Yuval Green, un ancien réserviste, a quitté l’armée israélienne en janvier 2024. Il n’a pas supporté ce qu’il a vu et dû faire dans la bande de Gaza.

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Combien de soldats israéliens devront comparaître devant la justice pour crime de guerre, voire crime contre l’humanité ? Des plaintes sont en cours contre au moins un Français, dix Britanniques, un Roumain, des Allemands et peut-être beaucoup d’autres. Des binationaux poursuivis pour avoir commis des exactions présumées pendant la guerre à Gaza. Alors que le conflit continue dans l’enclave palestinienne et que l’armée israélienne occupe aujourd’hui 20% du territoire, les témoignages sur ce qu’elle y commet se multiplient. Notamment celui de Yuval Green, 26 ans, ancien réserviste, qui a combattu à Gaza jusqu’en janvier 2024. Yuval Green n’a pas supporté l’attitude de ses frères d’armes et a depuis quitté l’armée.
Yuval Green est ce qu’on appelle en Israël un «refuznik», un déserteur. «En tant que soldat, je ne suis pas représentatif de ce que pensent la majorité des Israéliens», admet-il. Mais il comprend la colère de ses concitoyens et le désir de vengeance, qu’il a partagé un temps après le traumatisme collectif du massacre du 7-Octobre. «Les premiers jours, je n’avais aucun doute, c’était ce qu’il fallait faire, protéger le pays des terroristes. C’était clairement le bon choix. Mais après, au fur et à mesure que le temps passait, c’est devenu de plus en plus clair qu’Israël utilisait la force de manière injustifiée», explique l’ancien soldat.
Le tournant est arrivé l’année dernière.
Yuval Green, a former reservist, left the Israeli army in January 2024. He couldn’t bear what he saw and had to do in Gaza.
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Ces entreprises vont s’appuyer sur des lignes de production existantes en Ukraine pour fabriquer ces drones, a précisé le ministre lors d’une conférence de presse. Il a souligné l’importance de ce partenariat pour renforcer la coopération entre la France et l’Ukraine dans le domaine de la défense. Les drones produits sur le sol ukrainien seront destinés à des missions de surveillance et de renseignement, a indiqué Sébastien Lecornu. Il a également souligné que ce projet permettra de créer des emplois en Ukraine et de renforcer les capacités industrielles du pays dans le secteur de la défense. Ce partenariat entre des entreprises françaises et l’Ukraine marque une nouvelle étape dans la coopération bilatérale entre les deux pays, a conclu le ministre des Armées. Des entreprises françaises vont collaborer pour produire des drones en Ukraine, a annoncé le ministre des Armées lors d’une interview sur la chaîne LCI. Ce partenariat inédit impliquera une grande entreprise spécialisée dans la production de voitures françaises qui s’associera avec une PME de défense française pour équiper des lignes de production en Ukraine, permettant ainsi la fabrication de drones. Ces drones, dont les détails sur le type et le fabricant n’ont pas été divulgués, seront destinés à être utilisés par les forces ukrainiennes. Cependant, le ministre a souligné que les armées françaises en bénéficieront également pour des exercices tactiques et opérationnels en lien avec la réalité du conflit en Ukraine. En outre, les Ukrainiens partageront leur expérience quant à l’utilisation des drones dans le contexte de ce conflit. Selon le ministre, il n’est pas nécessaire de faire appel à des citoyens français pour travailler sur les chaînes de production en Ukraine. Il estime que les Ukrainiens sont plus compétents que les Français dans l’élaboration de drones et des doctrines qui les accompagnent.

