Points forts de l'actualité
260 personnes sans domicile fixe ont été mises à l’abri après une nuit passée devant la mairie du 20e arrondissement de Paris. La plupart d’entre eux sont des migrants. La Ville de Paris a organisé une opération de mise à l’abri ce mercredi matin, en collaboration avec l’association Utopia 56, qui dénonce l’inaction de l’État. 260 personnes sans-abri prises en charge après une nuit devant la mairie du 20e arrondissement de Paris
Guerre tarifaire : les partenaires visés par Donald Trump sont la Chine, l’Union européenne et le Mexique
Reacción de la prensa francesa a la condena de Le Pen
Les entreprises du monde entier retiennent leur souffle avant les nouvelles annonces de Donald Trump
Une enquête approfondie sera menée pour identifier les agresseurs et comprendre les circonstances de cette violente agression. Les autorités ont déjà recueilli des témoignages et des indices sur les lieux de l’incident, et des caméras de surveillance pourraient avoir enregistré des images utiles à l’enquête. Le parquet de Bordeaux s’est saisi de l’affaire et assure que toute la lumière sera faite sur cette agression inacceptable. Les proches de Derrel, ainsi que la communauté étudiante, attendent des réponses et espèrent que justice sera rendue pour cet étudiant victime de violences. Enquête lancée suite à l’agression violente d’un étudiant à Bordeaux
Paris & Île-de-France
260 personnes sans domicile fixe ont été mises à l’abri après une nuit passée devant la mairie du 20e arrondissement de Paris. La plupart d’entre eux sont des migrants. La Ville de Paris a organisé une opération de mise à l’abri ce mercredi matin, en collaboration avec l’association Utopia 56, qui dénonce l’inaction de l’État. 260 personnes sans-abri prises en charge après une nuit devant la mairie du 20e arrondissement de Paris
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More than 200 homeless people – mostly migrants – settled on the square in front of the district town hall…

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Société
Une enquête approfondie sera menée pour identifier les agresseurs et comprendre les circonstances de cette violente agression. Les autorités ont déjà recueilli des témoignages et des indices sur les lieux de l’incident, et des caméras de surveillance pourraient avoir enregistré des images utiles à l’enquête. Le parquet de Bordeaux s’est saisi de l’affaire et assure que toute la lumière sera faite sur cette agression inacceptable. Les proches de Derrel, ainsi que la communauté étudiante, attendent des réponses et espèrent que justice sera rendue pour cet étudiant victime de violences. Enquête lancée suite à l’agression violente d’un étudiant à Bordeaux
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Le parquet ouvre une enquête pour violences ayant entraîné une infirmité totale alors que la victime est restée plongée dans…

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Société
Mohamed Amra déposera plainte cette semaine contre l’administration pénitentiaire pour des actes de violence perpétrés par des surveillants, a appris franceinfo auprès de son avocat. Le détenu, en attente de jugement à Condé-sur-Sarthe (Orne), affirme avoir subi des violences de la part des gardiens de prison. Selon son avocat, les faits se seraient déroulés le lundi 24 mars, lorsque les surveillants sont intervenus dans sa cellule. Alors qu’il se plaignait de la serrure de ses menottes, Mohamed Amra aurait été maintenu au sol et aurait eu la cheville cassée. D’après Me Benoit David, qui a examiné son client le vendredi suivant, le détenu avait déjà un plâtre à la jambe. Mohamed Amra va porter plainte contre l’administration pénitentiaire, dénonçant des violences de la part de surveillants. Selon son avocat, l’administration a refusé que le détenu ait des béquilles, craignant qu’elles ne soient utilisées comme armes. Une audience en référé liberté s’est tenue au tribunal administratif de Caen pour obtenir les vidéos de l’agression présumée. L’avocat a déjà été informé qu’il pourrait consulter ces vidéos. Une requête sur les conditions de détention de Mohamed Amra sera également déposée auprès du juge des libertés et de la détention de Paris. L’avocat dénonce des conditions de détention inhumaines, soulignant que le détenu est constamment menotté dans le dos hors de sa cellule, subissant des fouilles corporelles deux fois par jour et des fouilles de sa cellule une fois par jour, avec des actes de vandalisme présumés commis par les surveillants.
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Le narcotrafiquant placé en détention provisoire à Condé-sur-Sarthe (Orne) dénonce des violences commises, selon lui, par des surveillants de la…

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