Selon le chef de la diplomatie ukrainienne, la frappe a endommagé «a endommagé un site énergétique» dans cette ville méridoniale.
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Une frappe russe sur la ville méridionale de Kherson, mardi 1er avril, a «endommagé un site énergétique» et privé d’électricité 45 000 de ses habitants, a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga. Ce dernier accuse la Russie de «violer» à nouveau l’accord sur une trêve partielle, annoncé la semaine passée par Washington.
Plus tôt dans la matinée, la Russie a revendiqué la prise d’un nouveau village dans la région de Donetsk, située dans l’est de l’Ukraine, où son armée garde l’avantage face aux troupes ukrainiennes. Le ministère de la Défense russe a affirmé dans un communiqué s’être emparé de Rozlyv, qui comptait environ 1 000 habitants avant le conflit. Le village se trouve à environ dix kilomètres de la frontière avec la région de Dnipropetrovsk, dans le centre de l’Ukraine.
Après plusieurs jours de négociations séparées avec les Ukrainiens et les Russes, les Etats-Unis ont diffusé fin mars deux communiqués distincts évoquant un moratoire sur les bombardements d’installations énergétiques des deux camps. Please rewrite the following sentence: «She decided to go for a walk in the park to clear her mind.»
«Deciding to clear her mind, she took a walk in the park.» Please provide me with an alternative version. Please rewrite the sentence for me.
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Le crash de l’hélicoptère dans le fleuve de l’Hudson à New York a coûté la vie à six personnes, dont trois mineurs, a déclaré le maire de la ville Eric Adams lors d’une conférence de presse. Les images des chaînes d’informations locales ont montré la chute brutale de l’appareil dans le fleuve qui sépare New York du New Jersey voisin, au niveau de Manhattan. Malheureusement, un accident d’hélicoptère s’est produit dans le fleuve de l’Hudson à New York, causant la mort de six personnes, dont trois mineurs. «Et malheureusement, toutes les six victimes sont décédées», a-t-il ajouté. Les images des chaînes d’informations locales ont montré la chute brutale de l’appareil dans le fleuve, qui sépare New York du New Jersey voisin, au niveau de Manhattan. Selon un témoin cité par NBC4, l’appareil a perdu son hélice avant de tomber. Le fleuve Hudson, qui est un canal très fréquenté dans les eaux et dans les airs, sépare New York de l’État du New Jersey.

