Après des bombardements mardi, l’armée israélienne a annoncé avoir frappé un dépôt d’armes à Beit Lahia, dans le nord de l’enclave palestinienne, le mercredi 29 octobre. Selon un communiqué militaire, cette action visait à prévenir une «attaque terroriste». La défense civile, sous l’autorité du Hamas, a confirmé la mort d’une personne suite à cette frappe. Ultérieurement dans la soirée, l’hôpital al-Chifa a rapporté à l’AFP un deuxième décès.
Israël a pris la décision d’interdire l’accès du CICR à des prisonniers palestiniens. Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a justifié cette mesure en invoquant la loi sur la détention des combattants illégaux, affirmant que de telles visites représentaient une menace pour la sécurité nationale. Le Hamas a condamné cette action, dénonçant une série de violations subies par les prisonniers, telles que la torture, la privation de nourriture, la négligence médicale et la retenue d’informations.
En réaction à la reprise des hostilités dans la bande de Gaza, Paris a exprimé sa préoccupation quant à la menace pesant sur le cessez-le-feu et a appelé à son rétablissement rapide. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a souligné la nécessité de s’aligner sur les efforts américains pour stabiliser la région.
L’armée israélienne a déclaré qu’elle reprenait le cessez-le-feu après avoir mené une série de frappes contre plusieurs cibles. Ces frappes ont visé 30 chefs de mouvements armés actifs dans le territoire palestinien.
Des sources palestiniennes ont rapporté qu’au moins 101 personnes, dont 35 enfants, plusieurs femmes et personnes âgées, ont été tuées lors des récentes frappes aériennes israéliennes en moins de 12 heures. Ces informations ont été confirmées par la défense civile et plusieurs hôpitaux de la région.
Ces événements ont exacerbé les tensions dans la région et suscité des inquiétudes internationales quant à la situation humanitaire à Gaza. Il est crucial pour toutes les parties impliquées de trouver des solutions pacifiques pour mettre fin à la violence et protéger la vie des civils innocents touchés par le conflit. Dans un communiqué, le bureau a expliqué que cette mesure était prise en vertu de la loi sur la détention des combattants illégaux, affirmant que de telles visites mettraient en danger la sécurité nationale. Le Hamas a condamné cette décision, la qualifiant de violation supplémentaire parmi d’autres abus subis par les prisonniers, tels que la torture, la privation de nourriture, la négligence médicale et la rétention d’informations.
Paris réagit à la reprise des hostilités dans la bande de Gaza. Le cessez-le-feu est menacé et doit être rétabli au plus vite, a déclaré mercredi Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères, lors du Conseil des ministres, selon la porte-parole du gouvernement. Notre priorité est de nous insérer dans le dispositif mis en place par les Américains pour stabiliser l’enclave, a ajouté Maud Bregeon lors du compte-rendu devant la presse.
Israël affirme reprendre le cessez-le-feu. L’armée israélienne a annoncé un retour au cessez-le-feu après avoir mené une série de frappes contre des dizaines de cibles. L’armée a déclaré avoir ciblé 30 chefs de mouvements armés opérant dans le territoire palestinien au cours de ces frappes.
Selon des sources palestiniennes, une centaine de personnes ont été tuées. Au moins 101 morts ont été transportés dans les hôpitaux, dont 35 enfants, plusieurs femmes et personnes âgées, à la suite des frappes aériennes israéliennes en moins de 12 heures, ont affirmé la défense civile et plusieurs hôpitaux. Des sources de l’AFP dans cinq hôpitaux du territoire palestinien, qui ont reçu les victimes, ont confirmé le chiffre.
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