La disparition d’Agathe dans la Vienne a laissé les habitants de Vivonne sous le choc, après l’annonce de la découverte de son corps sans vie. Les causes de sa mort restent inexpliquées, laissant ouvertes les pistes du suicide, de l’accident, du meurtre ou du malaise. Les habitants sont attristés et se demandent si elle est décédée naturellement ou si quelqu’un l’a tuée. Les autorités continuent les recherches et les prélèvements dans la zone où le corps a été retrouvé, laissant la population inquiète quant à sa sécurité. La maire de Vivonne avoue ne pas avoir plus d’informations sur l’affaire, laissant la communauté de 4 500 habitants sous le choc et l’émotion. La disparition d’Agathe dans la Vienne reste une énigme. Son décès demeure inexpliqué et suscite un profond choc parmi les habitants de Vivonne. «Cela fait toujours un choc d’apprendre qu’un habitant de la commune aussi jeune a été retrouvé décédé», confie Rose-Marie Bertaud, maire de Vivonne (DVD). Depuis trois semaines, les habitants ont été témoins de la mobilisation des forces de l’ordre et de la couverture médiatique nationale entourant cette affaire. Tous sont sous le choc et expriment leur soutien à la famille endeuillée. La maire annonce l’ouverture d’un cahier de condoléances à la mairie pour ceux qui souhaitent adresser quelques mots à la famille. Le corps sans vie d’Agathe Hilairet a été retrouvé au Sud de Vivonne le dimanche 4 mai 2025, trois semaines après sa disparition. Le procureur de la République de Poitiers a confirmé l’identification du corps de la jeune femme de 28 ans, mais les circonstances exactes de son décès restent inconnues. Des analyses complémentaires sont en cours pour élucider les causes du décès, mais il faudra probablement attendre plusieurs jours, voire semaines, pour obtenir des résultats. Selon une source proche de l’enquête, le corps d’Agathe a été découvert par un promeneur dans un sous-bois en périphérie de la zone de recherche. Aucune hypothèse n’est écartée et une analyse approfondie de la scène de crime est en cours.

The residents of Vivonne have been in shock since the announcement on Monday of the discovery of the lifeless body of Agathe Hilairet, a jogger who went missing on April 10. The cause of death is still unknown.

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Was it suicide, an accident, murder, or a medical emergency? All possibilities remain open after the discovery, on Sunday, May 4, south of Vivonne, in Vienne, of the body of Agathe Hilairet. Following the initial autopsy conducted on Monday, many questions still remain unanswered.

People are sad and would like to know if she died of natural causes or if someone killed her.

Several local and national gendarmerie units were still deployed this morning between the town of Vivonne and Voulon, likely in the area where the jogger’s body was found. Foot patrols are still conducting searches in the Chavagné area, south of Vivonne, and teams from the IRCGN, the Institute of Criminal Research of the National Gendarmerie, are collecting samples. Our journalists observed the presence of two gendarmerie vans on site.

Les gendarmes continuent l’enquête à Vivonne le 6 mai 2025

© France Télévisions

In the streets of Vivonne, the residents sympathize and wonder: «People are sad. They would like to know if she died of natural causes or if someone killed her. We don’t feel safe,» says one lady. Jacqueline adds: «Before, we would hear about this elsewhere, not in rural areas. It’s scary to go out.» In the absence of concrete evidence, people fear the worst.

The mayor of Vivonne, Rose-Marie Bertaud (DVD), whom we met this morning, admits she has no information: «The gendarmerie does not wish to disclose any details, and I understand that. I don’t know if Agathe’s phone has been found, only that the autopsy is ongoing.»

In this town of 4,500 residents, located 20 km from Poitiers, everyone is affected by the news. The mayor continues: «I also felt a lot of emotion upon hearing this news. Even though, over the days, we were losing hope of finding her, somewhere in my heart, I held onto hope.»

Rose-Marie Bertaud, maire de Vivonne (DVD), confie : «Cela fait toujours un choc d’apprendre qu’un habitant de la commune aussi jeune a été retrouvé décédé».

Depuis trois semaines, les habitants ont assisté à la mobilisation des forces de l’ordre et à une couverture médiatique nationale, et sont tous sous le choc. Une habitante exprime sa compassion en disant : «Aujourd’hui, je plains la famille. Je me mets à leur place, car j’ai des enfants moi aussi et cela peut arriver à n’importe qui».

La maire annonce l’ouverture d’un cahier de condoléances à la mairie pour ceux qui souhaitent adresser un message de soutien à la famille.

Le procureur de la République de Poitiers, Cyril Lacombe, a confirmé hier que «les premières constatations effectuées ont permis de confirmer qu’il s’agissait du corps» de la jeune femme de 28 ans disparue depuis le 10 avril. L’autopsie réalisée le 4 mai n’a pas permis d’établir les causes du décès, et des analyses complémentaires sont en cours.

Selon une source proche de l’enquête, le corps a été découvert par un promeneur dans un sous-bois en périphérie de la zone de recherche de 100 km². Aucune hypothèse n’est pour le moment écartée, et une analyse de la scène de crime est en cours. The location of the discovery has not been specified.

Missing since Thursday, April 10, the 28-year-old jogger had left from her parents’ home in Vivonne, Vienne, to go for a run. Since that morning, the young woman had not been heard from. Her father, worried about her not returning and not being able to reach her on her phone, had alerted the gendarmerie.

