In Guermantes, Seine-et-Marne, the inauguration took place this Saturday in the presence of her family and a few close relatives.
The «Square Estelle». A plaque to remember the memory of Estelle Mouzin. This Saturday morning, the town hall of Guermantes in Seine-et-Marne organized a ceremony in tribute to the girl from the town who disappeared on her way back from school in 2003.
She was kidnapped and killed by Michel Fourniret. The tribute took place in complete privacy with her family and a few close relatives. «This inauguration marks an important step, that of remembrance,» expressed her father Eric Mouzin in a speech.
«When we pass by this sign here, we say ‘oh yes, it’s true, it happened and we must prevent it from happening again,» he continued.
Regarding the choice to name the square «Estelle» and not «Estelle Mouzin,» Maryse Beauchamps, a municipal councilor at the time of the events, believes that «it’s good to put Estelle because if we put the last name, it personifies. For us, there is only one Estelle.»
For Agnès Vour’ch, president of the Estelle Mouzin association, «not forgetting allows other families to fight to find solutions.»
With her association, she calls for the creation of a database of missing children. «We work with the cold case unit in Nanterre and the ministries. It’s a battle.»
À Guermantes en Seine-et-Marne, l’inauguration a eu lieu ce samedi en présence de sa famille et de quelques proches.
Le «Square Estelle». Une plaque pour ne pas oublier la mémoire d’Estelle Mouzin. Ce samedi matin, la mairie de Guermantes en Seine-et-Marne a organisé une cérémonie en hommage à la fillette originaire de la commune disparue sur le chemin du retour de l’école en 2003.
Elle avait été enlevée et tuée par Michel Fourniret. L’hommage s’est déroulé en toute intimité avec sa famille et quelques proches. «Cette inauguration permet de franchir une étape importante, celle du souvenir«, a exprimé dans un discours son papa Eric Mouzin.
«Quand on passe ici devant ce panneau, on se dit ‘ah oui c’est vrai, cela a existé et il faut éviter que cela se reproduise«, poursuit-il.
Sur le choix de nommer le square «Estelle» et non «Estelle Mouzin», Maryse Beauchamps, conseillère municipale au moment des faits estime que «c’est bien de mettre Estelle car si on met le nom de famille on personnifie. Pour nous, il n’y a qu’une Estelle«.
Pour Agnès Vour’ch, présidente de l’association Estelle Mouzin «ne pas oublier c’est permettre aux autres familles de se battre pour trouver des solutions«.
Avec son association, elle appelle à la création d’un fichier des enfants disparus. «Nous travaillons avec le pôle cold case de Nanterre et les ministères. C’est un combat».
















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