En Occitània, un trentenat de brigadas de gendarmeria de la region son en fase d’experimentacion de bornas en libre-service per depausar plagnas e simplificar las demarchas pels usatgièrs. Dans la région Occitanie, des bornes en libre-service permettent de déposer plainte en gendarmerie, ce qui soulage les gendarmes d’accueil des plaintes ne nécessitant pas d’auditions. Une simple relecture suffira, ajoute le gendarme. Ces bornes de dépôt de plainte en ligne visent à économiser du temps aux usagers et aux gendarmes, en évitant les retours en brigade pour signature. Elles permettent également de désengorger les guichets, particulièrement sollicités en période estivale sur le littoral, où les petites infractions se multiplient. «Dans de nombreux guichets uniques, les délais peuvent être longs en attendant le transfert du dossier à l’unité concernée. Les bornes envoient directement les informations à la brigade de gendarmerie compétente», explique le groupement de gendarmerie des Pyrénées-Orientales à L’Indépendant. En été, la durée moyenne d’attente pour déposer plainte est d’environ vingt minutes. Un premier bilan de cette expérimentation sera réalisé à la fin de l’été. Les bornes ne sont accessibles que pendant les heures d’ouverture des brigades, avec un identifiant FranceConnect. Il est également possible de déposer plainte et de réaliser toutes les démarches en ligne depuis chez soi sur le site service-public.fr, en utilisant également un identifiant FranceConnect.

L’expérimentation est menée dans une trentaine de brigades de gendarmerie de la région afin de les désengorger et de simplifier les démarches pour les usagers.





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La gendarmerie nationale de Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales. (SUZANNE SHOJAEI / RADIO FRANCE)
La gendarmerie nationale de Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales. (SUZANNE SHOJAEI / RADIO FRANCE)

Gagner en temps et en efficacité. Depuis lundi 7 juillet, les brigades de gendarmeries de cinq communes des Pyrénées-Orientales sont équipées de «bornes de dépôt de plainte en ligne», rapporte ICI Roussillon. Le dispositif, expérimenté avec succès en Haute-Garonne, permet le dépôt autonome de plaintes pour les infractions les moins graves, tout en garantissant le maintien de l’accueil physique.

En tout, environ 29 bornes en libre-service sont ainsi expérimentées dans toute la région. Les premières communes sélectionnées ont été Muret et Saint-Orens, en Haute-Garonne, depuis début juin. Puis, dans l’Hérault, Cazouls-lès-Béziers, Palavas-les-Flots, La Grande-Motte, Valras-Plage, Marseillan, Lunel, Saint-Jean-de-Védas, Castelnau-le-Lez, Castries, Pézenas, Balaruc, Bédarieux et Saint-Georges-d’Orques. Et elles sont rejointes, depuis début juillet, par Argelès-sur-Mer, Canet-en-Roussillon, Saint-Cyprien, Le Boulou et Saint-Laurent de la Salanque, dans les Pyrénées-Orientales.

À l’entrée des gendarmeries concernées, un ordinateur est disponible en libre-service afin qu’une victime de cambriolage, de vol de téléphone ou encore de dégradation de voiture puisse déposer plainte. Le plaignant, autonome, est alors guidé pas à pas, jusqu’à pouvoir établir un procès-verbal officiel. Une fois la plainte envoyée, elle est relue par un gendarme avant d’être validée.

Seules les infractions les moins graves comme les vols, les cambriolages ou encore les escroqueries sont éligibles à ce dispositif. «Seules les plaintes pour atteintes aux biens pourront être enregistrées, les plaintes pour atteinte aux personnes exigeant une audition par un gendarme. L’auteur des faits doit être inconnu, précise un porte-parole de la gendarmerie.

Le gendarme affirme que la mise en place de bornes de dépôt de plainte en ligne permettra de soulager le personnel d’accueil des gendarmeries pour les plaintes ne nécessitant pas d’auditions. Une simple relecture suffira, ajoute-t-il.

Avec ces bornes en ligne, l’objectif est de faciliter et d’accélérer les démarches pour les usagers et les gendarmes, tout en évitant les retours en brigade pour signature. Cela permettra également de désengorger les guichets, particulièrement sollicités en période estivale sur le littoral, où les infractions mineures se multiplient.

«En attendant que le dossier soit transféré à l’unité concernée, les délais peuvent être longs dans de nombreux guichets uniques. Les bornes envoient directement les informations à la brigade de gendarmerie référente», explique le groupement de gendarmerie des Pyrénées-Orientales à L’Indépendant. En été, la durée moyenne d’attente pour déposer plainte est d’une vingtaine de minutes.

