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Un homme de 43 ans est mis en examen pour meurtre aggravé, soupçonné d’avoir délibérément heurté un homme de 56 ans à Saint-Martin-de-Valgualgues, près d’Alès (Gard). Sous l’emprise de stupéfiants au moment des faits, il aurait ensuite «roulé sur le corps» de la victime avant de s’arrêter quelques mètres plus loin. Le père de famille de 56 ans est décédé peu de temps après à l’hôpital. Le parquet de Nîmes a ordonné sa mise en détention provisoire, selon les informations de «ici Gard Lozère» rapportées le dimanche 6 avril. Un individu a été inculpé pour meurtre aggravé après avoir été suspecté d’avoir délibérément «roulé sur le corps» d’un père de famille dans le Gard.

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Sous l’emprise de stupéfiants au moment des faits, l’homme a été mis en examen pour meurtre aggravé et placé en détention provisoire, rapporte «ici Gard Lozère».


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Le logo de la police. Photo d’illustration. (DANIEL PERRON / HANS LUCAS)

Un homme de 43 ans est soupçonné d’avoir volontairement percuté un autre homme de 56 ans, jeudi 3 avril, à Saint-Martin-de-Valgualgues, près d’Alès (Gard). Sous l’emprise de stupéfiants au moment des faits, il a été mis en examen pour meurtre aggravé et placé en détention provisoire, a appris «ici Gard Lozère» auprès du parquet de Nîmes, dimanche 6 avril.

Le père de famille de 56 ans a été «percuté par un véhicule», qui lui a ensuite «roulé sur le corps avant de s’arrêter quelques mètres plus loin», précise le procureur adjoint de Nîmes. Il est mort peu de temps après à l’hôpital. Le pôle criminel de Nîmes s’est saisi du dossier.

Selon les premiers éléments de l’enquête, un «contentieux entre le fils de la victime et celui du conducteur du véhicule serait à l’origine des faits, le ton étant monté depuis la veille entre les deux familles«, explique le procureur à «ici Gard Lozère.

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Deux responsables d’une association de réinsertion de détenus en Corrèze ont été mis en examen, soupçonnés de violences et de fausses déclarations. Il s’agit du cofondateur et de la déléguée générale de l’association spécialisée dans la réinsertion d’anciens détenus. À l’issue de leur garde à vue, deux responsables d’une association de réinsertion de détenus en Corrèze ont été mis en examen, soupçonnés de violences physiques et morales ainsi que de fausses déclarations pour obtenir des subventions publiques, rapporte «ici Limousin» (ex-France Bleu). Les deux personnes concernées sont le cofondateur et la déléguée générale de l’association, spécialisée dans la réinsertion d’anciens détenus. Ils sont soupçonnés d’avoir commis des violences physiques et morales envers les personnes accueillies par l’association. Leur arrestation a eu lieu lors d’une opération de la gendarmerie à La Roche-Canillac, au restaurant solidaire «Les Tontons cuisineurs», géré par l’association. Le procureur de Tulle a précisé que l’enquête a été ouverte suite à des signalements de l’administration pénitentiaire et d’associations, ainsi que des plaintes de personnes hébergées par l’association Concienta après leur incarcération dans le cadre d’un programme de réinsertion. L’enquête a également révélé des soupçons de falsification de documents pour obtenir des subventions publiques, de dissimulation de revenus aux autorités fiscales et sociales, et d’utilisation frauduleuse des moyens de paiement de l’association à des fins personnelles. Des travaux réalisés par les pensionnaires de l’association pourraient également ne pas avoir été déclarés. Tous les faits reprochés auraient eu lieu entre le 1er janvier 2020 et le 14 avril 2025. Le cofondateur est actuellement en détention provisoire, en attendant la décision d’un juge des libertés et de la détention sur la suite de sa détention.
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