Le parquet a décidé de classer sans suite l’enquête pour subornation de témoin contre Cédric Jubillar. Le parquet classe sans suite l’enquête pour subornation de témoin contre Cédric Jubillar.

Cédric Jubillar était soupçonné de «subornation de témoin» et «appels malveillants réitérés» sur son ex-petite amie.

Sans inscription. Cédric Jubillar ne sera pas poursuivi pour subornation de témoin lors de son procès aux assises du Tarn qui doit s’ouvrir le 22 septembre, a appris lundi ICI Occitanie (ex-France Bleu) auprès du parquet de Toulouse.

Cédric Jubillar était soupçonné de «subornation de témoin» et «appels malveillants réitérés» sur son ex-petite amie. Cette dernière se plaignait d’appels nombreux de sa part pendant sa détention et affirme aussi qu’il lui a avoué le meurtre de sa femme, Delphine, en décembre 2020, ce que l’intéressé nie. L’enquête avait été ouverte après un courrier de l’administration pénitentiaire, adressé le 5 septembre au parquet, à la suite d’appels téléphoniques de Cédric Jubillar. L’ex-compagne a été entendue le 7 septembre dernier. Il est ressorti de ces investigations que les messages de l’accusé n’ont rien de pénalement répréhensibles.

Cédric Jubillar est en prison depuis juin 2021. Il est accusé du meurtre de son épouse, Delphine, disparue en décembre 2020. Le peintre-plaquiste de 38 ans clame son innocence dans cette affaire sans corps, ni aveux, ni scène de crime, ni témoin. Le procès doit débuter le 22 septembre devant la cour d’assises du Tarn. (MARIE PIERRE VOLLE / MAXPPP) Sans abonnement



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Une affiche, accrochée à un arbre, demande "justice et vérité" pour Delphine Jubillar, dans son village de Cagnac-les-Mines le 15 juin 2022. Cédric Jubillar ne sera pas poursuivi pour subornation de témoin lors de son procès aux assises du Tarn qui doit s'ouvrir le 22 septembre, a appris lundi ICI Occitanie (ex-France Bleu) auprès du parquet de Toulouse.


Cédric Jubillar était soupçonné de «subornation de témoin» et «appels malveillants réitérés» sur son ex-petite amie. Cette dernière se plaignait d’appels nombreux de sa part pendant sa détention et affirme aussi qu’il lui a avoué le meurtre de sa femme, Delphine, en décembre 2020, ce que l’intéressé nie.<br />
L’enquête avait été ouverte après un courrier de l’administration pénitentiaire, adressé le 5 septembre au parquet, à la suite d’appels téléphoniques de Cédric Jubillar. L’ex-compagne a été entendue le 7 septembre dernier. Il est ressorti de ces investigations que les messages de l’accusé n’ont rien de pénalement répréhensibles.</p>
<p>Cédric Jubillar est en prison depuis juin 2021. Il est accusé du meurtre de son épouse, Delphine, disparue en décembre 2020. Le peintre-plaquiste de 38 ans clame son innocence dans cette affaire sans corps, ni aveux, ni scène de crime, ni témoin. Le procès doit débuter le 22 septembre devant la cour d’assises du Tarn.<br />
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