Notons qu’un premier bilan de cette expérimentation sera dressé à la fin de l’été. Les bornes ne sont accessibles que pendant les horaires d’ouverture des brigades, à l’aide d’un identifiant FranceConnect. Il est également possible de déposer plainte et de faire toute la démarche sur internet depuis chez soi sur le site service-public.fr, également muni d’un identifiant FranceConnect. Depuis le lundi 7 juillet, les brigades de gendarmerie de cinq communes des Pyrénées-Orientales ont mis en place des «bornes de dépôt de plainte en ligne» pour améliorer l’efficacité et réduire le temps d’attente. Ce dispositif, qui a déjà été testé avec succès en Haute-Garonne, permet aux victimes d’infractions mineures de déposer plainte de manière autonome tout en garantissant un accueil physique.

Au total, 29 bornes en libre-service ont été installées dans la région, couvrant plusieurs communes en Haute-Garonne, dans l’Hérault et plus récemment dans les Pyrénées-Orientales. Ces bornes permettent aux plaignants de déposer leur plainte pour des infractions telles que les vols, les cambriolages ou les escroqueries. Cependant, les infractions graves qui nécessitent une audition par un gendarme ne sont pas éligibles à ce système.

L’objectif de ces bornes de dépôt de plainte en ligne est de simplifier le processus pour les usagers et de soulager les gendarmes en évitant les retours en brigade pour signature. Cela permet également de désengorger les guichets, qui sont souvent très sollicités en période estivale sur le littoral. En effet, les petites infractions se multiplient pendant cette période et le temps d’attente pour déposer plainte peut être assez long.

Une fois la plainte déposée via les bornes, elle est relue par un gendarme avant d’être validée. Les informations sont ensuite directement transmises à la brigade de gendarmerie concernée, ce qui permet de réduire les délais et d’accélérer le traitement des dossiers.

Il est à noter que les bornes ne sont accessibles que pendant les horaires d’ouverture des brigades et nécessitent un identifiant FranceConnect. Cependant, il est également possible de déposer plainte et de suivre la procédure en ligne depuis chez soi sur le site service-public.fr, en utilisant également un identifiant FranceConnect.

Cette expérimentation des bornes de dépôt de plainte en ligne sera évaluée à la fin de l’été pour en mesurer l’efficacité. En attendant, ce dispositif permet aux usagers de gagner du temps et aux gendarmes de mieux gérer les plaintes pour les infractions les moins graves. Gagner en temps et en efficacité. Depuis lundi 7 juillet, les brigades de gendarmeries de cinq communes des Pyrénées-Orientales sont équipées de «bornes de dépôt de plainte en ligne», rapporte ICI Roussillon. Le dispositif, expérimenté avec succès en Haute-Garonne, permet le dépôt autonome de plaintes pour les infractions les moins graves, tout en garantissant le maintien de l’accueil physique.

En tout, quelque 29 bornes en libre-service sont ainsi expérimentées dans toute la région. Les premières communes sélectionnées ont été Muret et Saint-Orens, en Haute-Garonne, depuis début juin. Puis, dans l’Hérault, Cazouls-lès-Béziers, Palavas-les-Flots, La Grande-Motte, Valras-Plage, Marseillan, Lunel, Saint-Jean-de-Védas, Castelnau-le-Lez, Castries, Pézenas, Balaruc, Bédarieux et Saint-Georges-d’Orques. Et elles sont rejointes, depuis début juillet, par Argelès-sur-Mer, Canet-en-Roussillon, Saint-Cyprien, Le Boulou et Saint-Laurent de la Salanque, dans les Pyrénées-Orientales.

À l’entrée des gendarmeries concernées, un ordinateur est disponible en libre-service afin qu’une victime de cambriolage, de vol de téléphone ou encore de dégradation de voiture puisse déposer plainte. Le plaignant, autonome, est alors guidé pas à pas, jusqu’à pouvoir établir un procès-verbal officiel. Une fois la plainte envoyée, elle est relue par un gendarme avant d’être validée.

Seules les infractions les moins graves comme les vols, les cambriolages ou encore les escroqueries sont éligibles à ce dispositif. Seules les plaintes pour atteintes aux biens seront enregistrées, tandis que les plaintes pour atteinte aux personnes nécessiteront une audition par un gendarme. L’auteur des faits doit rester inconnu, selon un porte-parole de la gendarmerie. Cela permettra de soulager le gendarme d’accueil sur ce type de plaintes, qui ne nécessitent pas d’auditions et peuvent être simplement relues.

L’objectif des bornes de dépôt de plainte en ligne est de gagner du temps pour les usagers et les gendarmes, et d’éviter les déplacements en brigade pour une simple signature. Cela contribue également à désengorger les guichets, particulièrement sollicités en période estivale sur le littoral, où les petites infractions se multiplient.

Selon le groupement de gendarmerie des Pyrénées-Orientales, les bornes envoient directement les informations à la brigade de gendarmerie référente, évitant ainsi les délais d’attente parfois longs dans les guichets uniques. Une première évaluation de cette expérimentation sera réalisée à la fin de l’été. Les bornes sont accessibles pendant les horaires d’ouverture des brigades, avec un identifiant FranceConnect. Il est également possible de déposer plainte et de suivre la procédure en ligne sur le site service-public.fr, en utilisant également un identifiant FranceConnect.

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