Les Jeux de Paris 2024 célèbrent leur premier anniversaire

Pour fêter le premier anniversaire des Jeux de Paris 2024, les anneaux olympiques sont même de retour sur la tour Eiffel. Un an après la cérémonie d’ouverture sur la Seine, organisée le 26 juillet 2024, de nombreuses animations et festivités sont prévues ce samedi. Courses de nage en eau libre, karaoké géant, illumination de la tour Eiffel, envol de la vasque… Le programme complet est disponible sur le site de la Ville.

Mais quels souvenirs des JO ont gardé les bénévoles ? «C’était une parenthèse enchantée, un projet avec une énergie folle«, se rappelle Alexandra. Cette volontaire se remémore de «la très belle ambiance» à La Défense Arena, qui accueillait notamment les épreuves de natation.

«Autour de la piscine, c’était la folie, mais sur le parvis aussi. Pour recevoir les spectateurs, il y avait beaucoup d’animations, de danses, de haies d’honneur. Je me souviens des sourires du public, on avait le sentiment de rendre tout le monde heureux, c’était hyper valorisant«, explique-t-elle.

«C’était un moment magique, hors du temps. C’est chouette d’avoir contribué à ça. Il y a eu beaucoup de rencontres et de l’inattendu«, ajoute Alexandra. «Et je porte toujours mon chapeau de volontaire avec beaucoup de fierté, les gens le reconnaissent dans la rue«, sourit-elle.

Christine, volontaire missionnée aux accréditations au Stade de France pour les Jeux paralympiques, a elle aussi gardé sa tenue. «Je porte d’ailleurs le pantalon aujourd’hui«, rit-elle. «Paris 2024, c’était une très belle expérience avec beaucoup d’échanges et d’amitiés. Je suis retraitée, c’était un moment très intense et très enrichissant. Beaucoup d’émotions reviennent quand j’y repense«, se rappelle-t-elle.

Carina, elle, avait été recrutée via la Fédération Française de Tennis de Table pour devenir leader d’ambiance. «Le but était d’animer les tribunes, avec des chants, des tambours, un mégaphone, des drapeaux à distribuer… Les Jeux, c’est inoubliable. C’est fou d’avoir pu vivre de l’intérieur les cérémonies des Jeux paralympiques, mais aussi d’avoir vécu des moments de sport avec d’autres passionnés«, se souvient-elle.

Au judo, l’ambianceuse se rappelle notamment d’avoir «organisé le supporting d’Aurélien Diesse, la veille, avec son frère«. «On avait préparé des chants personnalisés, et toute sa famille était venue en tribune. C’est génial d’avoir pu partager ces moments-là«, raconte Carina.

«Et pour nous, les leaders d’ambiance, ce n’est pas fini. Depuis, on continue à mettre en place d’autres tribunes, toujours en lien avec le Comité national olympique et sportif français (CNOSF), pour des compétitions de golf, d’escrime, de judo, d’athlétisme… Et on a toujours les grosses têtes à l’effigie des sportifs«, sourit-elle.

Je me souviens des sourires du public, on avait le sentiment de rendre tout le monde heureux, c’était hyper valorisant«, explique-t-elle.

«C’était un moment magique, hors du temps. C’est chouette d’avoir contribué à ça. Il y a eu beaucoup de rencontres et de l’inattendu«, ajoute Alexandra. «Et je porte toujours mon chapeau de volontaire avec beaucoup de fierté, les gens le reconnaissent dans la rue«, sourit-elle.

Christine, volontaire missionnée aux accréditations au Stade de France pour les Jeux paralympiques, a elle aussi gardé sa tenue. «Je porte d’ailleurs le pantalon aujourd’hui«, rit-elle. «Paris 2024, c’était une très belle expérience avec beaucoup d’échanges et d’amitiés. Je suis retraitée, c’était un moment très intense et très enrichissant. Beaucoup d’émotions reviennent quand j’y repense«, se rappelle-t-elle.

Carina, elle, avait été recrutée via la Fédération Française de Tennis de Table pour devenir leader d’ambiance. «Le but était d’animer les tribunes, avec des chants, des tambours, un mégaphone, des drapeaux à distribuer… Les Jeux, c’est inoubliable. C’est fou d’avoir pu vivre de l’intérieur les cérémonies des Jeux paralympiques, mais aussi d’avoir vécu des moments de sport avec d’autres passionnés«, se souvient-elle.

Au judo, l’ambianceuse se rappelle notamment d’avoir «organisé le supporting d’Aurélien Diesse, la veille, avec son frère«. «On avait préparé des chants personnalisés, et toute sa famille était venue en tribune. C’est génial d’avoir pu partager ces moments-là«, raconte Carina.

«Et pour nous, les leaders d’ambiance, ce n’est pas fini. Depuis, on continue à mettre en place d’autres tribunes, toujours en lien avec le Comité national olympique et sportif français (CNOSF), pour des compétitions de golf, d’escrime, de judo, d’athlétisme… Et on a toujours les grosses têtes à l’effigie des sportifs«, sourit-elle.

«Les sourires du public me reviennent en mémoire, nous avions le sentiment de rendre tout le monde heureux, c’était très gratifiant», explique-t-elle.

«C’était un moment magique, hors du temps. C’est formidable d’avoir contribué à cela. Il y a eu beaucoup de rencontres et d’imprévu», ajoute Alexandra. «Et je suis toujours fière de porter mon chapeau de volontaire, les gens le reconnaissent dans la rue», sourit-elle.

Christine, volontaire aux accréditations au Stade de France pour les Jeux paralympiques, a également conservé sa tenue. «Je porte d’ailleurs le pantalon aujourd’hui», rit-elle. «Paris 2024 a été une expérience magnifique avec beaucoup d’échanges et d’amitiés. Je suis retraitée, et cela a été un moment intense et enrichissant. Beaucoup d’émotions me reviennent en mémoire», se rappelle-t-elle.

Carina, recrutée par la Fédération Française de Tennis de Table pour être leader d’ambiance, se souvient avec émotion de son expérience. «Le but était d’animer les tribunes avec des chants, des tambours, un mégaphone, des drapeaux à distribuer… Les Jeux sont inoubliables. C’était incroyable de vivre de près les cérémonies des Jeux paralympiques et de partager des moments sportifs avec d’autres passionnés», se souvient-elle.

Au judo, Carina se rappelle en particulier avoir organisé le soutien à Aurélien Diesse avec son frère. «Nous avions préparé des chants personnalisés, et toute sa famille était présente en tribune. C’était génial de partager ces moments», raconte-t-elle.

«Et pour nous, les leaders d’ambiance, ce n’est pas fini. Depuis, nous continuons à animer d’autres tribunes en collaboration avec le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) pour des compétitions de golf, d’escrime, de judo, d’athlétisme… Et nous avons toujours nos grosses têtes à l’effigie des sportifs», conclut-elle.

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