Taux plancher, rebond des Bourses, exception chinoise… Quatre questions sur la volte-face de Donald Trump sur les droits de douane Influencé par la débandade des marchés financiers, le président américain a suspendu mercredi les surtaxes pour les pays visés, tout en les augmentant encore pour la Chine. Conséquence de ce revirement, l’UE a levé sa riposte pour une durée équivalente de 90 jours. Donald Trump souffle plus que jamais le chaud et le froid sur l’économie mondiale. Quelques heures après l’entrée en vigueur de la hausse généralisée des droits de douane américains (de 10 à 104% selon les pays), le président américain a fait marche arrière dans une volte-face spectaculaire : il a annoncé, mercredi 9 avril, la suspension pour 90 jours des surtaxes pour les pays visés, tout en les augmentant de 104 à 125% pour la Chine. Un taux plancher unique de 10% sur les produits étrangers importés aux Etats-Unis demeure. Ce qui était «une stratégie tout du long» du président américain, selon le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a eu un effet immédiat sur les Bourses. Donald Trump a reconnu qu’il avait été influencé par les marchés financiers, dans le rouge depuis plusieurs jours et le lancement de la guerre commerciale américaine. Franceinfo fait le point sur cette volte-face spectaculaire. 1. Qu’a annoncé Donald Trump ? Le président des Etats-Unis a annoncé la suspension pour 90 jours des surtaxes douanières pour les pays visés, dont l’UE et la France, qui devaient être taxés à hauteur de 20%. Seul un taux plancher général de 10% sur les produits étrangers importés aux Etats-Unis subsiste. Donald Trump a en revanche (encore) durci le ton avec la Chine, en augmentant les droits de douane de 104 à 125% pour la deuxième puissance mondiale en raison «du manque de respect de la Chine à l’égard des marchés mondiaux». Pour les autres pays, il a justifié cet assouplissement par le fait que «plus de 75 pays» se sont manifestés auprès de son gouvernement pour «négocier». Ce revirement spectaculaire, avec effet immédiat sur les Bourses mondiales, intervient le jour même de l’entrée en vigueur des droits de douane annoncés le 2 avril par Donald Trump lors de son «Liberation Day». Ce jour-là, le président américain avait lancé sa guerre commerciale en fixant un droit de douane plancher de 10%, entré en vigueur samedi 5 avril, et des surtaxes ciblées pour les pays jugés particulièrement hostiles par la Maison Blanche en matière commerciale. 2. Pourquoi a-t-il fait volte-face ? A écouter sa garde rapprochée – ministre, conseiller, porte-parole de la Maison Blanche –, le revirement de Donald Trump fait partie de sa méthode. «C’était sa stratégie depuis le début et on pourrait même dire qu’il a poussé la Chine à la faute», a fièrement déclaré à des journalistes le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, après l’annonce du président américain. Ou carrément du génie, selon Stephen Miller, chef adjoint de l’administration présidentielle, qui a parlé sur X du «plus grand cours magistral de stratégie économique». «Beaucoup parmi vous dans les médias ont clairement manqué L’Art de la négociation [un livre coécrit par Donald Trump en 1987]. Vous avez échoué à voir ce que le président Trump est en train de faire. Vous avez essayé de dire que le reste du monde se rapprocherait de la Chine, alors qu’en fait, on voit l’effet inverse», a tenté d’expliquer Karoline Leavitt, porte-parole de la Maison Blanche. En réalité, Donald Trump a reconnu qu’il avait été influencé par la panique sur les places boursières, qui ont plongé depuis une semaine. Le président américain a admis que ses surtaxes douanières «effrayaient un peu» et qu’il fallait être «flexible». La hausse des taux sur le marché obligataire, sur lequel les Etats-Unis empruntent pour rembourser leur dette abyssale de 36 000 milliards de dollars (32 700 milliards d’euros, dix fois plus que la France), a aussi influencé Donald Trump, comme il l’a reconnu : «Je surveillais le marché des obligations. C’est un marché très compliqué». Le cours du dollar, qui s’est stabilisé mercredi après avoir chuté depuis une semaine, représentait aussi une autre menace. Le Washington Post rapporte également que des élus américains et des dirigeants mondiaux de premier plan ont aussi appelé Donald Trump pour exprimer leurs inquiétudes face aux droits de douane et leurs conséquences sur l’économie américaine et mondiale. 3. Comment les Bourses et les autres pays ont-ils réagi ? La Bourse de New York, qui avait ouvert timidement mercredi matin, a bondi après la volte-face de la Maison Blanche : à Wall Street, le Dow Jones s’est envolé de 7,87%, l’indice Nasdaq de 12,16% – sa plus forte hausse en séance depuis 2008, selon Bloomberg – et l’indice élargi S&P 500 de 9,52%. «Les marchés étaient impatients de repartir à la hausse à la moindre bonne nouvelle», a commenté auprès de l’AFP Art Hogan, analyste pour la société B. Riley Wealth Management. Quelques heures avant d’annoncer une pause sur les droits de douane, Donald Trump avait appelé, sur son réseau social Truth Social, les Américains à «acheter» des actions en Bourse, ce qui s’apparente pour certains à une manipulation des marchés. Les Bourses asiatiques et océaniques ont aussi fortement rebondi : +9,12% pour l’indice Nikkei à Tokyo à la clôture jeudi, +6,6% pour l’indice Kospi à Séoul, +4,5% pour la Bourse de Sydney. Les Bourses européennes sont aussi reparties en flèche : +6,27% à Paris, +7,81% à Francfort, +5,91% à Londres à l’ouverture. En revanche, sans surprise, les annonces de Donald Trump n’ont pas plu à la Chine, qui reste pour l’heure l’unique pays (très durement) visé. He Yongqian, porte-parole du ministère du Commerce, a averti les Etats-Unis que la décision de son président «porte gravement atteinte aux droits et aux intérêts légitimes des entreprises chinoises et affecte gravement la stabilité de l’ordre économique mondial». Mais Pékin a également déclaré jeudi que «la porte est ouverte pour des négociations», tout en ajoutant que «ce dialogue doit être mené sur un pied d’égalité et basé sur le respect mutuel». La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a de son côté salué une «étape importante» vers la stabilisation économique. «Les droits de douane sont des taxes qui ne nuisent qu’aux entreprises et aux consommateurs. C’est pourquoi j’ai toujours plaidé en faveur d’un accord tarifaire zéro pour zéro entre l’Union européenne et les Etats-Unis», a-t-elle ajouté. Quatre questions sur le revirement de Donald Trump sur les droits de douane