After an initial investigation for «worrying disappearance,» a judicial investigation was opened on April 14 for «abduction and sequestration.»

The search operation was called off on April 17, after a week of searches involving over a hundred gendarmes, supported by a helicopter, dogs, and a team of divers. A team of 20 investigators continues to work on the case. According to Agence France-Presse, nearly 180 reports have also been received by investigators in the course of the investigation.

Since the announcement this Monday of the discovery of the lifeless body of Agathe Hilairet, the missing jogger from April 10, the residents of Vivonne are in shock. The causes of death are still unknown.

Suicide, accident, murder, or illness? All possibilities remain open after the discovery, on Sunday, May 4, south of Vivonne, in Vienne, of Agathe Hilairet’s body. Après la première autopsie réalisée lundi, de nombreuses questions restent encore sans réponse. Les habitants de Vivonne s’interrogent et sont attristés, se demandant si la joggeuse est décédée de manière naturelle ou si quelqu’un l’a tuée. Les moyens de la gendarmerie locaux et nationaux sont toujours déployés entre Vivonne et Voulon, où le corps a été découvert. Les recherches se poursuivent activement, avec des équipes de l’IRCGN sur place pour effectuer des prélèvements. La population locale exprime sa préoccupation et son inquiétude, demandant des réponses à cette tragédie. Since April 10, when the jogger’s father alerted the gendarmerie, there has been a revisit of this case. Over the past three weeks, residents have witnessed the mobilization of law enforcement and national media coverage. They are all in shock. «Today, I feel sorry for the family,» explains one resident. «I put myself in their shoes, as I also have children, and this could happen to anyone.»

«We will open a condolences book at the town hall in the early afternoon if there are people who want to leave a note for the family,» the mayor recounts.

Yesterday, the Public Prosecutor of Poitiers, Cyril Lacombe, announced that «the initial findings confirmed that it was the body of the 28-year-old woman» who had been missing since Thursday, April 10. However, the autopsy on Monday, May 4, did not determine the cause of death. Additional analyses are ongoing, but it could be several days or weeks before the results are known.

According to a source close to the investigation, her body was discovered by a walker in a wooded area on the outskirts of the 100 km² search area. A crime scene analysis is underway, and no hypothesis is being ruled out, according to the same source. The exact location of the discovery has not been disclosed.

Missing since Thursday, April 10, the 28-year-old jogger had gone for a run from her parents’ home in Vivonne, Vienne. Since that morning, the young woman had not been heard from. Her father, worried about her not returning and being unable to reach her on her phone, alerted the gendarmerie.

After an initial investigation for «worrying disappearance,» a judicial investigation was opened on April 14 for «abduction and confinement.»

The search operation was called off on April 17 after a week of searches involving over a hundred gendarmes, supported by a helicopter, dogs, and a diving team. A team of 20 investigators continues to work on this case.

According to Agence France-Presse, nearly 180 reports have also been received by investigators as part of the inquiry.

Depuis l’annonce ce lundi de la découverte du corps sans vie d’Agathe Hilairet, joggeuse disparue le 10 avril dernier, les habitants de Vivonne sont sous le choc. Les causes de la mort sont encore inconnues.

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Suicide, accident, meurtre ou malaise ? Toutes les pistes restent ouvertes après la découverte, dimanche 4 mai, au sud de Vivonne, dans la Vienne, du corps d’Agathe Hilairet. Après la première autopsie réalisée lundi, de nombreuses questions restent encore sans réponse.

Les gens sont tristes et voudraient savoir si elle est décédée d’une mort naturelle ou si quelqu’un l’a tuée

Plusieurs moyens locaux et nationaux de la gendarmerie étaient encore déployés, ce matin, entre la commune de Vivonne et celle de Voulon, vraissemblablement dans la zone où a été retrouvé le corps de la joggeuse. Des brigades à pied effectuent encore des recherches au lieu-dit Chavagné, au sud de Vivonne et des équipes de l’IRCGN, l’Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale, effectuent des prélèvements. Nos journalistes ont constaté la présence sur place de deux fourgons de gendarmerie. 

Les gendarmes continuent l’enquête à Vivonne le 6 mai 2025

© France Télévisions

Dans les rues de Vivonne, les habitants compatissent et s’interrogent : «Les gens sont tristes. Ils voudraient savoir si elle est décédée d’une mort naturelle ou si quelqu’un l’a tuée. On ne se sent pas en sécurité» confie cette dame. Jacqueline renchérit : «Avant, on en entendait parler ailleurs, pas en milieu rural. Cela fait peur de sortir.» En l’absence d’éléments concrets, les gens redoutent le pire.

La maire de Vivonne, Rose-Marie Bertaud (DVD), rencontrée ce matin, avoue elle-même ne pas avoir d’informations : «La gendarmerie ne souhaite pas communiquer d’éléments et je le comprends. Je ne sais pas si le portable d’Agathe a été retrouvé, seulement que l’autopsie est en cours.»

Dans cette commune de 4 500 habitants, située à 20 km de Poitiers, tout le monde est affecté par la nouvelle. La première édile poursuit : «J’ai aussi ressenti beaucoup d’émotion à cette nouvelle. Même si, au fil des jours, on perdait un peu l’espoir de la retrouver, je gardais quelque part l’espoir.

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