C’est un objectif de longue date des républicains qui s’inscrit dans la volonté du gouvernement américain de tailler dans les dépenses publiques. Donald Trump a signé, jeudi 20 mars, un décret visant à «éliminer» le ministère de l’Education, un projet applaudi par la droite américaine, en particulier chrétienne, qui a fait des écoles un champ de bataille contre les idées progressistes. Quelques minutes avant de parapher le texte, le locataire de la Maison Blanche a annoncé lors d’une conférence de presse avoir licencié «la moitié» des «bureaucrates» employés au ministère de l’Education, comme l’avait déclaré l’institution la veille. Donald Trump a ajouté qu’il allait «prendre toutes les étapes légales pour dissoudre le ministère de l’Education aussi vite que possible». Le président américain, en s’attaquant à ce ministère qui joue un rôle limité dans l’éducation aux Etats-Unis, «vole au secours des enfants américains», avait déclaré sa porte-parole, Karoline Leavitt, un peu plus tôt sur Fox News. Donald Trump a signé un décret visant à «éliminer» le ministère de l’Education, selon le contexte.

C’est un objectif de longue date des républicains qui s’inscrit dans la volonté du gouvernement américain de tailler dans les dépenses publiques. Donald Trump a signé, jeudi 20 mars, un décret visant à démanteler le ministère de l’Education, un projet applaudi par la droite américaine, en particulier chrétienne, qui a fait des écoles un champ de bataille contre les idées progressistes.

Quelques minutes avant de parapher le texte, le locataire de la Maison Blanche a annoncé lors d’une conférence de presse avoir licencié «la moitié» des «bureaucrates» employés au ministère de l’Education, comme l’avait déclaré l’institution la veille. Donald Trump a ajouté qu’il allait «prendre toutes les étapes légales pour dissoudre le ministère de l’Education aussi vite que possible».

Le président américain, en s’attaquant à ce ministère qui joue un rôle limité dans l’éducation aux États-Unis, «vole au secours des enfants américains», avait déclaré sa porte-parole, Karoline Leavitt, un peu plus tôt sur Fox News.

Elle a confirmé que le décret exigerait de la ministre de l’Éducation, Linda McMahon, de «démanteler cette bureaucratie fédérale qui a coûté plus de 3 000 milliards de dollars [environ 2,8 milliards d’euros] aux contribuables américains depuis sa création en 1979» sans, selon elle, améliorer les performances scolaires.

Donald Trump «rend l’éducation au peuple», a encore dit Karoline Leavitt, pour qui le ministère «n’a jamais éduqué un seul enfant. Tout ce qu’il a fait, c’est voler l’argent des contribuables.» «Quelle belle journée pour supprimer le ministère de l’Éducation», s’est réjoui sur X la Heritage Foundation, un cercle de réflexion très conservateur.

Une suppression définitive doit être décidée par le Congrès, mais Donald Trump et son allié Elon Musk ont déjà démantelé d’autres structures fédérales sans attendre de feu vert parlementaire. Cette décision s’inscrit aussi dans la volonté du président républicain de réduire les dépenses publiques. L’impact de ce démantèlement annoncé n’est pas comparable avec ce qu’il serait dans un pays centralisé où l’éducation est gérée au niveau national, comme en France. Aux États-Unis, ce domaine relève déjà largement des autorités locales.

Toutefois, le rôle du ministère de l’Éducation américain n’est pas anecdotique. Les subventions fédérales jouent un rôle important pour les écoles situées dans des zones défavorisées sur le plan économique et social, ainsi que pour les élèves ayant des troubles de l’apprentissage. Plusieurs programmes clés doivent être épargnés, tels que ceux qui fournissent des bourses aux étudiants et des fonds aux écoles à faibles revenus à travers le pays, ont rapporté de nombreux médias.

Le ministère de l’Éducation ne peut pas être complètement démantelé sans l’adoption d’une loi nécessitant 60 votes au Sénat, où les républicains disposent actuellement de 53 sièges. Le chef des démocrates au Sénat américain, Chuck Schumer, a appelé les tribunaux à agir pour «mettre un terme au coup de force tyrannique de Donald Trump».

Qualifiant ce décret comme «l’une des mesures les plus destructrices et dévastatrices» jamais prises par le président, Chuck Schumer a assuré que «cette décision horrible de Donald Trump sera ressentie par les enseignants, les parents, les dirigeants d’école, et dans la qualité de l’éducation que nos enfants reçoivent».

