La cour d’appel de Paris a confirmé vendredi la peine de six mois d’emprisonnement avec sursis et deux ans d’inéligibilité, pour le harcèlement moral de cinq assistants parlementaires.
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La justice a confirmé, vendredi 4 juillet, la peine prononcée en première instance à l’encontre de l’ancienne députée LREM Laetitia Avia, de six mois d’emprisonnement avec sursis et deux ans d’inéligibilité, pour le harcèlement moral de cinq assistants parlementaires. La cour d’appel de Paris a par ailleurs estimé que l’ancienne députée de Paris, redevenue avocate après sa défaite aux législatives en 2022 et aujourd’hui âgée de 39 ans, avait commis une faute civile concernant un assistant parlementaire pour laquelle elle avait été relaxée en première instance. Et elle a revu à la hausse les dommages et intérêts à verser aux parties civiles.
Dans un article de Mediapart publié en mai 2020, cinq anciens assistants parlementaires accusaient celle qui était alors députée de faire subir à ses collaborateurs humiliations, harcèlements et abus de pouvoir. Les témoignages faisaient également état de propos jugés sexistes, racistes ou homophobes tenus par Laetitia Avia lors de discussions avec son équipe.
La députée, proche de Macron depuis le début, défendait à ce moment-là au Parlement un projet de loi contre la haine en ligne, qui a été largement censuré le mois suivant par le Conseil constitutionnel. Please rewrite this sentence. Please rephrase this sentence. Please rewrite this sentence.
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