Ceux qui pratiquent le Airbnb illégal savent qu’ils seront attrapés. Ceux qui pratiquent le Airbnb illégal savent qu’ils seront attrapés.

As new rules regulate the rental of tourist furnished apartments, in response to the success of platforms like Airbnb, the City of Paris is pointing fingers at some property owners for their «circumvention strategies.» The city promises heavy fines.

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Fake primary residences, multiple listings for the same property, off-platform rentals… While a law passed last November provides stricter regulations for tourist furnished apartments, giving municipalities more control and sanction tools, some property owners are still trying to circumvent the law. «Those engaging in illegal Airbnb know full well that they will get caught, and are playing for time. They know what they’re doing by devising circumvention strategies,» says Barbara Gomes (PCF), a councilor at the City of Paris in charge of rental platforms.

She points out «the significant number of multi-landlords on platforms, with thousands of listings involved, often hiding illegal tourist furnished apartments and evasion strategies behind them«.

In response to certain tactics, the City has lowered the cap to 90 nights per year for primary residences. «The new regulations have also significantly increased fines. The system is designed to be as incentive as possible, so that the stick hits hard,» says Barbara Gomes. According to the councilor, the new rules have helped «fill many gaps in the system«, especially to «prove the usage of a property«.

«Owners can no longer hide behind unscrupulous concierge services, which made investigations difficult,» Barbara Gomes also mentions. These companies, which offer clients the management of reservations, cleaning, and all logistical aspects of rentals, are now subject to the same regulations as individuals.

How do the concierges react? Xiaoling Li, manager of «Bras Ouverts» in Paris, says she «sent an email to owners at the beginning of the year to explain the new regulations for tourist furnished apartments«. «Some called me back, I explain to them,» she recounts.

While the manager says her company «does not engage in strategies«, she advises her clients to «classify their property«. This helps «save significant amounts» with lower tourist taxes, allowing them to «offer a more competitive price for renting«. A certified organization gives a rating from one to five stars, following the same principle as hotels and campsites. This process allows for tax deductions.

As for the rest, she assures that she has never encountered «clients who do not follow the rules, such as renting all year round«. «When an owner does not comply with the regulations, they risk penalties. We are a small team, we carefully select the accommodations. We do not accept all the properties offered,» explains Xiaoling Li, whose company manages around twenty apartments, with «clients who often travel abroad«.

Contacted, the Airbnb platform also says it «encourages owners to classify their listings«, «as it represents a quality guarantee for many travelers«.

According to Barbara Gomes, «the tourist furnished rental market has more or less stabilized in Paris«, with around 65,000 active listings per year on platforms. «The situation is not as catastrophic as in some cities overwhelmed by overtourism like Barcelona, because we reacted early several years ago. If tourist furnished rentals take up all the space, residents are deprived of housing and the diversity of businesses disappears,» she states.

«We need to regulate the private rental market. Paris is a particularly dense city, and the housing crisis affects the capital, as well as the whole of Europe,» continues the councilor. For tourist furnished rentals, she hopes to eventually lower the cap from 90 to 60 nights per year for primary residences.

Barbara Gomes is especially looking forward to the digital platform for sharing short-term rental data, expected by 2026 at the latest as per a European regulation. «It will simplify controls. Chaque bien sera associé à son propriétaire, à sa classification en tant que résidence principale, et à la plateforme sur laquelle l’offre est publiée», a-t-elle décrit.

D’autre part, Airbnb affirme «soutenir le règlement européen» qui «permettra aux autorités locales d’avoir accès aux données nécessaires pour mettre en place des mesures locales proportionnées, tout en préservant les opportunités économiques offertes par cette activité». Barbara Gomes indique également que «les plateformes, qui sont aujourd’hui réticentes à transmettre des données, seront bientôt contraintes de le faire».

