Un élève de 16 ans a tué à coups de couteau l’une de ses camarades le 24 avril dernier dans le lycée de Notre-Dame-de-Toutes-Aides à Nantes.

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«On avance ensemble», a déclaré Pierre Cappelaere au micro d’ICI Loire Océan (ex-France Bleu) vendredi 4 juillet. À la veille des vacances d’été, le directeur de Notre-Dame-de-Toutes-Aides à Nantes s’est confié sur la reconstruction des élèves, des professeurs et des parents d’élèves, deux mois après qu’un élève de 16 ans a tué au couteau une de ses camarades le 24 avril.
«Il y a une belle relation qui s’est mise en place pour avancer, a ajouté Pierre Cappelaere. On le dit, ‘Show must go on’, la vie est dure parfois, mais il n’y a rien de plus fort que la vie.» Concernant les élèves, «ils vont au mieux qu’ils peuvent aller après le drame qu’ils ont vécu», rapporte le directeur du lycée, soulignant avoir «un œil plus particulier sur quelques-uns». Sur ICI Loire Océan, Pierre Cappelaere s’est dit très admiratif des parents de l’adolescente : «Ils sont dans une posture remarquable. Je n’ai jamais senti de la colère, ils ont réussi à mettre de la distance quand, quatre jours après le décès de Lorène, ils ouvrent une cagnotte à destination de la santé mentale des jeunes. C’est un geste formidable.»
Concernant les réactions politiques qui ont suivi ce drame, le directeur de Notre-Dame-de-Toutes-Aides «redit qu’un portique de sécurité ne va pas améliorer les choses.»
The question is elsewhere, it’s how we can prevent these ideas from entering the minds of these young people.» «If adults understood that they need to set an example, well, we would make progress,» added Frédéric Delemazure, director of Catholic education in Loire-Atlantique, on ICI Loire Océan. «When we look at the media, when we look at the National Assembly, we are sometimes a little frightened by what we see.»
In June, Education Minister Élisabeth Borne presented a protocol for identifying and addressing situations of psychological distress in young people, which must be implemented by every institution by the end of the year. «It’s putting into an administrative box what cannot fit into an administrative box,» criticized Frédéric Delemazure. «It’s time that the educational teams won’t spend on education.»
«We move forward together,» said Pierre Cappelaere on ICI Loire Océan (formerly France Bleu) on Friday, July 4th. À l’approche des vacances d’été, le directeur de l’établissement scolaire Notre-Dame-de-Toutes-Aides à Nantes s’est exprimé sur le processus de reconstruction des élèves, des enseignants et des parents, deux mois après le tragique événement survenu le 24 avril, où un élève de 16 ans a poignardé l’une de ses camarades.
Pierre Cappelaere a souligné l’importance de la solidarité qui s’est développée pour avancer dans cette période difficile. Il a cité l’adage «The show must go on», soulignant que malgré les épreuves, la vie continue. Il a également mentionné que les élèves font de leur mieux pour surmonter le traumatisme qu’ils ont vécu, et qu’une attention particulière est accordée à certains d’entre eux.
Le directeur a exprimé son admiration pour les parents de l’adolescente décédée, soulignant leur posture exemplaire dans cette situation tragique. Il a salué leur capacité à garder leur calme et à agir de manière positive, notamment en ouvrant une cagnotte pour la santé mentale des jeunes seulement quatre jours après le décès de leur fille.
En ce qui concerne les réactions politiques suscitées par cet événement, le directeur a souligné que la mise en place de mesures de sécurité telles que des portiques ne résoudrait pas le problème de fond. Il a souligné l’importance pour les adultes de donner l’exemple aux jeunes, afin d’éviter que de telles idées ne germent dans leurs esprits.
Dans le même registre, Frédéric Delemazure, directeur de l’enseignement catholique de Loire-Atlantique, a appelé les adultes à être des modèles pour la jeunesse, critiquant certaines attitudes véhiculées dans les médias et à l’Assemblée nationale.
En juin, la ministre de l’Éducation, Élisabeth Borne, a présenté un protocole visant à repérer et prendre en charge les situations de souffrance psychologique chez les jeunes, qui doit être mis en place dans chaque établissement d’ici la fin de l’année. Cette mesure a été critiquée par Frédéric Delemazure, qui estime qu’elle risque de détourner les équipes éducatives de leur mission principale, qui est l’éducation des élèves.
En conclusion, la communauté éducative de Notre-Dame-de-Toutes-Aides travaille ensemble pour surmonter cette épreuve et reconstruire un environnement propice à l’épanouissement des élèves. Il est essentiel de rester vigilants et solidaires pour éviter que de tels drames ne se reproduisent, en mettant l’accent sur l’éducation et la prévention.
«On avance ensemble», a déclaré Pierre Cappelaere au micro d’ICI Loire Océan (ex-France Bleu) vendredi 4 juillet. À la veille des vacances d’été, le directeur de Notre-Dame-de-Toutes-Aides à Nantes s’est confié sur la reconstruction des élèves, des professeurs et des parents d’élèves, deux mois après qu’un élève de 16 ans a tué au couteau une de ses camarades le 24 avril.
«Il y a une belle relation qui s’est mise en place pour avancer, a ajouté Pierre Cappelaere. On le dit, ‘Show must go on’, la vie est dure parfois, mais il n’y a rien de plus fort que la vie.» Concernant les élèves, «ils vont au mieux qu’ils peuvent aller après le drame qu’ils ont vécu», rapporte le directeur du lycée, soulignant avoir «un œil plus particulier sur quelques-uns». Sur ICI Loire Océan, Pierre Cappelaere s’est dit très admiratif des parents de l’adolescente : «Ils sont dans une posture remarquable. Je n’ai jamais senti de la colère, ils ont réussi à mettre de la distance quand, quatre jours après le décès de Lorène, ils ouvrent une cagnotte à destination de la santé mentale des jeunes.
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