’extrémité ouest du terminal 2A.

ADP annonce également «la refonte des principales (zones de) frontières internationales, avec des bâtiments adaptés et mieux dimensionnés, pour garantir une meilleure qualité de service». La société Aéroports de Paris (ADP) a récemment dévoilé son plan d’adaptation pour l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. L’objectif principal de ce projet est d’accompagner la croissance du trafic aérien tout en faisant face à une concurrence intense de la part d’autres aéroports internationaux.

Au terminal 1 de l’aéroport, un projet visant à créer un nouvel espace de passage de la frontière entre le terminal historique et la salle d’embarquement internationale est actuellement en cours d’étude. De plus, au terminal 2E, le passage de la frontière à l’arrivée sera transféré dans un nouveau bâtiment offrant une meilleure expérience aux passagers, avec une hauteur de plafond de 4,5 mètres et une lumière naturelle abondante.

En ce qui concerne les transports, la ligne de métro automatique interne «Lisa» sera prolongée pour faciliter la connexion entre les différentes salles d’embarquement du hub d’Air France. De plus, un deuxième métro automatique dédié à la correspondance sera mis en service pour améliorer l’efficacité des déplacements des passagers.

Le projet prévoit également le développement de la gare SNCF située dans le terminal 2 de l’aéroport de Roissy-CDG. Un bâtiment de jonction entre le train et l’avion sera construit pour faciliter les trajets des passagers entre la gare et le Terminal 2E, notamment pour ceux utilisant les transports en commun pour retourner à Paris ou pour les clients en correspondance vers les grandes lignes.

Pour Anne Rigail, directrice générale d’Air France, ce projet est une réponse nécessaire à la compétition féroce des autres aéroports internationaux. Il est essentiel de se conformer aux meilleurs standards internationaux pour rester compétitif sur le marché aérien mondial.

ADP a lancé une concertation publique volontaire sur son projet, ouverte du 8 avril au 8 juillet, auprès de 800 communes et sur le site cdgetvous.groupe-adp.com. Après cette première phase, le groupe envisage un deuxième volet d’aménagements pour 2050, qui sera strictement lié à la croissance du trafic aérien de la plateforme.

L’hypothèse actuellement privilégiée par ADP est la création de salles d’embarquement internationales supplémentaires au nord de la plateforme, avec une capacité de 8 millions de passagers chacune. Ce projet inclurait également le prolongement du réseau de métro de correspondance en zone internationale pour relier l’ensemble des salles d’embarquement et améliorer l’expérience des passagers.

En conclusion, le plan d’adaptation d’ADP pour l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle vise à renforcer sa position sur le marché mondial en offrant des installations modernes et efficaces pour les passagers. Ce projet s’inscrit dans une démarche d’innovation et de compétitivité pour répondre aux besoins croissants du secteur aérien. Révision de notre politique de confidentialité

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