Le tribunal de Marseille a condamné un CRS à neuf mois de prison ferme sous bracelet électronique et à neuf mois avec sursis pour trafic de stupéfiants et violences conjugales. À Marseille, un CRS a été condamné pour trafic de stupéfiants et violences conjugales.

Il est condamné à neuf mois de prison ferme sous bracelet électronique et à neuf mois avec sursis.

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Les compagnies républicaines de sécurité (CRS) interviennent notamment dans le maintien et le rétablissement de l'ordre. Un CRS de Marseille a été condamné à neuf mois de prison ferme sous bracelet électronique et neuf mois avec sursis pour trafic de stupéfiants et violences conjugales. En burn-out, le policier de 30 ans avait commencé à consommer et à vendre diverses drogues. Sa double vie a été mise en lumière lorsqu'il a montré sa carte de CRS à des policiers qui le contrôlaient pour des violences conjugales, révélant ainsi des messages de clients demandant des substances illicites.


Dans le box du tribunal, le prévenu se défend en affirmant qu’il rendait service à des amis en partageant des drogues lors de soirées. Le tribunal lui reproche son comportement et souligne le contraste entre son métier de policier et ses activités illégales. En arrêt maladie pour burn-out, le jeune homme rêve de devenir influenceur et nie avoir frappé sa compagne. Cependant, le tribunal le condamne non seulement à la prison et au bracelet électronique, mais aussi à une interdiction d’exercer le métier de policier pendant cinq ans.


Cette affaire met en lumière les conséquences dévastatrices du burn-out chez les forces de l’ordre et souligne l’importance de la prise en charge de la santé mentale des agents de sécurité.
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