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Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a dénoncé, lundi 28 avril, une «tentative de manipulation» après l’annonce par son homologue russe, Vladimir Poutine, d’un cessez-le-feu en Ukraine entre le 8 et le 10 mai, à l’occasion des célébrations de la victoire soviétique sur l’Allemagne nazie. «Tout le monde doit attendre le 8 mai et ne cesser le feu qu’ensuite pour garantir le silence» lors de la parade du 9 mai sur la place Rouge à Moscou, a-t-il déploré, sans faire savoir s’il ordonnerait à ses troupes de respecter cette trêve.
Moscou annonce une trêve surprise de trois jours. Alors que les négociations sur l’Ukraine entrent dans une «semaine cruciale» selon Washington, la Russie a annoncé, lundi, un cessez-le-feu de trois jours pour «raisons humanitaires», les 8, 9 et 10 mai, à l’occasion du 80e anniversaire de la capitulation de l’Allemagne nazie. «En cas de violation du cessez-le-feu par la partie ukrainienne, les forces armées russes fourniront une réponse adéquate et efficace», a prévenu le Kremlin dans un communiqué.
Kiev demande un cessez-le-feu d’un mois. En réponse à l’annonce d’une pause de trois jours, l‘Ukraine a appelé la Russie à accepter «immédiatement» un cessez-le-feu «global» pour «au moins 30 jours». «Si la Russie veut vraiment la paix, elle doit cesser le feu immédiatement», a insisté le ministre des Affaires étrangères sur X. «Pourquoi attendre le 8 mai ?» a-t-il interrogé, assurant que «l’Ukraine est prête à soutenir un cessez-le-feu durable et global. Et c’est ce que nous proposons constamment, pour au moins 30 jours».
La pression sur Moscou va s’accentuer, selon Emmanuel Macron. «Dans les huit à dix jours prochains, nous allons accroître la pression sur la Russie», a affirmé Emmanuel Macron, dans un entretien publié par le magazine Paris Match. «Les quinze prochains jours vont être clés pour essayer de mettre en œuvre ce cessez-le-feu» voulu par les Etats-Unis, accepté par l’Ukraine et défendu par les Européens, mais auquel la Russie n’a pas encore souscrit, a insisté le président français, deux jours après la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, samedi, au Vatican.
Moscou fixe ses conditions pour négocier. Le Kremlin a déclaré que la reconnaissance de l’annexion russe de régions ukrainiennes était un pré-requis à toute négociation.
Donald Trump pense que Volodomyr Zelensky est prêt à renoncer à la Crimée. Le président américain a affirmé que son homologue ukrainien était prêt à renoncer à récupérer la Crimée, annexée par la Russie depuis 2014. Bien que Kiev ait jusqu’à présent toujours exclu l’idée d’abandonner cette péninsule à son voisin, Donald Trump a estimé, dimanche, que la position de son homologue ukrainien à ce sujet pourrait changer. «Je pense que oui. La Crimée, c’était il y a 12 ans», a-t-il déclaré.
The international recognition of the belonging of Crimea, Sevastopol, the Donetsk People’s Republic, the Luhansk People’s Republic, the Kherson region, and the Zaporizhia region to Russia is imperative,» detailed Russian Foreign Minister Sergey Lavrov in an interview with the Brazilian newspaper O Globo.
Donald Trump believes that Volodymyr Zelensky is ready to give up Crimea. The American president stated that his Ukrainian counterpart was prepared to renounce the recovery of Crimea, annexed by Russia since 2014. Although Kiev has consistently rejected the idea of relinquishing this peninsula to its neighbor, Donald Trump suggested on Sunday that Zelensky’s position on this matter could change. «I think so. Crimea was 12 years ago,» he declared.
President Ukrainian President Volodymyr Zelensky denounced a «manipulation attempt» on Monday, following Russian President Vladimir Putin’s announcement of a ceasefire in Ukraine between May 8 and 10, coinciding with the Soviet victory over Nazi Germany celebrations. «Everyone must wait until May 8 and only then cease fire to ensure silence» during the May 9 parade on Red Square in Moscow, he lamented, without indicating whether he would order his troops to respect this truce.
Moscow has announced a surprise three-day ceasefire. As negotiations on Ukraine enter a «crucial week,» according to Washington, Russia declared a three-day ceasefire on Monday for «humanitarian reasons» on May 8, 9, and 10, marking the 80th anniversary of Nazi Germany’s surrender. «In case of violation of the ceasefire by the Ukrainian side, the Russian armed forces will provide an adequate and effective response,» warned the Kremlin in a statement.
Kiev is calling for a one-month ceasefire. In response to the announcement of a three-day pause, Ukraine urged Russia to immediately accept a «comprehensive» ceasefire for «at least 30 days.» «If Russia truly wants peace, it must cease fire immediately,» emphasized the Minister of Foreign Affairs. «Why wait until May 8?» he questioned, asserting that «Ukraine is ready to support a sustainable and comprehensive ceasefire, which we consistently propose, for at least 30 days.»
Emmanuel Macron believes that pressure on Moscow will increase. «In the next eight to ten days, we will increase pressure on Russia,» stated Emmanuel Macron in an interview published by Paris Match. «The next fifteen days will be crucial to try to implement the ceasefire desired by the United States, accepted by Ukraine, and supported by the Europeans, but to which Russia has not yet agreed,» emphasized the French president, two days after the meeting between Donald Trump and Volodymyr Zelensky on Saturday at the Vatican.
Moscow sets its conditions for negotiations. The Kremlin stated that the international recognition of the Russian annexation of Ukrainian regions was a prerequisite for any negotiation. «The international recognition of the belonging of Crimea, Sevastopol, the Donetsk People’s Republic, the Luhansk People’s Republic, the Kherson region, and the Zaporizhia region to Russia is imperative,» detailed Russian Foreign Minister Sergey Lavrov in an interview with the Brazilian newspaper O Globo. Please rewrite this sentence.
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