Un chirurgien dentiste de Bayonne a été radié de l’ordre des chirurgiens-dentistes des Pyrénées-Atlantiques après plusieurs plaintes pour harcèlement sexuel. La décision a été prise le 20 février dernier par la chambre disciplinaire de première instance de Nouvelle-Aquitaine. Le dentiste est accusé de comportements à connotation sexuelle de manière grave et répétée. Ces accusations sont basées sur des plaintes déposées en 2024 par trois assistantes et une ancienne assistante travaillant dans un cabinet secondaire dans le Gers. La chambre disciplinaire a souligné des manquements à la déontologie dentaire justifiant la radiation, en raison de leur nature, gravité et récurrence. De plus, elle a noté que le chirurgien n’avait pas pris en compte l’impact émotionnel et les traumatismes infligés aux assistantes dentaires. Bien que la sanction ait un effet immédiat, elle est suspendue car le médecin a fait appel de la décision. Un dentiste de Bayonne a été radié de l’ordre après avoir été l’objet de plusieurs plaintes pour harcèlement sexuel. Une nouvelle audience est prévue prochainement, et des procédures pénales sont également en cours.

Le médecin a fait appel de la décision de l’ordre, donc son interdiction d’exercer a été suspendue jusqu’à la prochaine audience.



Publié



Temps de lecture : 1min



Image d'illustration. (STEPHANIE PARA / MAXPPP)

Image d’illustration. (STEPHANIE PARA / MAXPPP)

Un dentiste de Bayonne a été radié de l’ordre des chirurgiens-dentistes des Pyrénées-Atlantiques le 20 février dernier, a appris, lundi 14 avril, «ici Pays Basque» (ex-France Bleu) auprès de la chambre disciplinaire de première instance de Nouvelle-Aquitaine. Il est reproché au dentiste des faits de harcèlement à caractère sexuel, des propos ou des comportements à connotation sexuelle de «façon grave et répétée», précise la chambre dans un rapport qu'»ici Pays Basque» a pu consulter.

Pour prendre cette décision, la chambre disciplinaire s’est appuyée sur une série de plaintes déposées en 2024 par trois assistantes et une ancienne assistante qui exerçait dans un cabinet secondaire dans le Gers, précise «ici Pays Basque». La juridiction professionnelle évoque, toujours dans ce même rapport, «des manquements à la déontologie dentaire qui justifient la peine, eu égard à leur nature, leur gravite et leur répétition». La chambre estime par ailleurs que le docteur «ne s’est à aucun moment préoccupé du choc émotionnel et des traumatismes qu’il pouvait infliger par ces manquements aux assistantes dentaires».

La sanction était à effet immédiat, mais dans la mesure où le médecin fait appel, l’interdiction d’exercer est suspendue. Une audience supplémentaire est prévue dans un avenir proche, et des poursuites pénales sont également en cours. Please rewrite this sentence. Please rewrite this sentence for me. Please rewrite this sentence.

SOURCE

Deja una respuesta

Tu dirección de correo electrónico no será publicada. Los campos obligatorios están marcados con *