Les consommateurs américains pourraient bientôt ressentir les effets des droits de douane plus élevés sur les voitures italiennes, les vins français et les bières allemandes. Les prix de ces produits européens pourraient augmenter, impactant directement le portefeuille des Américains. La journaliste de CNN met en lumière les conséquences concrètes de cette augmentation des taxes douanières imposées par Donald Trump, en montrant comment des produits de luxe comme les Ferrari, le vin rouge et la bière Heineken pourraient devenir inaccessibles pour de nombreux consommateurs aux États-Unis. Cette mise en scène visuelle met en évidence les répercussions économiques directes que les décisions politiques peuvent avoir sur la vie quotidienne des citoyens, soulignant l’importance des politiques commerciales dans le quotidien des consommateurs. La Ferrari et le vin rouge, ainsi que la bière Heineken, sont désormais plus chers pour les consommateurs américains en raison des droits de douane imposés par Trump. Melissa Bell de CNN souligne que ces tarifs touchent non seulement les produits de luxe, mais aussi des biens de consommation courante comme la bière. Les conséquences de ces mesures commerciales seront ressenties par tous les consommateurs américains, y compris ceux qui ont besoin de médicaments, car les chaînes d’approvisionnement ont été perturbées.

Les Etats-Unis ne cherchent pas la guerre avec la Chine, mais doivent contrer ses menaces, assure le secrétaire à la Défense américain

Ce désaccord public illustre les tensions au sein du gouvernement Trump, qui ne sont pas sans conséquences pour Elon Musk. Les frictions avec les conseillers de Trump pourraient compromettre sa position au sein de l’administration américaine. Les résultats en baisse de Tesla Les difficultés s’accumulent également du côté de Tesla, la société d’Elon Musk. Les ventes de Tesla ont chuté de 13% au premier trimestre, ce qui a eu un impact sur la fortune du milliardaire. Ces mauvais résultats financiers augmentent la pression sur Elon Musk et alimentent les spéculations sur son avenir au sein de la Maison Blanche. Face à ces différents problèmes, Elon Musk se retrouve dans une position délicate, et son avenir politique et financier semble incertain. Frictions au sein du gouvernement Trump, Elon Musk en difficulté

Le gouvernement français cherche la bonne mesure pour aider les entreprises face aux droits de douane américains, suite à la hausse de 20% décrétée par Donald Trump pour toutes les importations en provenance de l’Union Européenne. L’objectif est d’amortir le choc causé par cette augmentation. L’Union Européenne doit présenter sa riposte dans les prochains jours, tandis qu’Emmanuel Macron appelle Donald Trump à revoir sa décision. Cependant, la situation actuelle est floue et rappelle les débuts de la pandémie de Covid-19, avec des incertitudes quant aux conséquences sur l’emploi et le PIB en France. Face aux droits de douane américains, le gouvernement français cherche la bonne mesure pour aider les entreprises. En France, environ quatre millions d’emplois dépendent des exportations, mais impossible de chiffrer l’ampleur des destructions, assure le ministère de l’Économie. Cette fois, «il n’y aura pas de quoi qu’il en coûte», prévient le gouvernement en référence à la politique d’aides menée au moment de la pandémie de Covid-19. Il est aussi trop tôt pour parler d’aides ciblées, plusieurs pistes sont envisagées avant cela : trouver en urgence de nouveaux débouchés, de nouveaux partenaires commerciaux, et pourquoi pas changer de pied sur le Mercosur. Ce traité de libre-échange avec plusieurs pays d’Amérique du Sud auquel la France est farouchement opposée. Le scénario idéal pour Emmanuel Macron : pousser Donald Trump à faire marche arrière, car mettre en place une taxe carbone aux frontières plus mordante contre les entreprises polluantes installerait le rapport de force.

Face à cette réplique chinoise, la Maison Blanche a donc décidé de passer à l’action en augmentant les droits de douane à 104% dès mercredi. Cette escalade dans la guerre commerciale entre les deux pays risque de peser lourdement sur les échanges internationaux et de fragiliser l’économie mondiale. Donald Trump, qui a fait de la lutte contre le déficit commercial avec la Chine l’une de ses priorités, semble déterminé à maintenir la pression sur Pékin. Reste à savoir quelles seront les prochaines étapes de ce bras de fer commercial aux conséquences potentiellement dévastatrices pour l’économie mondiale. Les droits de douane imposés par Donald Trump à la Chine vont augmenter à 104% mercredi, a annoncé la Maison Blanche. La Chine refuse «la pression, les menaces et le chantage» américains, a déclaré un représentant du ministère des Affaires étrangères, ajoutant que «Si les États-Unis veulent vraiment dialoguer, alors ils devraient adopter une attitude basée sur l’égalité, le respect et la réciprocité». La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a appelé à «éviter l’escalade» lors d’un entretien téléphonique avec le Premier ministre chinois Li Qiang.

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