L’éditeur du livre sur l’affaire a déclaré que les auteurs ont été victimes de menaces de mort, et que le livre lui-même ainsi que l’éditeur ont été calomniés par certains médias. Grasset a déclaré dans un communiqué que les auteurs du livre sur l’affaire ont été victimes de menaces de mort, suite à une campagne de calomnies dans les médias et le harcèlement sur les réseaux sociaux. Le livre, qui a suscité une vive polémique après la publication d’informations sur l’affaire, continue d’être au centre de l’attention alors que l’enquête pour déterminer l’auteur des coups de couteau mortels se poursuit.

«Depuis plusieurs jours, les auteurs, le livre et l’éditeur sont calomniés par certains médias, harcelés par nombre de sites ou réseaux sociaux qui véhiculent mensonges et contre-vérités sans même avoir lu l’ouvrage», accuse Grasset dans un communiqué.





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La salle des fêtes de Crépol (Drôme), où a été tué le jeune Thomas, le 7 décembre 2023. (NICOLAS GUYONNET / HANS LUCAS / AFP)
La salle des fêtes de Crépol (Drôme), où a été tué le jeune Thomas, le 7 décembre 2023. (NICOLAS GUYONNET / HANS LUCAS / AFP)

Les éditions Grasset, qui ont publié, jeudi, Une nuit en France, un livre d’enquête sur l’affaire d’homicide à Crépol (Drôme), où a été tué un adolescent en 2023, ont dénoncé, vendredi 21 mars, des menaces de mort contre les auteurs, Jean-Michel Décugis, journaliste du Parisien, Pauline Guéna, romancière et scénariste, et Marc Leplongeon, journaliste de L’Equipe.

Grasset a déclaré dans un communiqué que depuis plusieurs jours, les auteurs, le livre et l’éditeur sont diffamés par certains médias, harcelés par de nombreux sites et réseaux sociaux qui propagent des mensonges et des contrevérités sans même avoir lu l’ouvrage.

Dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023, Thomas, un lycéen de 16 ans, avait été poignardé lors d’une bagarre lors d’un bal impliquant les jeunes du village et un groupe d’autres jeunes arrivés plus tard dans la soirée. Cette affaire avait suscité une vive polémique politique, la droite et l’extrême droite en faisant un symbole de l’insécurité dans les zones rurales, qu’elles attribuaient à des habitants des quartiers urbains défavorisés.

Les enquêteurs sont toujours à la recherche de l’auteur des coups de couteau mortels. Quatorze personnes, dont trois mineurs, sont inculpées pour «homicide volontaire et tentatives d’homicides volontaires en bande organisée». Le livre mentionne les prénoms des personnes impliquées. Please rewrite this sentence. Please rewrite this sentence. Please rewrite this sentence.

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