Après 25 ans derrière les barreaux pour l’assassinat du juge Giovanni Falcone en 1992, l’ancien criminel a pleinement retrouvé la liberté en 2024, mais l’information n’émerge que maintenant. L’ex-parrain de la mafia sicilienne vit sous une nouvelle identité. En Italie, un homme surnommé «L’égorgeur» est désormais pleinement libre. Après 25 ans de prison et trois de résidence surveillée, Giovanni Brusca a soldé ses comptes avec la justice. Parmi la centaine de meurtres pour lesquels Brusca fut condamné, il y a celui du juge anti-mafia Giovanni Falcone. Brusca est l’homme qui a appuyé sur le détonateur le jour de l’attentat, 23 mai 1992, près de Palerme. Quelques semaines plus tard, il était l’un des commanditaires de l’assassinat de Paolo Borsellino, autre magistrat anti-mafia. Il fut à la tête un temps du clan des Corleone, après avoir été le bras droit de Toto Riina. Une autre de ses horreurs restées célèbres en Italie est l’assassinat dans des conditions abjectes du fils d’un repenti. C’est pourtant en tant que repenti, à son tour, quelques mois après son arrestation en 1996, que Brusca retrouve la liberté. La loi sur les collaborateurs de justice voulue, ironie du sort, par Falcone lui-même, prévoit des réductions de peine. Cela fait un an en réalité qu’il a pleinement retrouvé la liberté, mais l’information n’émerge que maintenant. Il vit sous une nouvelle identité. En Italie, sa libération divise. Libération de Giovanni Brusca, l’assassin du juge Falcone, divise le pays

Les enquêteurs ont identifié plusieurs suspects, dont des Franco-Israéliens, qui auraient été impliqués dans ces actions. L’enquête vise à déterminer leur degré de responsabilité et à établir s’ils ont effectivement commis des actes constitutifs de génocide et de crimes contre l’humanité. Les autorités judiciaires françaises travaillent en étroite collaboration avec les autorités israéliennes pour mener à bien cette enquête, qui s’annonce complexe en raison de la nature des accusations portées contre les suspects. Les Franco-Israéliens visés par cette enquête risquent de lourdes sanctions s’ils venaient à être reconnus coupables des charges qui pèsent contre eux. L’affaire suscite une vive émotion en France et en Israël, où les autorités suivent de près l’évolution de l’enquête. La communauté internationale est également attentive à cette affaire, qui met en lumière les enjeux cruciaux liés au respect des droits de l’homme et à la lutte contre l’impunité pour les crimes les plus graves. Des Franco-Israéliens sous enquête pour complicité de génocide et de crimes contre l’humanité sont visés par une enquête en France. C’est la première fois qu’une enquête est ouverte sous ce motif, le plus grave dans l’échelle du droit en France. L’Union juive française pour la paix, une association antisioniste, et une femme franco-palestinienne, dont la famille vit dans la bande de Gaza, dénoncent les actions de blocage de l’aide humanitaire par des Franco-Israéliens. Les avocates des plaignants, Marion Lafouge et Damia Taharraoui, ont salué la décision de l’ouverture de l’enquête, soulignant sa cohérence avec les preuves apportées par les parties civiles. Elles attendent maintenant de voir si la suite de l’instruction sera également cohérente. Les collectifs franco-israéliens «Israel Is Forever» et «Tsav 9» sont pointés du doigt par les plaignants. Ils sont accusés d’avoir contribué à la famine en cours dans la bande de Gaza en bloquant les camions d’aide humanitaire autorisés à entrer depuis janvier 2024. «Israel Is Forever» a notamment fait parler de lui en France en invitant le ministre d’extrême droite israélien Bezalel Smotrich à Paris pour un gala de soutien à l’armée israélienne en novembre 2024.

La grand-mère a déclaré à France Inter : «J’ai perdu mes petits-enfants, mes bébés, mes amours. Je ne peux pas rester sans rien faire. Je veux que justice soit rendue pour eux, pour tous les enfants innocents qui meurent dans cette guerre insensée.» La plainte a été déposée devant le procureur de la Cour pénale internationale à La Haye. L’avocat de Jacqueline a précisé que cette démarche vise à faire reconnaître la responsabilité des autorités israéliennes dans la mort des enfants et à obtenir des réparations pour la famille endeuillée. Les autorités israéliennes n’ont pas encore réagi à cette plainte. Une grand-mère française dépose plainte contre Israël après la mort de deux de ses petits-enfants à Gaza. Elle avait insisté pour que ses trois enfants aient la nationalité française. Selon Jacqueline, le gouvernement français aurait dû évacuer les Français qui vivaient dans la bande de Gaza. Elle a donc décidé de porter plainte avec la Ligue des droits de l’Homme. L’objectif de cette plainte, explique Arié Alimi, l’avocat de Jacqueline, est de tenir les responsables pour compte.

