Paris & Île-de-France

Une femme de 79 ans tuée par balles, son mari tente de se suicider

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A woman was shot and killed on Friday in Seine-et-Marne. The main suspect, her husband, attempted suicide. Married for decades, the 79-year-old victim had informed her husband that she was leaving him.

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«She was shot twice in the head at close range,» said Jean-Baptiste Bladier, prosecutor of Meaux.

A septuagenarian was shot and killed on Friday at her home in Changis-sur-Marne (Seine-et-Marne). Her octogenarian husband, suspected of the crime, was found seriously injured.

The victim was 79 years old and her partner was 86. The couple had been married for 60 years.

«She had decided to leave him and was supposed to move to another place in March,» added the prosecutor of Meaux.

The 86-year-old man allegedly shot his wife before turning the gun on himself, as he reportedly confessed to the firefighters who responded to the couple’s home about ten kilometers from Meaux, as reported by Le Parisien.

Monday morning, the octogenarian suspected of femicide, who has «no criminal record,» was still hospitalized, added Jean-Baptiste Bladier.

In 2023, 96 women were victims of domestic femicide in France, a 19% decrease from 2022, according to a report from the Ministry of the Interior published last November.

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Les «Apéros de la mort» sont des lieux d’écoute autour d’un verre qui visent à «lever le tabou autour du deuil». Nés il y a sept ans à Paris et désormais organisés dans toute la France, ces rendez-vous invitent des petits groupes d’inconnus à échanger sur la fin de vie, «sans jugement». Marion, une participante de 44 ans, témoigne de son expérience : «C’est le principe d’un apéritif, d’un échange en petit groupe. Chacun peut prendre un petit verre ou une menthe à l’eau et l’ambiance est très conviviale. On ne va pas se mentir, il y a des larmes, on pleure, ça bouscule, ça remue. Mais c’est une véritable aide, et on rit aussi parfois». Elle souligne également que ces rencontres permettent à chacun de déposer ses douleurs et souffrances en toute bienveillance, entouré de personnes ayant vécu des expériences similaires. Les Apéros de la mort sont organisés par l’association Happy End, dont Margot Vincenti est une des ambassadrices. Elle explique que ces échanges visent à libérer la parole et offrir un espace d’expression à tous. Margot partage son expérience personnelle et souligne l’importance de soutenir les personnes en deuil, déculpabilisant sur le processus de deuil et encourageant chacun à y répondre selon ses propres forces et comportements. Ces rencontres réunissent une diversité de profils, allant des personnes âgées qui ont besoin de parler avant leur départ aux soignants confrontés à la mort dans leur pratique. Plus de 70% des participants sont des personnes endeuillées, montrant ainsi le besoin crucial de ces espaces d’écoute et de partage. Les «Apéros du Deuil» : des rencontres autour d’un verre pour briser les tabous du deuil
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Le possible retour de Georges Tron pour les municipales 2026 inquiète à Draveil. Condamné pour viol et agression sexuelle en 2021, l’ancien maire de la petite commune de l’Essonne semble vouloir faire son retour à six mois des élections. De ses anciens adjoints à l’opposition, personne ne souhaite voir l’homme de 67 ans intégrer de près ou de loin cette élection. La commune traîne encore sa réputation, avec la moitié des gens évoquant l’affaire du masseur de pied, selon François Damerval, élu de l’opposition. Georges Tron, reconnu coupable en appel de viol et agression sexuelle, envisage une participation malgré son inéligibilité actuelle. Cette perspective est vivement critiquée par divers acteurs locaux, soulignant le danger potentiel que cela représente pour les victimes et les employés de la ville. Les tensions politiques et sociales persistent, reflétant les divisions causées par cette affaire. Les Draveillois s’inquiètent du possible retour de Georges Tron pour les municipales 2026
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Chaque semaine, la Bibliothèque de rue de l’association ATD Quart Monde se tient au pied des tours de la Cité Jean Moulin à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Cette initiative vise à encourager la lecture chez les jeunes et à renforcer le lien social avec les habitants du quartier. Les animatrices installent les tapis rouges sur le bitume, accueillant avec chaleur les enfants qui viennent participer à l’atelier. Maëlys, membre de l’équipe, exprime son espoir que les vacances scolaires n’empêcheront pas les enfants de venir. Les enfants arrivent en courant et se jettent dans les bras des animatrices, créant une atmosphère chaleureuse. La Bibliothèque de rue, mise en place depuis 11 ans, a lieu chaque mercredi après-midi au même endroit. Les enfants s’installent pour écouter des lectures de contes et d’histoires. Certains, comme Fatoumata, fréquentent régulièrement la bibliothèque et affirment progresser en lecture et écriture grâce à cet atelier. Fatoumata partage son enthousiasme pour les livres d’Akissi, une fille drôle vivant en Côte d’Ivoire. La Bibliothèque de rue joue ainsi un rôle essentiel dans l’éducation et l’inclusion des enfants du quartier. La Bibliothèque de rue lutte contre l’exclusion dans les quartiers en France, et ce n’est pas seulement une simple lecture, comme le souligne Aminata, une jeune fille qui trouve qu’il fait trop froid en France. Le calme qui règne autour des tapis donne l’impression d’être à l’intérieur d’une bibliothèque, malgré la grisaille du jour. Maëlle explique qu’ils essaient de rester à l’extérieur autant que possible, sauf en cas de grand froid. Cette initiative, visible depuis les appartements, permet aux enfants de se défouler tout en se divertissant. En compagnie d’Anne, la doyenne des animatrices, Tijdiane et son ami observent une coccinelle à proximité. Selon Maëlys, la lecture n’est pas seulement un acte isolé, mais un moyen de créer des liens avec les familles du quartier. Aminata, Fatoumata et Zeah se réunissent pour lire ensemble, soulignant l’importance de la bibliothèque pour s’intégrer et rester informé sur la vie du quartier. Une fois les activités terminées, les animatrices se réunissent pour un débriefing hebdomadaire dans le local du quartier.
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