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Cette décision, applaudie par la droite américaine qui a fait des écoles un champ de bataille contre les idées progressistes, s’inscrit dans la volonté du gouvernement américain de tailler dans les dépenses publiques.



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Le président américain Donald Trump signe un décret à la Maison-Blanche à Washington, DC, le 20 mars 2025. (MANDEL NGAN / AFP)

Le président américain Donald Trump signe un décret à la Maison-Blanche à Washington, DC, le 20 mars 2025. (MANDEL NGAN / AFP)

C’est un objectif de longue date des républicains qui s’inscrit dans la volonté du gouvernement américain de tailler dans les dépenses publiques. Donald Trump a signé, jeudi 20 mars, un décret visant à démanteler le ministère de l’Education, un projet applaudi par la droite américaine, en particulier chrétienne, qui a fait des écoles un champ de bataille contre les idées progressistes.

Quelques minutes avant de parapher le texte, le locataire de la Maison Blanche a annoncé lors d’une conférence de presse avoir licencié «la moitié» des «bureaucrates» employés au ministère de l’Education, comme l’avait déclaré l’institution la veille. Donald Trump a annoncé son intention de dissoudre le ministère de l’Education des États-Unis, affirmant qu’il prendrait toutes les mesures légales nécessaires pour le faire aussi rapidement que possible.

Selon sa porte-parole, Karoline Leavitt, le président américain considère cette décision comme une action en faveur des enfants américains. Elle a déclaré que le ministère de l’Education, créé en 1979 et ayant coûté plus de 3 000 milliards de dollars aux contribuables américains, n’a pas amélioré les performances scolaires et qu’il est temps de le démanteler.

Karoline Leavitt a souligné que le ministère de l’Education n’a jamais éduqué un seul enfant et qu’il a simplement détourné les fonds des contribuables. Elle a salué la décision de Donald Trump comme une victoire pour le peuple américain et a exprimé sa satisfaction quant à la suppression de ce ministère.

La Heritage Foundation, un groupe de réflexion conservateur, s’est également réjouie de cette annonce, soulignant qu’il s’agit d’une belle journée pour supprimer le ministère de l’Education. Cependant, la suppression définitive du ministère devra être approuvée par le Congrès, bien que Donald Trump et Elon Musk aient déjà démantelé d’autres structures fédérales sans attendre une autorisation parlementaire.

Cette décision s’inscrit dans la volonté du président républicain de réduire les dépenses publiques. Bien que le secteur de l’éducation aux États-Unis soit principalement géré par les autorités locales, le ministère de l’Education joue un rôle crucial en fournissant des subventions aux écoles défavorisées et aux élèves ayant des besoins spécifiques.

Malgré les critiques, notamment de Chuck Schumer, chef des démocrates au Sénat, qui qualifie cette décision de destructive et dévastatrice, Donald Trump reste déterminé à poursuivre son projet de suppression du ministère de l’Education. Il est clair que cette initiative aura un impact significatif sur le système éducatif américain, en particulier sur les enseignants, les parents et les élèves.

Il est important de noter que la suppression complète du ministère de l’Education nécessitera une loi approuvée par le Sénat, où les républicains détiennent la majorité. Chuck Schumer a appelé les tribunaux à intervenir pour mettre un terme à ce qu’il qualifie de coup de force tyrannique de Donald Trump.

En conclusion, la décision de Donald Trump de dissoudre le ministère de l’Education suscite des réactions diverses et soulève des questions sur l’avenir de l’éducation aux États-Unis. Il est clair que cette mesure aura des conséquences importantes et qu’elle continuera à susciter des débats passionnés dans les mois à venir.

C’est un objectif de longue date des républicains qui s’inscrit dans la volonté du gouvernement américain de tailler dans les dépenses publiques.

Donald Trump a signé, jeudi 20 mars, un décret visant à démanteler le ministère de l’Education, un projet applaudi par la droite américaine, en particulier chrétienne, qui a fait des écoles un champ de bataille contre les idées progressistes.

Quelques minutes avant de parapher le texte, le locataire de la Maison Blanche a annoncé lors d’une conférence de presse avoir licencié «la moitié» des «bureaucrates» employés au ministère de l’Education, comme l’avait déclaré l’institution la veille. Donald Trump a ajouté qu’il allait «prendre toutes les étapes légales pour dissoudre le ministère de l’Education aussi vite que possible».

Le président américain, en s’attaquant à ce ministère qui joue un rôle limité dans l’éducation aux Etats-Unis, «vole au secours des enfants américains», avait déclaré sa porte-parole, Karoline Leavitt, un peu plus tôt sur Fox News.

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