Ce direct est maintenant terminé.
Alors que l’armée israélienne a lancé mardi 16 septembre à Gaza-ville une offensive terrestre majeure, la France condamné «avec fermeté l’extension et l’intensification de l’offensive israélienne au centre de la ville de Gaza, où plus de 600 000 civils seraient encore présents et qui ont induit le déplacement forcé de plus de 300 000 personnes», a annoncé le ministère des Affaires Etrangères mardi 16 septembre dans un communiqué. Paris appelle «Israël à mettre fin à cette campagne destructrice, qui n’a plus de logique militaire, et à reprendre au plus vite les négociations en vue d’un cessez-le-feu et de la libération de tous les otages», précise le communiqué.
Israël pilonne violemment la ville de Gaza. L’armée israélienne a mené mardi des bombardements intenses et meurtriers contre la ville de Gaza. Le porte-parole de la défense civile dans le territoire palestinien, Mahmoud Bassal, a déclaré qu’il y avait «des morts, des blessés et des personnes disparues sous les décombres après des frappes aériennes israéliennes visant un bloc résidentiel près de la place Al-Shawa à Gaza-ville». Au moins 41 personnes ont été tuées depuis minuit, selon le groupe de liaison des hôpitaux gazaouis. Vingt-trois de ces victimes ont été recensées dans l’hôpital Al-Shifa, dans ce quartier particulièrement touché par les bombardements préparatoires à l’incursion terrestre.
Les proches des otages inquiets et mobilisés contre Benyamin Nétanyahou. Des familles d’otages réunies sous le collectif Kulanu Hatufim («Nous sommes tous des otages») ont appelé, sur les réseaux sociaux, à se retrouver devant la résidence du Premier ministre israélien à Jérusalem. L’opération terrestre lancée dans la ville de Gaza leur fait craindre pour la vie des personnes toujours détenues par le Hamas. «Nous sommes dans une situation d’urgence», écrivent-elles dans un communiqué.
Une commission de l’ONU accuse Israël de «génocide». D’après un rapport de la commission d’enquête mandatée par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, quatre critères sur les cinq constitutifs retenus par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948 ont été remplis. La commission, qui ne s’exprime pas au nom de l’ONU et est vivement critiquée par Israël, est arrivée «à la conclusion qu’un génocide se produit à Gaza et continue de se produire» dans le territoire palestinien. «Le monde entier crie pour la paix. Les Palestiniens, les Israéliens crient pour la paix. Tout le monde veut que ça s’arrête, et ce qu’on voit, c’est une escalade continue qui est totalement et parfaitement inacceptable», a de son côté déclaré Volker Türk, haut-commissaire aux droits de l’homme de l’ONU. «C’est absolument clair que ce carnage doit cesser».
Israël a mené des frappes sur le port de Hodeida, dans l’ouest du Yémen. La chaîne des rebelles Al-Massirah a fait état de «12 frappes aériennes de l’ennemi israélien sur le port de Hodeida», tandis que le porte-parole militaire des houthis, Yayha Saree, a affirmé que les défenses aériennes du mouvement avaient été activées. L’armée israélienne a déclaré pour sa part avoir frappé «une infrastructure militaire appartenant au régime terroriste houthi», en affirmant que le port était utilisé par les rebelles «pour le transfert d’armes fournies par le régime iranien, afin de mener des attaques contre l’Etat d’Israël et ses alliés.»
Elles incitent à déplacer «le centre de gravité» de l’attention du public «sur l’homme qui décide seul de notre avenir et de notre destin». Les organisateurs encouragent les participants à venir avec des tentes et des matelas, pour passer une ou plusieurs nuits sur place si nécessaire.
Une commission de l’ONU accuse Israël de «génocide». Selon un rapport de la commission d’enquête mandatée par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, quatre critères sur les cinq constitutifs retenus par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948 ont été remplis. La commission, qui ne parle pas au nom de l’ONU et est fortement critiquée par Israël, a conclu qu’un génocide se déroule à Gaza et continue de se dérouler dans le territoire palestinien. «Le monde entier crie pour la paix. Les Palestiniens, les Israéliens crient pour la paix. Tout le monde veut que cela s’arrête, et ce que nous voyons, c’est une escalade continue qui est totalement et parfaitement inacceptable», a déclaré Volker Türk, haut-commissaire aux droits de l’homme de l’ONU. «Il est absolument clair que ce carnage doit cesser».
Israël a mené des frappes sur le port de Hodeida, dans l’ouest du Yémen. La chaîne des rebelles Al-Massirah a signalé «12 frappes aériennes de l’ennemi israélien sur le port de Hodeida», tandis que le porte-parole militaire des houthis, Yayha Saree, a affirmé que les défenses aériennes du mouvement avaient été activées. L’armée israélienne a déclaré avoir frappé «une infrastructure militaire appartenant au régime terroriste houthi», en affirmant que le port était utilisé par les rebelles «pour le transfert d’armes fournies par le régime iranien, afin de mener des attaques contre l’État d’Israël et ses alliés».
Ce direct est maintenant terminé. Alors que l’armée israélienne a lancé mardi 16 septembre une offensive terrestre majeure à Gaza-ville, la France a condamné avec fermeté l’extension et l’intensification de l’offensive israélienne au centre de la ville de Gaza, où plus de 600 000 civils seraient encore présents et qui ont entraîné le déplacement forcé de plus de 300 000 personnes, a annoncé le ministère des Affaires Étrangères. Paris appelle Israël à mettre fin à cette campagne destructrice, qui n’a plus de logique militaire, et à reprendre au plus vite les négociations en vue d’un cessez-le-feu et de la libération de tous les otages.
Israël bombarde violemment la ville de Gaza. L’armée israélienne a mené mardi des bombardements intenses et meurtriers contre la ville de Gaza. Le porte-parole de la défense civile dans le territoire palestinien, Mahmoud Bassal, a déclaré qu’il y avait «des morts, des blessés et des personnes disparues sous les décombres après des frappes aériennes israéliennes visant un bloc résidentiel près de la place Al-Shawa à Gaza-ville». Au moins 41 personnes ont été tuées depuis minuit, selon le groupe de liaison des hôpitaux gazaouis. Vingt-trois de ces victimes ont été recensées dans l’hôpital Al-Shifa, dans ce quartier particulièrement touché par les bombardements préparatoires à l’incursion terrestre.
Les proches des otages sont inquiets et mobilisés contre Benyamin Nétanyahou. Des familles d’otages réunies sous le collectif Kulanu Hatufim («Nous sommes tous des otages») ont appelé, sur les réseaux sociaux, à se retrouver devant la résidence du Premier ministre israélien à Jérusalem. L’opération terrestre lancée dans la ville de Gaza leur fait craindre pour la vie des personnes toujours détenues par le Hamas. «Nous sommes dans une situation d’urgence», écrivent-elles dans un communiqué. Elles appellent à déplacer «le centre de gravité» de l’attention du public «sur l’homme qui décide seul de notre avenir et de notre destin». Les organisateurs invitent les participants à venir avec des tentes et des matelas, pour passer une ou plusieurs nuits sur place si nécessaire. Please rewrite the following sentence for me: «I can’t go to the party because I have a lot of homework to do.»
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