Children no longer read. Screens have replaced books. Consequences: approximate language mastery, lack of vocabulary, grammar gaps, and a decline in general knowledge. In response to this, teachers, associations, and publishers are mobilizing to restore the love of reading.
They may have lost a battle, but not the war on reading. Teachers, parents, publishers, bookstores, associations, and libraries are all competing with initiatives tailored to different age groups. Their goal: to give children back the joy and pleasure of reading.
In this series of reports, we will highlight initiatives that encourage young people to become readers.
Episode 1: the little champions of reading
Our first example is the association «Les Petits Champions de la Lecture» by the National Publishing Syndicate. We went to Val-de-Marne to meet some young reading champions.
Since 2012, this association has been offering a game to students in CM1 and CM2 classes: to read aloud for three minutes in front of an audience, an excerpt from a work of fiction. This game has become a challenge. This year, nearly a thousand students competed in the departmental final in Val-de-Marne. The teacher orchestrates the work in the classroom throughout the year to improve their reading: standing straight, respecting punctuation, giving intention…
And at just ten years old, Léonie, Ary, Zyad, and the others do not disappoint: they have impressed us.
Reading in adolescence… Reading out of obligation, during the French baccalaureate exam. Reading when one thinks they are a bad student in French. A challenge! A crazy bet taken up by the Society of Authors and Dramatic Composers.
To get these young people to read, the project invites them to tell their life stories. In their French class, they read, then write short, very personal stories. Close to their daily experiences. Nothing like it to demystify authors and eventually become one. Some projects will lead to a short film, others to podcasts.
At the end of the year, several books composed by them will be published. Les livres de cet auteur seront disponibles dans toutes les bibliothèques des lycées d’Île-de-France.
durée de la vidéo : 00h02mn36s
Série. Faites-les lire !
•
©France 3 Paris Île-de-France
Qui a dit que les réseaux sociaux étaient l’ennemi de la lecture ? Certainement pas les jeunes lecteurs qui sont avides des «reals», des «stories» et autres posts de certains influenceurs qui partagent leurs passions de lecture sur leur compte. Et oui, ces influenceurs sont devenus les nouveaux critiques littéraires 2.0.
Certains entre deux conseils beauté, racontent comme un jeu, l’histoire du dernier ouvrage qu’ils ont lu. D’autres sont très pointus, très professionnels. Et le monde de l’édition ne s’y est trompé pas.
Il y avait les rencontres littéraires, les signatures, les salons du livre, il y a maintenant les réseaux sociaux.
C’est une nouvelle source pour connaître son jeune public. Et rien de mieux pour avoir des retours très rapides sur un ouvrage qui vient de sortir. Les commentaires sont une mine d’or. Ils sont tous lus.
On ne parle pas de placement de produits, mais oui, certains sont rémunérés par des éditeurs, lors de partenariats.
Avec 50 000 «followers», on dispose de 50 000 clients potentiels.
Un jeu qui s’est transformé en défi. Cette année, près de mille participants se sont réunis dans le Val-de-Marne pour la finale départementale. Ce travail a été organisé en classe par les enseignants. Tout au long de l’année, la classe entière travaille pour améliorer sa lecture : se tenir droit, respecter la ponctuation, donner de l’intention…
Et malgré leur jeune âge de dix ans, Léonie, Ary, Zyad et les autres se sont montrés à la hauteur : ils nous ont impressionnés.
Lire à l’adolescence… Lire par obligation, à l’heure du bac de français. Lire, quand on pense qu’on est un mauvais élève en français. Un défi ! Un défi fou, relevé par la Société des Auteurs et des Compositeurs Dramatiques.
Pour inciter ces jeunes à lire, le projet leur propose de raconter leur vie. Ainsi, en cours de français, ils lisent avant d’écrire des nouvelles, des récits courts très personnels. Ils se rapprochent ainsi de leur quotidien. Rien de tel pour démystifier les auteurs et finalement en devenir un. Certains projets se concrétiseront par un court-métrage, d’autres par des podcasts.
À la fin de l’année, plusieurs ouvrages de leur création seront publiés. Ces livres seront disponibles dans toutes les bibliothèques des lycées d’Île-de-France.
Derrière chaque lecteur se cache une bibliothèque. En effet, pour lire, rien de tel que de s’inscrire dans une médiathèque. C’est gratuit, varié et facile.
La bibliothèque L’Heure Joyeuse, vieille de 100 ans, est toujours située dans le quartier Saint-Germain. Depuis sa création, sa vocation n’a pas changé : offrir aux enfants une grande diversité de lectures. Il fut un temps où les livres pour enfants étaient enfermés à clef dans des armoires cachées au fond des bibliothèques. Aujourd’hui, le monde de l’édition jeunesse propose des livres colorés, illustrés et créatifs.
durée de la vidéo : 00h02mn36s
Série. Faites-les lire !
•
©France 3 Paris Île-de-France
Qui a dit que les réseaux sociaux étaient l’ennemi de la lecture ? Certainement pas les jeunes lecteurs qui sont avides des «reals», des «stories» et autres posts de certains influenceurs qui partagent leurs passions de lecture sur leur compte. Et oui, ces influenceurs sont devenus les nouveaux critiques littéraires 2.0.
Certains entre deux conseils beauté, racontent comme un jeu, l’histoire du dernier ouvrage qu’ils ont lu. D’autres sont très pointus, très professionnels. Et le monde de l’édition ne s’y est trompé pas.
Il y avait les rencontres littéraires, les signatures, les salons du livre, il y a maintenant les réseaux sociaux.
C’est une nouvelle source pour connaître son jeune public. Et rien de mieux pour avoir des retours très rapides sur un ouvrage qui vient de sortir. Les commentaires sont une mine d’or. Ils sont tous lus.
On ne parle pas de placement de produits, mais oui, certains sont rémunérés par des éditeurs, lors de partenariats.
SOURCE
Deja una respuesta