Les autorités norvégiennes ont également relevé des soupçons de harcèlement, de menaces de mort et de violences volontaires à l’encontre de Marius Borg Hoiby. L’enquête a été complexe en raison de la nature des infractions et des différentes parties impliquées. La décision de poursuivre ou non Marius Hoiby revient désormais au parquet, qui devra examiner toutes les preuves recueillies au cours de l’enquête. La famille royale norvégienne n’a pas encore fait de déclaration officielle sur cette affaire, mais elle suit de près les développements et coopérera pleinement avec les autorités. Le fils de la princesse héritière de Norvège Mette-Marit est soupçonné de 23 infractions, dont trois viols, selon le droit norvégien qui inclut des actes sexuels sans pénétration lorsque la victime ne peut pas résister. L’avocate de Hoiby, Ellen Holager Andenaes, a déclaré à l’agence de presse NTB que son client nie les accusations de viol.