À Lagny-sur-Marne, l’abbatiale a besoin de travaux de restauration. La mairie en appelle aux habitants pour sauver ce monument classé du 13ème siècle.
Le coût de la restauration de Notre-Dame-des-Ardents est estimé à 16 millions d’euros.
Début juillet, la mairie de Lagny-sur-Marne en Seine-et-Marne, propriétaire de l’église, a lancé une collecte de fonds auprès des habitants avant le début des travaux dans l’abbatiale datant du 12ème siècle. «On voit qu’elle se dégrade. Je vais donner«, nous dit une habitante. «Il faut préserver le patrimoine, il y a de nombreux tableaux à l’intérieur«, enchaîne un autre. La mairie a lancé une cagnotte en ligne pour permettre aux habitants de faire des dons défiscalisés.
«Nous devons travailler avec des artisans et des sociétés reconnus par l’État. Qui sont forcément plus chers car ils ont les bons labels. Une commune n’a pas les moyens surtout que l’État commence à réduire nos subventions«, indique Pierre Tebaldini, adjoint au maire Horizons de Lagny-sur-Marne.
La restauration de l’église coûte en tout 16 millions d’euros.
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© France 3 Paris Île-de-France
Lorsqu’il pleut, l’eau s’invite à l’intérieur de l’abbatiale par le toit. Cette eau crée des moisissures au plafond de l’église «Une décoration supplémentaire«, ironise le Père Maximilien, prêtre de la paroisse du Val-de-Lagny, en constatant celles présentes vers la statue de Saint-Joseph. «C’est un des lieux qui est le plus urgent dans la restauration de l’église.»
Des tableaux et des reliquaires ont été bâchés pour éviter de plus amples détériorations. Des rubalises ont été installées pour éviter les gouttes. La première phase des travaux doit débuter en 2026. En France, 90 % des églises sont la propriété des communes.
Avec Florie Castaingts
Une commune n’a pas les moyens surtout que l’État commence à réduire nos subventions«, indique Pierre Tebaldini, adjoint au maire Horizons de Lagny-sur-Marne.
Lorsqu’il pleut, l’eau s’invite à l’intérieur de l’abbatiale par le toit. Cette eau crée des moisissures au plafond de l’église, «Une décoration supplémentaire«, ironise le Père Maximilien, prêtre de la paroisse du Val-de-Lagny, en constatant celles présentes vers la statue de Saint-Joseph. «C’est un des lieux qui est le plus urgent dans la restauration de l’église.»
Des tableaux et des reliquaires ont été bâchés pour éviter de plus amples détériorations. Des rubalises ont été installées pour éviter les gouttes. La première phase des travaux doit débuter en 2026. En France, 90 % des églises sont la propriété des communes.
Avec Florie Castaingts
À Lagny-sur-Marne, l’abbatiale a besoin de travaux de restauration. La mairie en appelle aux habitants pour sauver ce monument classé du 13ème siècle.
Le coût de la restauration de Notre-Dame-des-Ardents est estimé à 16 millions d’euros. Début juillet, la mairie de Lagny-sur-Marne en Seine-et-Marne, propriétaire de l’église, a lancé une collecte de fonds auprès des habitants avant le début des travaux dans l’abbatiale datant du 12ème siècle. «On voit qu’elle se dégrade. Je vais donner«, nous dit une habitante. «Il faut préserver le patrimoine, il y a de nombreux tableaux à l’intérieur«, enchaîne un autre. La mairie a lancé une cagnotte en ligne pour permettre aux habitants de faire des dons défiscalisés.
«Nous devons travailler avec des artisans et des sociétés reconnus par l’État. Qui sont forcément plus chers car ils ont les bons labels. Une commune n’a pas les moyens surtout que l’État commence à réduire nos subventions«, indique Pierre Tebaldini, adjoint au maire Horizons de Lagny-sur-Marne.
Lorsqu’il pleut, l’eau s’invite à l’intérieur de l’abbatiale par le toit. Cette eau crée des moisissures au plafond de l’église, «Une décoration supplémentaire«, ironise le Père Maximilien, prêtre de la paroisse du Val-de-Lagny, en constatant celles présentes vers la statue de Saint-Joseph. «C’est un des lieux qui est le plus urgent dans la restauration de l’église.»
Des tableaux et des reliquaires ont été bâchés pour éviter de plus amples détériorations. Des rubalises ont été installées pour éviter les gouttes. La première phase des travaux doit débuter en 2026. En France, 90 % des églises sont la propriété des communes.
Avec Florie Castaingts. Pierre Tebaldini, adjoint au maire Horizons de Lagny-sur-Marne, a déclaré : «Une commune n’a pas les moyens surtout que l’État commence à réduire nos subventions.»
Lorsqu’il pleut, l’eau s’invite à l’intérieur de l’abbatiale par le toit. Cette eau crée des moisissures au plafond de l’église. «Une décoration supplémentaire», ironise le Père Maximilien, prêtre de la paroisse du Val-de-Lagny, en constatant celles présentes vers la statue de Saint-Joseph. «C’est un des lieux qui est le plus urgent dans la restauration de l’église.»
Des tableaux et des reliquaires ont été bâchés pour éviter de plus amples détériorations. Des rubalises ont été installées pour éviter les gouttes. La première phase des travaux doit débuter en 2026. En France, 90 % des églises sont la propriété des communes.
Avec Florie Castaingts.
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