Vidéo. Artificial intelligence, trucks, sensors… Connected sorting, this new innovation currently being tested to properly sort waste in French. Head to Essonne and Seine-et-Marne to find smart bins. This is the promise of around twenty municipalities in Grand Paris Sud. The agglomeration is currently testing a system to help sort household waste. In this residential area of Melun (Seine-et-Marne), trucks are making their rounds to collect recyclable waste. The usual routine, with one exception: the bins are thoroughly examined thanks to sensors. «Now, we visually check if it’s compliant. Here, we look and see that it was visually good. But we can’t know what’s underneath,» describes Aly Bilal, a garbage collector for the company Ourry. To find out what’s at the bottom of the bin, this garbage truck has been equipped with video sensors for a year. Pictures of the garbage are taken immediately after each bin is emptied. The images are then sent and analyzed at a center to determine if residents have properly sorted their waste. «I have all the collections that have been made by these trucks. Right here, I have the number of errors that the artificial intelligence has detected. For example, it detected collection bags here, or a crate there. So, it flagged it as a sorting error,» comments Mahamadou Koita, ambassador for waste prevention and reduction for the Grand Paris Sud agglomeration. This innovation aims to achieve several objectives. «We wanted to implement other means to improve sorting performance.

Head to Essonne and Seine-et-Marne to find smart trash cans. That’s the promise of about twenty communes in Grand Paris Sud. The agglomeration is currently testing a system to help sort household waste.

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In this residential neighborhood of Melun (Seine-et-Marne), trucks make their rounds to collect recyclable waste. A usual routine, with one exception: the trash cans are thoroughly inspected thanks to sensors.

«Now, we visually check if it’s compliant. Here, we look and see that it was visually fine. But we can’t know what’s underneath,» describes Aly Bilal, a garbage collector for the Ourry company. For a year now, this garbage truck has been equipped with video sensors to see what’s at the bottom of the bin. Photos of the garbage are taken immediately after each bin is emptied.

Sensors installed on the trucks produce images that are then analyzed at the end of the route.

© Arthur Pantz / France Télévisions

The captures are then sent and analyzed in a center to determine if residents have sorted their waste correctly. «I have all the collections made by these trucks. Right here, I have the number of errors that artificial intelligence has detected. For example, it detected collection bags here, or a crate there. It therefore flagged it as a sorting error,» comments Mahamadou Koita, ambassador for waste prevention and reduction for the Grand Paris Sud agglomeration.

This innovation aims to achieve several objectives. «We wanted to implement other means to improve sorting performance.

Aude Raguideau, directrice du cycle des déchets et de l’énergie à l’agglomération Grand Paris Sud, souligne l’importance de réduire l’impact financier sur le coût du service et la fiscalité pour les habitants, ainsi que sur l’environnement en détournant davantage de déchets de l’incinération pour les recycler en nouveaux produits.

Chaque erreur de tri est géolocalisée pour identifier les zones résidentielles nécessitant une sensibilisation. Par exemple, au Coudray-Montceaux (Essonne), des actions de sensibilisation sont menées. Mahamadou Koita, du service de la prévention et de la réduction des déchets, adapte ses discours en fonction des erreurs de tri réelles observées par le logiciel, aidant ainsi les habitants à mieux trier leurs déchets.

Le dispositif coûte 110 000 euros par an et actuellement six camions-poubelle sont équipés de capteurs intelligents, avec l’intention d’équiper toute la flotte l’année prochaine.

Dans le quartier pavillonnaire de Melun (Seine-et-Marne), des camions équipés de capteurs vidéo inspectent visuellement les poubelles pour assurer une conformité au tri des déchets recyclables. Des clichés des déchets sont pris immédiatement après chaque vidage de poubelle.

Les images capturées sont ensuite envoyées et analysées dans un centre pour vérifier si les habitants ont correctement trié leurs déchets. Mahamadou Koita, ambassadeur de la prévention et de la réduction des déchets pour l’agglomération Grand Paris Sud, commente : «J’ai l’ensemble des collectes qui ont été effectuées par ces camions. Juste ici, j’ai le nombre d’erreurs que l’intelligence artificielle a détectées. Là, par exemple, elle a détecté des sacs de collecte ou là, une cagette. Elle l’a donc fait remonter en tant qu’erreur de tri.»

Cette initiative vise plusieurs objectifs, notamment améliorer les performances de tri, réduire les coûts du service et donc la fiscalité pour les habitants, ainsi que favoriser le recyclage des déchets pour préserver l’environnement. Aude Raguideau, directrice du cycle des déchets et de l’énergie à l’agglomération Grand Paris Sud, ajoute : «On a souhaité mettre d’autres moyens pour améliorer les performances de tri. Avoir un impact financier moins important sur le coût du service et donc sur la fiscalité pour l’habitant, mais aussi d’un point de vue environnemental, qu’il y ait beaucoup plus de déchets qui soient détournés de l’incinération et qui soient recyclés pour redevenir ensuite un nouveau produit.»

Chaque erreur de tri est géolocalisée, permettant à l’agglomération d’identifier les zones où les habitants ont des lacunes en matière de tri des déchets. Par exemple, au Coudray-Montceaux (Essonne), une commune ciblée pour une action de sensibilisation, Mahamadou Koita sonne à la porte d’une maison pour expliquer les règles de tri en fonction des erreurs réelles constatées par le logiciel. Le dispositif coûte 110 000 euros par an, avec actuellement six camions-poubelle équipés de ces capteurs intelligents. Toute la flotte sera équipée l’année prochaine.

En savoir plus sur ce projet novateur en Essonne et en Seine-et-Marne, où des poubelles intelligentes sont mises en place dans une vingtaine de communes de Grand Paris Sud.

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