L’enseignante, détenue arbitrairement par l’Iran depuis plus de trois ans et demi, a pu échanger avec sa famille samedi 13 septembre.
Le flou continue d’entourer la détention de Cécile Kohler et son compagnon Jacques Paris.
Détenue depuis plus de trois ans et demi par le régime iranien, qui l’accuse d’espionnage, la professeure originaire de Soultz (Haut-Rhin) a pu échanger avec ses proches samedi 13 septembre 2025.
Un bref échange qui a mis fin à plus de deux mois de silence, la dernière visite consulaire remontant au 1er juillet.
À la suite des bombardements israéliens sur la prison d’Evin, l’enseignante a été déplacée dans un autre lieu, toujours inconnu. Si cette preuve de vie a pu soulager dans un premier temps ses proches, sa situation continue de susciter l’inquiétude de son comité de soutien.
Sa situation est dramatique, écrit le comité «Liberté pour Cécile» dans un communiqué. Ses droits fondamentaux sont toujours bafoués, elle est privée de toute ressource matérielle, séparée de Jacques, et maintenue dans une détresse totale par les privations et la torture psychologique constante qu’elle subit.
Les soutiens de Cécile Kohler, soutenus par la France, demandent toujours sa libération, mais aussi la révélation précise du lieu de détention et la possibilité pour eux, le consulat et les avocats indépendants, d’avoir des contacts réguliers avec elle.
L’enseignante est décrite comme étant à bout de forces par ses proches. Un vent d’espoir avait malgré tout soufflé, jeudi 11 septembre, à la suite des déclarations du ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi.
Je peux maintenant dire que nous sommes arrivés au point où [l’accord sur] l’échange des prisonniers français en Iran approche maintenant de sa phase finale.
Téhéran cherche à rapatrier Mahdieh Esfandiari, une Iranienne arrêtée en France en février pour avoir fait la promotion du terrorisme sur les réseaux sociaux. Mais, pour l’heure, rien ne confirme que Cécile Kohler et Jacques Paris font partie de ces négociations d’échange.
Outre l’enseignante et Jacques Paris, le régime iranien détient également Lennart Monterlos, un Franco-Allemand de 19 ans qui effectuait un voyage à vélo entre l’Europe et l’Asie et qui a été arrêté dans le pays en juin.
Les proches de Cécile Kohler dénoncent une «situation dramatique» et une «torture psychologique» alors qu’un échange de prisonniers a été suggéré par un ministre iranien le jeudi. La détention de Cécile Kohler et de son compagnon Jacques Paris par le régime iranien continue de susciter des inquiétudes. Cécile, une professeure originaire de Soultz (Haut-Rhin), est détenue depuis plus de trois ans et demi, accusée d’espionnage.
Après les bombardements israéliens sur la prison d’Evin, Cécile a été déplacée vers un lieu inconnu. Bien que sa preuve de vie ait soulagé ses proches, son comité de soutien reste alarmé par sa situation. Ses droits fondamentaux sont bafoués, elle est privée de ressources matérielles, séparée de Jacques, et soumise à une torture psychologique constante.
Les soutiens de Cécile demandent sa libération, la révélation du lieu de détention, et la possibilité d’avoir des contacts réguliers avec elle. Malgré l’espoir suscité par les déclarations du ministre iranien des Affaires étrangères sur un possible échange de prisonniers, rien ne confirme la participation de Cécile et Jacques à ces négociations.
Outre Cécile et Jacques, le régime iranien détient également Lennart Monterlos, un Franco-Allemand de 19 ans arrêté en Iran en juin. Téhéran cherche à rapatrier une Iranienne arrêtée en France pour promotion du terrorisme, mais le sort de Cécile et Jacques reste incertain dans ces discussions.
La situation de Cécile est décrite comme critique, et malgré les efforts de la France pour sa libération, elle reste une otage du régime iranien. Les proches de Cécile continuent de faire pression pour sa libération et pour des conditions de détention plus humaines. La communauté internationale suit de près cette affaire et espère une résolution rapide pour Cécile, Jacques et les autres détenus.
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