>> Ce direct est désormais terminé.
Alors que la presse israélienne fait état d’un projet d’occupation de tout le territoire palestinien, un haut responsable de l’ONU a mis en garde, mardi 5 août, contre «les conséquences catastrophiques» d’un tel plan. «Le droit international est clair à cet égard, Gaza est et doit rester une partie intégrante d’un futur État palestinien» a ainsi déclaré Miroslav Jenca, sous-secrétaire général de l’ONU pour l’Europe, l’Asie centrale et les Amériques, à l’occasion d’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité. Lundi, le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou avait quant à lui annoncé préparer des «instructions» sur la poursuite de la guerre.
Des experts de l’ONU demandent la dissolution de la fondation humanitaire GHF. Ils dénoncent une aide «exploitée à des fins militaires et géopolitiques secrètes» et pointent le financement opaque de cette organisation privée soutenue par les Etats-Unis et Israël, qui en avait fait la seule source d’aide humanitaire dans la bande de Gaza en mai, après deux mois de blocus total. «L’imbrication des services de renseignement israéliens, d’entrepreneurs américains et d’entités non gouvernementales ambiguës souligne la nécessité urgente d’une surveillance et d’une action internationales robustes sous l’égide des Nations unies», avancent les rapporteurs spéciaux des Nations unies. Vendredi, l’ONU avait dénoncé la mort de près de 1 400 Gazaouis en marge des distributions d’aides de la GHF, principalement tués par l’armée israélienne.
Israël souhaite «vaincre totalement» le Hamas pour «libérer tous les otages israéliens». «Il est nécessaire de vaincre totalement l’ennemi à Gaza, de libérer tous nos otages et de s’assurer que Gaza ne constituera plus une menace pour Israël. Nous n’abandonnons aucune de ces missions», a martelé le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, mardi, selon un communiqué de ses services.
Israël réautorise l’entrée partielle des marchandises privées dans la bande de Gaza. «Un mécanisme a été approuvé pour reprendre progressivement et de manière contrôlée l’entrée de marchandises via le secteur privé à Gaza», précise, mardi, un communiqué du Cogat, un organisme du ministère de la Défense en charge de l’administration civile de ce territoire palestinien. «L’objectif est d’augmenter le volume de l’aide entrant dans la bande de Gaza, tout en réduisant la dépendance à l’égard de la collecte de l’aide par l’ONU et les organisations internationales.»
Réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la question des otages israéliens. Le Conseil de sécurité de l’ONU tient mardi une réunion d’urgence sur la question des otages à Gaza, a annoncé dimanche l’ambassadeur d’Israël, alors que l’indignation grandit quant à leur sort dans l’enclave ravagée par la guerre et menacée de famine.
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>> Ce direct est désormais terminé.
Alors que la presse israélienne fait état d’un projet d’occupation de tout le territoire palestinien, un haut responsable de l’ONU a mis en garde, mardi 5 août, contre «les conséquences catastrophiques» d’un tel plan. «Le droit international est clair à cet égard, Gaza est et doit rester une partie intégrante d’un futur État palestinien» a ainsi déclaré Miroslav Jenca, sous-secrétaire général de l’ONU pour l’Europe, l’Asie centrale et les Amériques, à l’occasion d’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité. Lundi, le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou avait quant à lui annoncé préparer des «instructions» sur la poursuite de la guerre.
Des experts de l’ONU demandent la dissolution de la fondation humanitaire GHF. Ils dénoncent une aide «exploitée à des fins militaires et géopolitiques secrètes» et pointent le financement opaque de cette organisation privée soutenue par les Etats-Unis et Israël, qui en avait fait la seule source d’aide humanitaire dans la bande de Gaza en mai, après deux mois de blocus total. «L’imbrication des services de renseignement israéliens, d’entrepreneurs américains et d’entités non gouvernementales ambiguës souligne la nécessité urgente d’une surveillance et d’une action internationales robustes sous l’égide des Nations unies», avancent les rapporteurs spéciaux des Nations unies. Vendredi, l’ONU avait dénoncé la mort de près de 1 400 Gazaouis en marge des distributions d’aides de la GHF, principalement tués par l’armée israélienne.
Israël souhaite «vaincre totalement» le Hamas pour «libérer tous les otages israéliens». «Il est nécessaire de vaincre totalement l’ennemi à Gaza, de libérer tous nos otages et de s’assurer que Gaza ne constituera plus une menace pour Israël. Nous n’abandonnons aucune de ces missions», a martelé le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, mardi, selon un communiqué de ses services.
Israël réautorise l’entrée partielle des marchandises privées dans la bande de Gaza. «Un mécanisme a été approuvé pour reprendre progressivement et de manière contrôlée l’entrée de marchandises via le secteur privé à Gaza», précise, mardi, un communiqué du Cogat, un organisme du ministère de la Défense en charge de l’administration civile de ce territoire palestinien. «L’objectif est d’augmenter le volume de l’aide entrant dans la bande de Gaza, tout en réduisant la dépendance à l’égard de la collecte de l’aide par l’ONU et les organisations internationales.»
Réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la question des otages israéliens. Le Conseil de sécurité de l’ONU tient mardi une réunion d’urgence sur la question des otages à Gaza, a annoncé dimanche l’ambassadeur d’Israël, alors que l’indignation grandit quant à leur sort dans l’enclave ravagée par la guerre et menacée de famine.
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