Cela donne des frissons, on ne peut pas parer de tels actes. Cela donne des frissons, mais on ne peut pas parer de tels actes. Cela glace le sang, on ne peut pas parer de tels actes. Il boit un café, l’air calme, en attendant le début de l’audience prévue à 9h. Cela donne des frissons, on ne peut pas parer de tels actes.

The second week of the trial of anesthesiologist Frédéric Péchier begins on Monday, September 15. He is suspected of poisoning 30 people, 12 of whom died, between 2008 and 2017 in two private clinics in Besançon (Doubs). Our journalist Sarah Rebouh brings you the highlights of the court proceedings at the Doubs Assize Court.

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10:46 AM: The hearing is suspended for 15 minutes.

10:40 AM: Attorney Schwerdorffer asks a question that was already raised on Friday, regarding the atmosphere among the anesthesiologists at the private clinic Saint-Vincent. «The practitioners have very strong personalities. So naturally, discussions are not always pleasant, but they existed. I didn’t talk about conflicts because there were no conflicts that could have had such serious consequences. There was a normal atmosphere in the establishment. As for the atmosphere among anesthesiologists, there was a meeting with an interim director in 2014-2015, during the winter. There was a rather heated meeting of anesthesiologists. That’s the main thing I remember. Nothing extraordinary when we started this investigation,» details Valérie Fakhoury, director of Saint-Vincent between 2008 and 2017.

Valérie Fakhoury and her lawyer Laurent de Caunes, arriving at the court on Monday, September 15, 2025.

© Antoine Laroche – France Télévisions

In conclusion, the accused’s lawyer wishes to argue that «Frédéric Péchier, upon finding pierced bags in his operating room, was perhaps also justified in thinking that he was a victim of malicious intent.» And that this does not in any way indicate that he is the poisoner or that he was trying to divert suspicion that was on him at the time.

10:26 AM: The defense attorney continues and recalls the statements made by the director of the Saint-Vincent clinic during her interrogation by investigators. «The answer is not what you want to attribute to me. It is very clear and I stand by it,» says Mrs. Fakhoury, without flinching. «Everyone forms their own opinion of what they want,» adds Randall Schwerdorffer. He continues to dissect her remarks, especially regarding the substances incriminated in the Serious Adverse Events (EIG) like potassium. «I remind you that we did not find potassium at Mr. Péchier’s,» reminds Attorney Schwerdorffer. La directrice précédente reste calme, les bras croisés derrière la barre, mais on peut percevoir un certain agacement par rapport aux questions de l’avocat de Frédéric Péchier.

À 10h15, Me Schwerdorffer demande à afficher le tableau des événements indésirables graves survenus entre janvier 2017 et 2022. L’avocat souligne le nombre élevé de décès en 2018 et 2019, alors que Péchier ne travaillait plus. L’ancienne directrice répond en expliquant que ces événements ne sont pas inexpliqués et accuse l’avocat de jouer sur les mots.

À 9h58, Me Giuranna interroge la directrice sur les risques à la clinique. Me Schwerdorffer souligne qu’un soignant pourrait encore empoisonner malgré les mesures prises. La directrice admet que les actes pourraient être indétectables.

À 9h45, un avocat des parties civiles interroge la directrice sur la démonstration de la pollution d’une poche de soluté dans les médias. Il fait référence à un reportage montrant la simplicité de cet acte. La directrice explique que «Aucun n’a été de la nature de ceux que nous étudions aujourd’hui», ajoutant que cette affaire a été très difficile à vivre pour elle et sa famille. L’avocate générale interroge ensuite l’ancienne directrice sur l’ambiance dans la clinique suite à la mise en examen du docteur Péchier. La directrice raconte les réactions vives des personnes au bloc opératoire et la scission entre les partisans et les opposants au médecin. Elle se souvient également d’une conversation étrange avec le docteur Péchier où elle a senti qu’il ne disait pas tout. L’audience débute ensuite, avec Frédéric Péchier, accusé d’être un empoisonneur en série, installé à sa table. Il prend tranquillement un café en attendant le début de l’audience prévue à 9h. The trial is scheduled to last 15 weeks, from September 8 to December 19, 2025.

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video duration: 00h02mn49s





Our journalist Sarah Rebouh helps you understand the stakes of the trial of former anesthetist Frédéric Péchier in less than 3 minutes.



