Après les nouvelles frappes israéliennes, une habitante se demande : «Où pouvons-nous nous abriter ?». Les bombardements intensifs de l’armée israélienne sur la bande de Gaza ont causé la mort d’au moins 300 personnes selon le ministère de la Santé du Hamas. Les habitants redoutent une escalade de violences meurtrières. Où peut-on trouver refuge ? Une habitante témoigne après les nouvelles frappes israéliennes.

L’armée israélienne a intensément bombardé la bande de Gaza dans la nuit de lundi à mardi, faisant au moins 300 morts selon le ministère de la Santé du Hamas. Les habitants craignent une nouvelle flambée de violences meurtrières.

Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas affirme que la majorité des victimes des bombardements israéliens sont des enfants et des femmes. Selon un communiqué du bureau de Benjamin Nétanyahou, l’attaque a été planifiée en réponse au refus du Hamas de libérer les 59 derniers otages à Gaza. Après presque deux mois de trêve, la guerre a repris, avec la crainte pour les habitants de nouveaux déplacements forcés. L’armée israélienne a largué des tracts demandant aux habitants de Gaza d’évacuer certaines zones.

Teima, une habitante du nord de Gaza, témoigne des frappes et des tirs de chars directs qu’elle subit, sans savoir où aller pour se protéger. La crainte d’une nouvelle opération terrestre est également présente, planifiée par le nouveau chef d’état-major israélien. Le Hamas parle d’un «coup d’État» contre l’accord de cessez-le-feu, tandis qu’Israël affirme qu’elle continuera de combattre tant que tous les otages ne seront pas libérés.

Cette attaque survient le jour où Benjamin Nétanyahou devait comparaître devant le tribunal pour des affaires de corruption, annulant ainsi l’audience. Des manifestations massives prévues à Jérusalem et Tel Aviv risquent d’être annulées pour des raisons de sécurité. Les habitants redoutent une nouvelle explosion de violences meurtrières. Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas a confirmé que la majorité des victimes des récents bombardements israéliens à Gaza sont des enfants et des femmes. Selon eux, au moins 300 personnes ont perdu la vie lors de ces attaques.

Le bureau de Benjamin Nétanyahou a déclaré que l’attaque avait été planifiée en réponse au refus du Hamas de libérer les 59 derniers otages détenus à Gaza. Après une trêve de deux mois, la guerre a repris, suscitant la peur d’un nouveau déplacement forcé pour les habitants de la région. L’armée israélienne a largué des tracts demandant aux habitants de certaines zones de Gaza d’évacuer.

Les habitants de Gaza, comme Samira de Khan Younès et Teima du nord de Gaza, ont décrit la terreur des bombardements et des tirs de chars. Ils se retrouvent sans électricité ni accès à Internet, ne sachant où aller pour se mettre à l’abri. La crainte d’une opération terrestre imminente ajoute à leur angoisse, alors que l’État hébreu intensifie ses attaques contre l’enclave.

Le Hamas a qualifié l’attaque israélienne de «coup d’État» contre l’accord de cessez-le-feu, accusant Israël de mettre en danger les otages. De son côté, Israël a affirmé qu’elle continuerait de combattre jusqu’à ce que tous les otages soient libérés. Les familles des otages en Israël ont appelé le Premier ministre à mettre fin aux frappes meurtrières.

L’attaque survient alors que Benjamin Nétanyahou devait comparaître devant le tribunal pour corruption, une audience qui a été annulée. Une crise politique a éclaté en Israël après le licenciement du chef des services secrets intérieurs par le Premier ministre. Les manifestations prévues en signe de soutien à Nétanyahou pourraient être annulées en raison de la situation sécuritaire.

Ces événements récents soulignent la fragilité de la situation au Moyen-Orient, avec des conséquences humanitaires dévastatrices pour les civils pris au milieu des affrontements entre Israël et le Hamas. Les appels à la paix et à la protection des droits de l’homme résonnent à travers le monde, alors que la violence continue de ravager la région. Les habitants redoutent une nouvelle augmentation de la violence meurtrière. Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas affirme que la majorité des victimes sont des enfants et des femmes, tandis que selon un communiqué du bureau de Benjamin Nétanyahou, l’attaque a été planifiée en réponse au refus du Hamas de libérer les 59 derniers otages à Gaza.

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