Sept personnes seront jugées pour le cyberharcèlement de Thomas Jolly après la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques.

Six men and one woman will appear before the criminal court of Paris for «repeated death threats, cyberbullying, and aggravated insults based on sexual orientation or true or supposed religious affiliation» after the opening ceremony of the Olympic Games on July 26, 2024.

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Assailed by insults and even death threats immediately after the opening ceremony of Paris 2024, Thomas Jolly denounced «attacks of a very large scale«. On Wednesday, seven people will be judged in Paris for cyberbullying the director.

The conductor of the opening and closing ceremonies of the Paris Olympic and Paralympic Games filed a complaint on July 31, a few days after the opening of the Games, stating «being targeted on social media with homophobic or anti-Semitic threats and insults«, the prosecutor’s office had specified.

The investigation, entrusted to the Central Office for Combating Crimes Against Humanity and Hate Crimes (OCLCH), led to the arrest of seven individuals between October 22 and 24, six men and one woman aged 22 to 79, mainly in the Paris region, Hérault, and Alpes-Maritimes.

«Some have disturbing profiles«, a source close to the case pointed out, describing one of them as a «professional of hatred«.

While the creativity of the opening ceremony was praised by many viewers in France and abroad, the painting titled «Celebration» fueled controversy last summer in conservative and far-right circles. The painting, depicting a group at a table, including several famous drag queens, was interpreted by some as a mocking parody of the Last Supper of Jesus with his apostles, the Cenacle, as represented by Leonardo da Vinci.

Donald Trump notably called it «shameful«, while Turkish President Recep Tayyip Erdogan urged Pope Francis to «raise his voice» against the «perverse propaganda» he believed was being spread by the ceremony.

«It destabilized me«

Thomas Jolly denied any intention to shock and explained that he wanted to represent a «great pagan feast connected to the gods of Olympus«. The hateful messages against him had not stopped and had even multiplied.

«How can one believe that, in my mind, there could have been any intention to mock the Catholic religion, knowing that in this ceremony, an entire painting is dedicated to Notre-Dame de Paris?«, he wondered to AFP the artistic director the day after the closing ceremony of the Paralympic Games in September.

«That one can be targeted to this extent with hate, insults, threats, intimidations, it destabilized me, in the sense that what I wanted to convey that evening was messages of unity«, he added. Le metteur en scène avait reçu un soutien immédiat du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques, ainsi que de plusieurs personnalités, notamment la maire de Paris, Anne Hidalgo, et Emmanuel Macron, qui s’était dit «scandalisé» et «triste», estimant que «rien ne justifie qu’on menace un artiste».

Outre Thomas Jolly, plusieurs artistes ayant participé à la cérémonie d’ouverture des JO avaient été victimes de cyberharcèlement et de menaces, notamment la DJ française Barbara Butch, star du tableau incarné par des drag queens.

Six hommes et une femme comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Paris pour «menaces de mort réitérées, cyberharcèlement et injures aggravées en raison de l’orientation sexuelle ou de l’appartenance vraie ou supposée à une religion» après la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques le 26 juillet 2024.

Assailli de messages d’insultes voire de menaces de mort dès la fin de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, Thomas Jolly avait dénoncé «des attaques d’une très grande ampleur». Mercredi, sept personnes seront jugées à Paris pour avoir cyberharcelé le metteur en scène.

Le chef d’orchestre des cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris avait déposé plainte le 31 juillet, quelques jours après l’ouverture des Jeux, affirmant «être la cible, sur les réseaux sociaux, de menaces et d’injures à caractère homophobe ou antisémite», avait précisé le parquet.

L’enquête, confiée à l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH), a permis de procéder à sept interpellations entre les 22 et 24 octobre, de six hommes et d’une femme âgés de 22 à 79 ans, notamment en région parisienne, dans l’Hérault et les Alpes-Maritimes. «Certains ont des profils inquiétants», avait-on souligné de source proche du dossier, décrivant l’un d’eux comme un «professionnel de la haine».

Alors que la créativité de la cérémonie d’ouverture a été saluée par de nombreux spectateurs en France et à l’étranger, le tableau intitulé «Festivité» a alimenté l’été dernier une polémique dans des milieux conservateurs et d’extrême droite. Le tableau, représentant un groupe attablé, dont plusieurs drag queens célèbres, a été interprété par certains comme une parodie moqueuse du dernier repas de Jésus avec ses apôtres, la Cène, telle que représentée par Léonard de Vinci. Donald Trump l’a notamment qualifié de «honte», tandis que le président turc Recep Tayyip Erdogan a exhorté le pape François à «élever la voix» contre la «propagande perverse» diffusée, selon lui, par la cérémonie.

Thomas Jolly avait démenti toute volonté de choquer et expliqué avoir voulu représenter une «grande fête païenne reliée aux dieux de l’Olympe». Les messages haineux à son encontre n’avaient pas cessé et s’étaient même multipliés. «Comment peut-on croire que, dans mon esprit, il y ait pu avoir une quelconque volonté de moquer la religion catholique, sachant que, dans cette cérémonie, un tableau entier est consacré à Notre-Dame de Paris ?», s’était étonné auprès de l’AFP le directeur artistique au lendemain de la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques en septembre. «Qu’on puisse être à ce point cible de haine, d’injures, de menaces, d’intimidations, ça m’a déstabilisé, au sens où ce que je voulais dire ce soir-là, c’était des messages d’unité», avait-il ajouté. Le metteur en scène avait reçu le soutien immédiat du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques et de plusieurs personnalités, notamment de la maire de Paris, Anne Hidalgo, et d’Emmanuel Macron qui s’était dit «scandalisé» et «triste», estimant que «rien ne justifie qu’on menace un artiste».

Outre Thomas Jolly, plusieurs artistes ayant participé à la cérémonie d’ouverture des JO avaient été la cible de cyberharcèlement et de menaces, notamment la DJ française Barbara Butch, star du tableau incarné par des drag queens. Please keep the exact anchor texts of the links on

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