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Les quatre réfugiés ont ensuite été récupérés par l’agence européenne des frontières Frontex. Cette action de sauvetage en mer souligne une fois de plus l’engagement des activistes et des humanitaires à venir en aide aux personnes en détresse en Méditerranée, malgré les risques et les obstacles. La flottille pour la liberté, composée de différents navires affrétés par des organisations humanitaires, avait pour objectif initial de briser le blocus de Gaza et d’apporter une aide humanitaire à la population palestinienne. Ce changement d’itinéraire témoigne de la solidarité et de la volonté des activistes de soutenir toutes les personnes en danger en mer, quelles que soient leur origine ou leur nationalité. Le voilier se trouvait en mer Méditerranée, au sud de la Grèce et au Nord de la Libye et de l’Egypte. Sur les images publiées par Rima Hassan et Greta Thunberg ainsi que d’autres passagers du navire, on peut en effet voir plusieurs dizaines de personnes regroupées sur une petite embarcation en pleine mer. «4 personnes se sont jetées en mer au moment de l’intervention de la Garde côtière libyenne, nous avons pu les secourir elles sont avec nous sur notre bateau,» a tweeté Rima Hassan le 5 juin 2025. Quelques-unes d’entre elles étaient dans l’eau, flottant à l’aide de pneus, au moment où un bateau plus grand, celui de la Garde côtière libyenne selon l’équipage, intervenait à proximité de l’embarcation.

Voici les dix recommandations formulées par les scientifiques : Protéger les écosystèmes marins fragiles en établissant des aires marines protégées. Arrêter la pollution plastique en réduisant la production et la consommation de plastique à usage unique. Renforcer la protection des espèces en voie de disparition en mettant en place des mesures de conservation efficaces. Limiter les émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre le réchauffement climatique et l’acidification des océans. Améliorer la gestion des pêcheries pour garantir une exploitation durable des ressources marines. Encourager la recherche scientifique pour mieux comprendre les écosystèmes marins et les menaces qui pèsent sur eux. Renforcer la coopération internationale pour une gestion globale et concertée des océans. Garantir l’accès équitable aux ressources marines pour tous les pays, en particulier les nations en développement. Impliquer les populations locales dans la préservation des océans en favorisant une approche participative et inclusive. Éduquer et sensibiliser le public à l’importance de la protection des océans pour assurer un avenir durable pour notre planète. Ces recommandations visent à orienter les décideurs politiques et les acteurs de la société civile vers des actions concrètes et urgentes pour protéger l’océan et garantir sa pérennité pour les générations futures. 1. Augmenter les financements pour la recherche océanique. 2. Soutenir des solutions fondées sur la science. 3. Accélérer la protection des écosystèmes marins. 4. Atteindre l’objectif de 30% d’aires marines protégées d’ici 2030. 5. Supprimer les subventions nuisant au climat et à la biodiversité marine. 6. Renforcer la lutte contre la pêche illégale. 7. Éradiquer la pollution plastique. 8. Décarbonner le transport maritime en développant des carburants alternatifs. 9. Encourager les systèmes de propulsion innovants. 10. Intégrer les savoirs autochtones dans la recherche scientifique.

Le président américain, Donald Trump, a fermé le territoire américain aux ressortissants de douze pays, de l’Iran à Haïti en passant par l’Afghanistan, justifiant sa décision par la volonté de «protéger» le pays de «terroristes étrangers». Cette interdiction entre en vigueur le 9 juin et concerne également d’autres pays tels que la Birmanie, le Tchad, la République démocratique du Congo, la Guinée équatoriale, l’Erythrée, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. Des exceptions sont prévues pour certains détenteurs de visas et pour des personnes dont le voyage aux Etats-Unis «sert l’intérêt national». Donald Trump interdit l’entrée aux ressortissants de douze pays, de l’Iran à Haïti, pour des raisons de sécurité et d’immigration.

Les Etats-Unis ont opposé leur veto à un cessez-le-feu au Conseil de sécurité de l’ONU. Les Etats-Unis ont opposé leur veto à un cessez-le-feu au Conseil de sécurité de l’ONU, malgré le soutien de la majorité des membres.

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