©Sarah Rebouh / France Télévisions

  • January 11, 2017: a 36-year-old woman has an unexplained cardiac arrest at Saint-Vincent clinic in Besançon while undergoing surgery.
  • January 20, 2017: another unexplained cardiac arrest occurs at the same clinic. High doses of potassium or anesthetic, at lethal levels, are found in the anesthesia bags of the two patients.
  • March 6, 2017: Frédéric Péchier is taken into custody and charged with «premeditated poisoning» of seven patients, two of whom died between 2008 and 2017. He claims his innocence.
  • December 2017: the bodies of four individuals with suspicious deaths are exhumed for analysis. Such actions are rarely ordered by the justice system.
  • May 17, 2019: Dr. Péchier is charged with 17 new serious adverse events (SAEs). He maintains his innocence. He is banned from appearing in Doubs and can no longer practice medicine.
  • October 1, 2021: Frédéric Péchier attempts suicide by jumping from the first floor.
  • September 27, 2022: suspicions now involve 32 patients who may have been poisoned, including 13 fatal cases.
  • March 22, 2023: Frédéric Péchier is charged with 30 cases, including 12 fatalities.
  • August 5, 2024: the anesthetist is indicted to stand trial at the Doubs Assize Court for 30 poisonings, including 12 fatal cases.
  • September 8, 2025: the trial of Frédéric Péchier is set to begin at the Doubs Assize Court. It is expected to last 15 weeks.

France 3 Franche-Comté is committed to bringing you live coverage of the trial of Frédéric Péchier, as if you were there. From September 8 to December 19, 2025, follow the ongoing debates in the courtroom live on our website, thanks to our journalists Jeanne Casez, Antoine Comte, and Sarah Rebouh.

Suivez en direct les moments forts de l’audience devant la cour d’assises du Doubs avec notre journaliste Sarah Rebouh.

L’audience est suspendue pendant 15 minutes à 10h46.

À 10h40, Me Schwerdorffer pose une question à Valérie Fakhoury, directrice de la clinique privée Saint-Vincent, concernant l’ambiance entre les anesthésistes. Elle décrit une ambiance normale d’établissement, malgré des discussions parfois houleuses lors de réunions.

L’avocat de l’accusé souligne que Frédéric Péchier pourrait légitimement penser être victime de malveillance en trouvant des poches percées dans son bloc, sans pour autant être l’auteur des empoisonnements.

À 10h26, l’avocat de la défense interroge Valérie Fakhoury sur ses déclarations concernant les produits incriminés dans les événements indésirables graves, soulignant l’absence de potassium chez Péchier. L’ancienne directrice reste calme, les bras croisés derrière la barre, mais on peut percevoir une pointe d’agacement face aux questions de l’avocat de Frédéric Péchier.

À 10h15, Me Schwerdorffer demande à ce que le tableau des événements indésirables graves (EIG) survenus entre le 21 janvier 2017 et 2022 soit affiché dans la salle d’audience. La directrice précédente de la clinique a produit ce document, et non madame Fakhoury. Me Schwerdorffer souligne le nombre élevé de décès en 2018 et 2019 alors que le docteur Péchier n’était plus en poste, ce à quoi l’ancienne directrice répond en signalant que ces EIG ne sont pas inexpliqués.

À 9h58, Me Giuranna, avocat de plusieurs familles de victimes, pose ses questions avec force. L’avocat de l’accusé, Me Schwerdorffer, interroge ensuite l’ancienne directrice de la clinique. Elle rappelle qu’à l’époque des faits, elle dirigeait principalement le site bisontin de Saint-Vincent.

À 9h45, un avocat des parties civiles interroge madame Fakhoury sur la démonstration de la pollution d’une poche de soluté dans les médias. Il fait référence à un reportage montrant la simplicité de cet acte, suggérant qu’il aurait pu être réalisé par n’importe qui, même sans compétences médicales. La directrice explique qu’aucun des cas étudiés aujourd’hui n’a été de nature similaire, précisant que cette affaire a été très difficile à vivre pour elle et sa famille. L’avocate générale interroge l’ancienne directrice sur l’ambiance à la clinique Saint-Vincent suite à la mise en examen du docteur Péchier. La directrice raconte les réactions vives des membres du personnel et la scission entre les partisans et les opposants au docteur. Elle se souvient d’une conversation téléphonique étrange avec Péchier, où elle avait le sentiment qu’il ne disait pas tout. L’audience débute avec la directrice de la clinique Saint-Vincent, tandis que Péchier, accusé d’empoisonnement en série, est présent à sa table. Il attend calmement en buvant un café avant le début de l’audience prévue à 9h. Le procès du médecin anesthésiste Frédéric Péchier doit s’étendre sur une période de 15 semaines, du 8 septembre au 19 décembre 2025. Cette affaire a suscité de nombreux articles et reportages, notamment ceux concernant les événements survenus à la clinique Saint-Vincent à Besançon.

