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Londres a annoncé avoir appréhendé les premiers migrants en vertu du nouveau traité franco-britannique. Londres annonce avoir intercepté les premiers migrants en vertu du nouveau traité franco-britannique.

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Annoncé lors de la visite d’Etat d’Emmanuel Macron au Royaume-Uni en juillet, le dispositif vise à dissuader les personnes souhaitant traverser la Manche sur des embarcations précaires et bondées.

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Qui est Steve Witkoff, l’émissaire spécial américain qui multiplie les visites en Russie? Steve Witkoff, un milliardaire devenu diplomate, est chargé par Donald Trump de traiter des dossiers sensibles tels que le conflit entre Israël et le Hamas ainsi que la guerre en Ukraine. Malgré son manque d’expérience en négociations de paix, il bénéficie de la confiance de la Maison Blanche et entretient des relations étroites avec le président russe Vladimir Poutine. Leur relation remonte à plusieurs décennies, lorsque Witkoff était associé à une firme d’avocats représentant Trump dans des transactions immobilières. Depuis, il est devenu un magnat de l’immobilier, sa fortune étant estimée à deux milliards de dollars. Witkoff a su se faire une place importante dans la gestion du conflit ukrainien, malgré le fait qu’il n’ait jamais mis les pieds dans le pays en guerre. Il a remplacé le général Keith Kellogg en tant qu’émissaire pour l’Ukraine et la Russie, se concentrant principalement sur des pourparlers avec la Russie. Sa loyauté envers Trump lui a valu une place privilégiée auprès du président, et il a été nommé envoyé spécial pour le Moyen-Orient avant de devenir négociateur en chef pour la guerre en Ukraine. Witkoff semble avoir les faveurs du Kremlin, même si son approche diplomatique est jugée peu conventionnelle. Qui est Steve Witkoff, l’envoyé spécial américain qui multiplie les visites en Russie ? Qui est cet adepte du terrain proche de Donald Trump et ambigu sur l’Ukraine ? Steve Witkoff, qui utilise son propre jet privé pour tous ses déplacements en tant qu’envoyé spécial, a ramené un ex-prisonnier aux États-Unis. Cet acte, qualifié par lui-même dans The Atlantic comme «l’une des plus grandes bénédictions de [sa] vie», l’a propulsé au premier plan, affichant clairement son succès. En mars dernier, après un tête-à-tête avec Vladimir Poutine, ses déclarations sur la guerre en Ukraine ont suscité la controverse, étant jugées très proches de la position du Kremlin. «Je ne considère pas Poutine comme un méchant», a-t-il confié à Tucker Carlson. De plus, il a approuvé les référendums illégaux dans les territoires ukrainiens occupés par la Russie, remis en question la légitimité du président ukrainien pour mener des négociations, et affirmé que «si un accord de paix doit être conclu, l’Ukraine ne peut pas être membre de l’OTAN». Le 25 avril, il s’est retrouvé pour la quatrième fois en face d’une délégation russe comprenant Vladimir Poutine, deux conseillers chevronnés et un interprète, accompagné simplement d’une traductrice, selon les informations de la BBC. Steve Witkoff, l’émissaire américain proche de Trump et ambigu sur l’Ukraine
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