Le suspect arrêté 22 ans après la mort d’Antoine Belmonte a été mis en examen et placé en détention provisoire. Le suspect appréhendé 22 ans après la mort d’Antoine Belmonte a été inculpé et placé en détention provisoire. Très rapidement, les enquêteurs avaient envisagé que son meurtrier ait confondu la victime avec un policier portant le même nom. Cet autre Antoine Belmonte avait été condamné en 1995 à cinq ans de prison avec sursis pour coups et violences volontaires ayant entraîné, sans intention de le faire, la mort d’un adolescent de 13 ans en 1992, lors d’une intervention policière. Quelques semaines avant sa mort, Antoine Belmonte avait en effet été agressé chez lui par un inconnu qui lui avait fait référence à sa carrière de policier. Mis à part cette similitude de nom, les deux Belmonte n’avaient aucun lien.

En 2003, cet homme de 53 ans avait été tué d’une balle dans la tête alors qu’il regardait par l’œilleton de sa porte. Très vite, les enquêteurs avaient envisagé que son meurtrier ait confondu l’homme avec un policier du même nom.





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Un scellé au pôle judiciaire de la gendarmerie nationale, à Cergy-Pontoise, le 26 janvier 2021. (MARTIN BUREAU / AFP)

Un scellé au pôle judiciaire de la gendarmerie nationale, à Cergy-Pontoise, le 26 janvier 2021. (MARTIN BUREAU / AFP)

Un «cold case» enfin résolu ? L’homme interpellé mercredi pour le meurtre d’Antoine Belmonte en 2003 à Pantin (Seine-Saint-Denis) a été mis en examen et placé en détention provisoire, a fait savoir le parquet de Nanterre, samedi 1er mars. Le suspect a été «mis en examen du chef d’assassinat et a répondu aux questions du magistrat instructeur», a précisé la même source. «Il a été placé en détention provisoire à l’issue d’un débat devant le juge des libertés et de la détention» dans la soirée, a complété le parquet, précisant que l’information judiciaire se poursuivait.

En 2003, Antoine Belmonte, 53 ans, avait été tué d’une balle dans la tête alors qu’il regardait par l’œilleton de sa porte. Les enquêteurs avaient rapidement considéré la possibilité que le meurtrier ait confondu la victime avec un policier portant le même nom. L’autre Antoine Belmonte avait été condamné en 1995 à cinq ans de prison avec sursis pour des coups et violences ayant entraîné la mort d’un adolescent en 1992 lors d’une intervention policière. Quelques semaines avant sa mort, il avait été attaqué chez lui par un inconnu évoquant sa carrière de policier. Mis à part cette coïncidence de nom, les deux Belmonte n’avaient aucun lien. Please rewrite this sentence. Please rewrite this sentence. Please rewrite this sentence.

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