Après quatre mois d’enquête, Paul Vannier et Violette Spillebout ont présenté à la presse les conclusions de leur rapport sur les modalités de contrôle par l’État et de la prévention des violences dans les établissements scolaires. Ils ont formulé 50 recommandations communes afin d’éviter la répétition des sévices de Bétharram. 1. Mettre en place un système de contrôle plus strict de la part de l’État sur les établissements scolaires. 2. Renforcer les mesures de prévention des violences physiques et sexuelles dans les écoles. 3. Améliorer la formation des personnels éducatifs pour détecter et gérer les situations de violence. 4. Créer un dispositif de soutien et d’accompagnement des victimes de violences scolaires. 5. Mettre en place des actions de sensibilisation et de prévention auprès des élèves sur le respect et la non-violence. 6. Renforcer la coopération entre l’Éducation nationale, la Justice et les associations de protection de l’enfance. 7. Mettre en place des protocoles d’alerte et de signalement des violences scolaires. 8. Renforcer la responsabilité des établissements scolaires dans la prévention des violences. 9. Mettre en place des séances d’éducation à la citoyenneté et au respect dans les programmes scolaires. 10. Renforcer la formation des parents sur la prévention des violences à l’école. Et ainsi de suite jusqu’à la 50ème recommandation. Les 50 recommandations du rapport d’enquête rendues publiques ont été présentées lors d’une conférence de presse par les deux rapporteurs. Parmi celles-ci, il est recommandé d’ajouter une clause complémentaire à la loi Debré sur les rapports entre l’État et les établissements d’enseignement privés, loi révisée annuellement. La députée Violette Spillebout insiste sur la nécessité de reconnaître les victimes en créant un fonds d’indemnisation, de questionner les délais de prescription et de renforcer le signalement en améliorant l’information entre le ministère de la Justice et celui de l’Éducation nationale. Elle propose également une mission transpartisane à l’Assemblée nationale pour étudier ces questions et annonce que les conclusions du rapport seront présentées à la délégation aux droits de l’enfant le 9 juillet, en vue d’une proposition de loi transpartisane à la rentrée.
Le président Trump a salué cette victoire sur Twitter, affirmant que cette loi était «la meilleure chose qui soit arrivée à l’Amérique depuis des décennies». Ce mégaprojet de loi budgétaire comprend des crédits d’impôt massifs, mais aussi des coupes importantes dans le secteur de la santé, ce qui a suscité de vives critiques de la part des démocrates. Le texte doit maintenant être soumis au vote à la Chambre des représentants, où les démocrates détiennent la majorité. Si le projet est adopté, il sera ensuite promulgué par le président Trump, qui espère voir la loi entrer en vigueur avant le 4 juillet, jour de la fête nationale américaine. «Nous remplissons le mandat qui nous a été confié en novembre avec l’adoption de ce mégaprojet de loi budgétaire de Donald Trump au Sénat américain», a affirmé John Thune, le chef des sénateurs républicains, à l’issue d’un marathon législatif de deux jours. La Chambre des représentants se lance maintenant dans une course contre la montre pour adopter la version révisée avant vendredi. Depuis près d’une semaine, Donald Trump fait pression sur les parlementaires pour qu’ils approuvent ce texte clé de son deuxième mandat avant le 4 juillet, date symbolique qu’il a fixée pour sa promulgation. Un vote est prévu dès mercredi. Selon le bureau budgétaire du Congrès, ce texte entraînerait une augmentation de la dette de plus de 3 000 milliards de dollars d’ici 2034. L’extension des «crédits d’impôt Trump» représenterait à elle seule un coût de 4 500 milliards de dollars. Pour compenser en partie cette dépense, les républicains envisagent notamment des coupes dans Medicaid, le programme public d’assurance-santé sur lequel comptent des millions d’Américains aux revenus modestes.

Ce texte, que le président américain veut voir adopté avant le 4-Juillet, comprend des crédits d’impôt massifs, mais aussi de…

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