Le 11 janvier 2017, une femme de 36 ans a fait un arrêt cardiaque inexpliqué lors d’une opération à la clinique Saint-Vincent. Ce cas a été suivi le 20 janvier 2017 par un nouveau malaise cardiaque inexpliqué dans la même clinique. Des quantités importantes de substances potentiellement létales ont été retrouvées dans les poches d’anesthésie des patients.

Le 6 mars 2017, Frédéric Péchier a été placé en garde à vue et mis en examen pour «empoisonnements avec préméditation» sur sept patients, dont deux sont décédés entre 2008 et 2017. Malgré ces accusations, le médecin a toujours clamé son innocence.

En décembre 2017, les corps de quatre personnes décédées de manière suspecte ont été exhumés pour des analyses approfondies. Cette démarche rare montre l’importance de l’enquête menée dans cette affaire.

Le 17 mai 2019, le docteur Péchier a été mis en examen pour 17 nouveaux événements indésirables graves, mais il a maintenu son innocence. Par la suite, il a été interdit d’exercer dans le Doubs et a été écarté de son métier.

Le 1er octobre 2021, Frédéric Péchier a tenté de mettre fin à ses jours en se défenestrant du premier étage. Malgré cela, les soupçons sur son implication dans des empoisonnements ont continué à s’accumuler.

En septembre 2022, les enquêtes ont porté sur 32 patients potentiellement empoisonnés, dont 13 sont décédés. Le 22 mars 2023, le médecin anesthésiste a été mis en examen pour 30 cas, dont 12 mortels.

En août 2024, Frédéric Péchier a été renvoyé devant la cour d’assises du Doubs pour répondre de 30 empoisonnements, dont 12 mortels. Le procès tant attendu devrait débuter le 8 septembre 2025 et durer 15 semaines.

France 3 Franche-Comté s’est engagé à couvrir ce procès en direct, avec une équipe de journalistes dédiés à l’affaire. Du 8 septembre au 19 décembre 2025, les débats seront suivis en temps réel sur le site internet de France 3, grâce aux reportages de Jeanne Casez, Antoine Comte et Sarah Rebouh.

Cette affaire complexe et troublante continue de susciter l’intérêt du public et de la justice, et le procès à venir sera crucial pour faire la lumière sur les événements tragiques survenus à la clinique Saint-Vincent. Sarah Rebouh, notre journaliste, vous fait vivre en direct les moments forts de l’audience devant la cour d’assises du Doubs. La directrice précédente reste calme, les bras croisés derrière la barre, mais on peut percevoir une certaine irritation face aux questions de l’avocat de Frédéric Péchier.

À 10h15, Me Schwerdorffer demande à ce que le tableau des événements indésirables graves (EIG) survenus entre janvier 2017 et 2022 soit affiché dans la salle d’audience. Ce document n’a pas été produit par madame Fakhoury, mais par son successeur à la direction. L’avocat souligne le nombre de décès en 2018 et 2019 malgré le fait que Péchier ne travaillait plus à ce moment-là. L’ancienne directrice affirme que ces EIG ne sont pas inexpliqués et mentionne une surdéclaration des EIG qui n’étaient pas réellement graves au sein de l’ARS.

À 9h58, Me Giuranna interroge Valérie Fakhoury, soulignant les risques persistants malgré les mesures prises pour les limiter. L’avocat de l’accusé rappelle la facilité de commettre des actes similaires aujourd’hui sans être détecté.

À 9h45, un avocat des parties civiles interroge madame Fakhoury sur la démonstration de la pollution d’une poche de soluté dans les médias. Il fait référence à un reportage montrant la simplicité de cet acte, mettant en doute la complexité des actions médicales.

À 9h26, l’avocate générale questionne la directrice sur de nouveaux EIG suspects après la mise en examen de Péchier. Fakhoury mentionne une surdéclaration des EIG pour éviter tout préjudice aux patients.

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