Concernant les stratégies de contournement des règles régissant la location des meublés touristiques, la Ville de Paris a mis en place des mesures strictes et promet des amendes sévères. La conseillère déléguée à la mairie de Paris souligne que la nouvelle réglementation a permis de combler certaines lacunes, notamment en ce qui concerne la preuve d’usage des biens.

Les conciergeries, qui facilitent la gestion des locations, sont désormais soumises aux mêmes règles que les particuliers. Certaines de ces entreprises ont déjà pris des mesures pour informer les propriétaires des nouvelles réglementations. Il est conseillé aux propriétaires de classer leur bien pour économiser sur les taxes de séjour et offrir des tarifs compétitifs.

La gérante d’une conciergerie à Paris affirme n’avoir jamais eu de clients en infraction avec les règles, et souligne l’importance de la sélection des biens. Airbnb encourage également la classification des annonces par les propriétaires, en tant que signe de qualité pour les voyageurs.

Selon Barbara Gomes, le marché des meublés touristiques à Paris s’est stabilisé autour de 65 000 annonces actives par an sur les plateformes, grâce à une réaction précoce de la ville il y a plusieurs années. Les amendes sont désormais plus lourdes et les contrôles plus stricts pour les meublés touristiques à Paris, suite à de nouvelles règles adoptées en novembre dernier. Cependant, malgré ces mesures, certains propriétaires continuent de contourner la loi en utilisant des stratégies illégales pour louer leurs biens sur des plateformes comme Airbnb.

Barbara Gomes, conseillère déléguée à la mairie de Paris, souligne que de nombreux propriétaires utilisent des combines telles que la publication de fausses résidences principales ou la location de gré à gré en dehors des plateformes pour contourner les règles. Elle met en avant le problème des multi-loueurs sur ces plateformes, qui dissimulent souvent des meublés touristiques illégaux.

Pour contrer ces pratiques, la Ville de Paris a réduit le plafonnement à 90 nuitées par an pour les résidences principales et a renforcé les amendes. Barbara Gomes affirme que ces mesures visent à dissuader les propriétaires de violer la réglementation et à combler les lacunes dans le système de contrôle. De plus, les conciergeries, qui aidaient parfois les propriétaires à contourner la loi, sont désormais assujetties aux mêmes règles que les particuliers.

Xiaoling Li, gérante de «Bras Ouverts» à Paris, indique avoir informé les propriétaires des nouvelles réglementations et les conseille sur la classification de leurs biens pour réduire les taxes et offrir des prix compétitifs. Bien que son agence ne pratique pas de stratégies illégales, elle souligne l’importance de respecter les règles pour éviter les sanctions.

En fin de compte, malgré les efforts des autorités pour réguler le marché de la location touristique à Paris, certains propriétaires continuent de chercher des moyens de contourner la loi. Les nouvelles règles et amendes plus sévères visent à dissuader ces pratiques et à assurer un marché locatif équitable pour les habitants de la ville. Nous sommes une petite équipe qui sélectionne soigneusement les logements. Nous ne prenons pas tous les biens proposés», explique Xiaoling Li, dont l’entreprise gère une vingtaine d’appartements pour des clients fréquemment en déplacement à l’étranger.

Contactée, la plateforme Airbnb encourage également la classification des annonces par les propriétaires, car cela représente un gage de qualité pour de nombreux voyageurs.

Selon Barbara Gomes, le marché locatif des meublés touristiques s’est stabilisé à Paris, avec environ 65 000 annonces actives par an sur les plateformes. Elle souligne l’importance d’encadrer le marché locatif privé pour éviter une crise du logement et la disparition de la diversité des commerces.

Barbara Gomes attend avec impatience la mise en place d’une plateforme numérique de partage des données liées à la location courte durée, prévue au plus tard pour 2026 par un règlement européen. De son côté, Airbnb soutient ce règlement pour permettre aux autorités locales d’avoir accès aux données nécessaires tout en préservant les opportunités économiques offertes par cette activité. Please rewrite this sentence.

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