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Sans inscription. Deux personnes ont été mises en examen pour «violences aggravées sur personnes dépositaires de l’autorité publique» après l’agression de sept policiers à Reims. Les agresseurs ont été placés en détention provisoire et risquent jusqu’à 20 ans de prison. L’agression a eu lieu après une altercation avec des fauteurs de trouble, et les policiers ont été pris pour cible et violemment agressés. Certains ont subi des blessures graves, allant d’une cheville cassée à des coups de boucle de ceinture sur le crâne.
Les deux hommes mis en examen sont en récidive légale pour des faits de violence. L’un d’entre eux était sorti de prison depuis quatre jours seulement avant l’agression. D’autres assaillants impliqués dans l’attaque sont encore recherchés. L’agression a eu lieu alors que les policiers se rendaient à un pot de départ après leur service. Ils ont été attaqués par une dizaine de personnes et ont subi des violences extrêmes.
Selon le syndicat de police Un1té Champagne-Ardenne, l’agression a été précédée d’une première altercation avec des individus perturbateurs. Les policiers ont ensuite été reconnus et pris pour cible. Les agresseurs ont frappé les policiers violemment, causant des blessures importantes. Certains des policiers ont été incapables de travailler pendant plusieurs jours en raison de leurs blessures.
Cette attaque souligne les risques auxquels les forces de l’ordre sont confrontées dans l’exercice de leurs fonctions. Les policiers doivent faire face à des actes de violence et d’agression, même en dehors de leur service. L’importance de protéger les policiers et de garantir leur sécurité dans l’exercice de leurs fonctions est essentielle pour maintenir l’ordre public et la sécurité de tous les citoyens.
L’agression de ces policiers à Reims met en lumière la nécessité de condamner fermement de tels actes de violence et de protéger ceux qui assurent la sécurité de la population. Les deux individus mis en examen pour cette agression doivent répondre de leurs actes devant la justice et être jugés pour leurs crimes. La sécurité des forces de l’ordre est primordiale pour assurer la tranquillité et la paix publique.
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